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Responsabilité sociale des entreprises et performance : complémentarité ou substituabilité ? / Jean-Yves Saulquin in La Revue des Sciences de Gestion, 223 (janvier-février 2007)

Public ISBD [article]  inLa Revue des Sciences de Gestion > 223 (janvier-février 2007) . - p. 57 Titre : Responsabilité sociale des entreprises et performance : complémentarité ou substituabilité ? Type de document : texte imprimé Auteurs : Jean-Yves Saulquin, Auteur Année de publication : 2007 Article en page(s) : p. 57 Langues : Français (fre) Catégories : RESSOURCES HUMAINES Tags : responsabilité sociale des entreprises, développement Durable, performance, parties prenantes. Résumé : Les concepts de Responsabilité Sociale des l'entreprises et de performance semblent de prime abord relativement éloignés l'un de l'autre ; la RSE définissant une posture de l'entreprise face à son environnement tandis que le concept de performance questionne les liens parfois subtils entre l'articulation de ressources et l'obtention d'un ou plusieurs résultats. Pourtant, l'opérationnalisation de ces deux concepts amène de nombreux auteurs à identifier les mêmes indicateurs et les mêmes critères. L'objet de cet article est d'étudier les différences et similarités entre les deux concepts et de proposer une grille de lecture qui présente à la fois les relations entre RSE et performance et qui tente de définir les spécificités de la RSE. Mots-clés : responsabilité sociale des entreprises, développement Durable, performance, parties prenantes. [article] Responsabilité sociale des entreprises et performance : complémentarité ou substituabilité ? [texte imprimé] / Jean-Yves Saulquin, Auteur . - 2007 . - p. 57. Langues : Français (fre) inLa Revue des Sciences de Gestion > 223 (janvier-février 2007) . - p. 57 Catégories : RESSOURCES HUMAINES Tags : responsabilité sociale des entreprises, développement Durable, performance, parties prenantes. Résumé : Les concepts de Responsabilité Sociale des l'entreprises et de performance semblent de prime abord relativement éloignés l'un de l'autre ; la RSE définissant une posture de l'entreprise face à son environnement tandis que le concept de performance questionne les liens parfois subtils entre l'articulation de ressources et l'obtention d'un ou plusieurs résultats. Pourtant, l'opérationnalisation de ces deux concepts amène de nombreux auteurs à identifier les mêmes indicateurs et les mêmes critères. L'objet de cet article est d'étudier les différences et similarités entre les deux concepts et de proposer une grille de lecture qui présente à la fois les relations entre RSE et performance et qui tente de définir les spécificités de la RSE. Mots-clés : responsabilité sociale des entreprises, développement Durable, performance, parties prenantes.

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Le développement durable / Patrick d' Humières

Public ISBD Titre : Le développement durable : le management de l'entreprise responsable Type de document : texte imprimé Auteurs : Patrick d' Humières, Auteur ; Julien Rivals, Collaborateur ; Evgenia Lurie, Collaborateur ; Sarah Vignoles, Directeur de publication, rédacteur en chef Editeur : Paris : éd. d'Organisation Année de publication : 2005 Collection : Références Importance : XXX-385 p. Présentation : ill. Format : 24 cm Accompagnement : erratum ISBN/ISSN/EAN : 978-2-7081-3290-0 Prix : 35 EUR Note générale : Webliogr. p. 377-379. Index Langues : Français (fre) Tags : Développement durable  Gestion d'entreprise  Aspect de l'environnement  Entreprises  Responsabilité sociale Index. décimale : 658.408 Résumé : Diriger l'entreprise responsable •Un manuel complet avec les fondements, les principes et les outils •Un modèle qui concilie la logique de marché et une performance sociale et sociétale bien définie et mesurée •Une analyse des responsabilités du management et des conséquences pour les différentes fonctions de l'entreprise •Enrichi de nombreux exemples et tableaux de synthèse Prendre en compte les enjeux environnementaux, sociaux et sociétaux ne va pas de soi. En dépit des référentiels internationaux et des expériences des groupes pionniers, les entreprises cherchent leur voie. Elles subissent des réglementations croissantes et la pression de la communauté financière, d'agences de notation spécialisées, des ONG et de l'opinion pour se comporter de façon éthique, écologique et transparente. On attend d'elles une bonne gouvernance et une maîtrise de leurs risques à long terme. Elles doivent en même temps conserver leur performance et affronter une compétition mondiale. Ce dilemme réclame un nouveau type de management, plus ouvert sur la société, plus complexe aussi et tourné vers le long terme. Ce modèle est décrit intégralement dans ce livre, véritable "mode d'emploi" du management du développement durable. Note de contenu : Au sommaire •Remerciements •Un manuel à disposition de tous les pédagogues de la RSE •Préface : L'entreprise ne peut réussir dans un monde qui échoue •Introduction : Donner un sens au progrès : l'économie durable sauvera-t-elle la mondialisation ? •Le développement voudrait être durable ◦L'impact des nouveaux enjeux collectifs sur la micro-économie ◦L'interaction des phénomènes et le poids des externalités ◦La prise en compte du futur dans la décision •Une nouvelle économie politique s'affirme à travers le principe de responsabilité ◦La demande de régulation dans une société de communication et du risque ◦L'entreprise et la logique de "durabilité" ◦La société est aussi l'affaire du business ◦La RSE, une réponse à l'affirmation de la société d'opinion •La formalisation d'un nouveau cadre de responsabilité ◦Les principes fondateurs du développement durable ◦Les premières règles imposées a l'entreprise au titre de la responsabilité sociale ◦L'influence exercée par l'ISR ◦Comment définir l'entreprise durable et responsable •La prise en compte du DD dans le management ◦L'impact du développement durable sur l'économie de l'entreprise ◦L'intégration managériale du développement durable ◦Le rapport DD, ou rapport de responsabilité sociale ◦Exemples d'application : politiques DD d'entreprises du secteur de l'énergie •La RSE change la communication de l'entreprise ◦La prise de conscience du risque d'image, l'engagement d'une démarche RSE ◦La RSE est une réponse à la crise de confiance dans les entreprises ◦La fonction communication, au coeur de cette mutation ◦Les publics de l'entreprise attendent une communication partenariale ◦Qu'est-ce qu'une communication durable ? •La relation aux stakeholders, levier du progrès en développement durable ◦Pourquoi et comment dialoguer avec la société civile ? ◦L'état des rapports entre les ONG et les entreprises ◦Les partenariats de type II ou la collaboration entre acteurs publics et privés •L'intégration du reporting DD dans l'information financière ◦Le renforcement des obligations légales et réglementaires ◦Les besoins nouveaux des analystes et des investisseurs ◦Un défi pour les entreprises cotées ◦Le verdict des indices de développement durable •Conclusion •Quelle intégration dans le modèle économique ? •Quelques sites utiles pour le management du DD Le développement durable : le management de l'entreprise responsable [texte imprimé] / Patrick d' Humières, Auteur ; Julien Rivals, Collaborateur ; Evgenia Lurie, Collaborateur ; Sarah Vignoles, Directeur de publication, rédacteur en chef . - éd. d'Organisation, 2005 . - XXX-385 p. : ill. ; 24 cm + erratum. - (Références) . ISBN : 978-2-7081-3290-0 : 35 EUR Webliogr. p. 377-379. Index Langues : Français (fre) Tags : Développement durable  Gestion d'entreprise  Aspect de l'environnement  Entreprises  Responsabilité sociale Index. décimale : 658.408 Résumé : Diriger l'entreprise responsable •Un manuel complet avec les fondements, les principes et les outils •Un modèle qui concilie la logique de marché et une performance sociale et sociétale bien définie et mesurée •Une analyse des responsabilités du management et des conséquences pour les différentes fonctions de l'entreprise •Enrichi de nombreux exemples et tableaux de synthèse Prendre en compte les enjeux environnementaux, sociaux et sociétaux ne va pas de soi. En dépit des référentiels internationaux et des expériences des groupes pionniers, les entreprises cherchent leur voie. Elles subissent des réglementations croissantes et la pression de la communauté financière, d'agences de notation spécialisées, des ONG et de l'opinion pour se comporter de façon éthique, écologique et transparente. On attend d'elles une bonne gouvernance et une maîtrise de leurs risques à long terme. Elles doivent en même temps conserver leur performance et affronter une compétition mondiale. Ce dilemme réclame un nouveau type de management, plus ouvert sur la société, plus complexe aussi et tourné vers le long terme. Ce modèle est décrit intégralement dans ce livre, véritable "mode d'emploi" du management du développement durable. Note de contenu : Au sommaire •Remerciements •Un manuel à disposition de tous les pédagogues de la RSE •Préface : L'entreprise ne peut réussir dans un monde qui échoue •Introduction : Donner un sens au progrès : l'économie durable sauvera-t-elle la mondialisation ? •Le développement voudrait être durable ◦L'impact des nouveaux enjeux collectifs sur la micro-économie ◦L'interaction des phénomènes et le poids des externalités ◦La prise en compte du futur dans la décision •Une nouvelle économie politique s'affirme à travers le principe de responsabilité ◦La demande de régulation dans une société de communication et du risque ◦L'entreprise et la logique de "durabilité" ◦La société est aussi l'affaire du business ◦La RSE, une réponse à l'affirmation de la société d'opinion •La formalisation d'un nouveau cadre de responsabilité ◦Les principes fondateurs du développement durable ◦Les premières règles imposées a l'entreprise au titre de la responsabilité sociale ◦L'influence exercée par l'ISR ◦Comment définir l'entreprise durable et responsable •La prise en compte du DD dans le management ◦L'impact du développement durable sur l'économie de l'entreprise ◦L'intégration managériale du développement durable ◦Le rapport DD, ou rapport de responsabilité sociale ◦Exemples d'application : politiques DD d'entreprises du secteur de l'énergie •La RSE change la communication de l'entreprise ◦La prise de conscience du risque d'image, l'engagement d'une démarche RSE ◦La RSE est une réponse à la crise de confiance dans les entreprises ◦La fonction communication, au coeur de cette mutation ◦Les publics de l'entreprise attendent une communication partenariale ◦Qu'est-ce qu'une communication durable ? •La relation aux stakeholders, levier du progrès en développement durable ◦Pourquoi et comment dialoguer avec la société civile ? ◦L'état des rapports entre les ONG et les entreprises ◦Les partenariats de type II ou la collaboration entre acteurs publics et privés •L'intégration du reporting DD dans l'information financière ◦Le renforcement des obligations légales et réglementaires ◦Les besoins nouveaux des analystes et des investisseurs ◦Un défi pour les entreprises cotées ◦Le verdict des indices de développement durable •Conclusion •Quelle intégration dans le modèle économique ? •Quelques sites utiles pour le management du DD

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Achever le capitalisme ou mourir. À propos du livre de Bernard Perret, Le Capitalisme est-il durable ? / VAL Jean-Claude in Futuribles, 355 (septembre 2009) 

Public ISBD [article]  inFuturibles > 355 (septembre 2009) . - pp. 49-56 Titre : Achever le capitalisme ou mourir. À propos du livre de Bernard Perret, Le Capitalisme est-il durable ? Type de document : texte imprimé Auteurs : VAL Jean-Claude, Auteur Année de publication : 2009 Article en page(s) : pp. 49-56 Langues : Français (fre) Tags : Systèmes économiques|Capitalisme|Développement durable|Entreprises Résumé : Préexistant à la crise économique en cours, la crise écologique qui frappe les sociétés modernes signe probablement l’arrêt de mort du système capitaliste productiviste. Telle est, en substance, l’idée développée par Bernard Perret dans un récent ouvrage intitulé Le Capitalisme est-il durable ? Ce que l’on appelle croissance économique, selon l’auteur, repose sur l’énergie bon marché, l’accumulation de biens matériels et la destruction des écosystèmes naturels. Si l’on ne met pas un terme à cette fuite en avant, la société court à sa destruction ; il est donc, selon Bernard Perret, devenu indispensable de mettre le développement durable au cœur du système économique pour rendre à l’économie son sens premier, à savoir économiser. Et cela passe, selon lui, par un retour à la planification orchestrée par les pouvoirs publics en ce sens : il s’agit d’être plus performants en consommant moins, de fixer un cap aux acteurs économiques et, surtout, de faire prévaloir la survie de l’humanité sur la logique marchande. Jean-Claude Val a lu cet ouvrage de Bernard Perret pour Futuribles. Il en recense ici les principales idées. La situation est grave mais — peut-être — pas désespérée… *PERRET Bernard. Le Capitalisme est-il durable ? Paris : Carnets Nord, 2008, 210 p. En ligne : http://www.futuribles.com [article] Achever le capitalisme ou mourir. À propos du livre de Bernard Perret, Le Capitalisme est-il durable ? [texte imprimé] / VAL Jean-Claude, Auteur . - 2009 . - pp. 49-56. Langues : Français (fre) inFuturibles > 355 (septembre 2009) . - pp. 49-56 Tags : Systèmes économiques|Capitalisme|Développement durable|Entreprises Résumé : Préexistant à la crise économique en cours, la crise écologique qui frappe les sociétés modernes signe probablement l’arrêt de mort du système capitaliste productiviste. Telle est, en substance, l’idée développée par Bernard Perret dans un récent ouvrage intitulé Le Capitalisme est-il durable ? Ce que l’on appelle croissance économique, selon l’auteur, repose sur l’énergie bon marché, l’accumulation de biens matériels et la destruction des écosystèmes naturels. Si l’on ne met pas un terme à cette fuite en avant, la société court à sa destruction ; il est donc, selon Bernard Perret, devenu indispensable de mettre le développement durable au cœur du système économique pour rendre à l’économie son sens premier, à savoir économiser. Et cela passe, selon lui, par un retour à la planification orchestrée par les pouvoirs publics en ce sens : il s’agit d’être plus performants en consommant moins, de fixer un cap aux acteurs économiques et, surtout, de faire prévaloir la survie de l’humanité sur la logique marchande. Jean-Claude Val a lu cet ouvrage de Bernard Perret pour Futuribles. Il en recense ici les principales idées. La situation est grave mais — peut-être — pas désespérée… *PERRET Bernard. Le Capitalisme est-il durable ? Paris : Carnets Nord, 2008, 210 p. En ligne : http://www.futuribles.com

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L'apport de la théorie des parties prenantes à la modélisation de la responsabilité sociétale des entreprises / Astrid Mullenbach-Servayre in La Revue des Sciences de Gestion, 223 (janvier-février 2007)

Public ISBD [article]  inLa Revue des Sciences de Gestion > 223 (janvier-février 2007) . - p. 109 Titre : L'apport de la théorie des parties prenantes à la modélisation de la responsabilité sociétale des entreprises Type de document : texte imprimé Auteurs : Astrid Mullenbach-Servayre, Auteur Année de publication : 2007 Article en page(s) : p. 109 Langues : Français (fre) Tags : Partie prenante, théorie des parties prenantes, responsabilité sociétale de l'entreprise. Résumé : Le concept de responsabilité sociétale de l'entreprise - bien qu'il connaisse un essor considérable, tant au sein de la littérature académique que des pratiques des entreprises - expose aujourd'hui les chercheurs - en sus de graves problèmes de définition, de compréhension et d'appréhension - à de larges préoccupations quant à son opérationnalisation. Ainsi, il semble que les théories classiquement mobilisées pour modéliser le phénomène (Carroll, 1991 ; Wartick & Cochran, 1985 ; Wood, 1991) aient montré leurs limites et, dans ce contexte, seule une issue semble désormais se profiler : celle de la théorie des parties prenantes ou Stakeholder's Theory. Fondée sur l'idée que l'entreprise se trouve au centre d'une multitude d'intérêts divergents provenant de son environnement, et plus particulièrement de ses parties prenantes, cette théorie ouvre une nouvelle perspective : celle du dépassement de la vision actionnariale et économique classique de la firme, maximisatrice de profit, afin de démontrer que les dirigeants ont un rôle, des obligations et des responsabilités allant au-delà de la simple prise en compte des actionnaires. Cependant, cette littérature, déjà vaste mais encore en pleine expansion du fait de sa jeunesse, donne lieu à des divergences entre les auteurs, à différentes façons de penser la théorie, voire même parfois à l'utilisation d'arguments contradictoires. Nous proposons donc, dans cette contribution, de nous pencher sur les origines de la théorie des parties prenantes afin de tenter d'en clarifier les fondements et les postulats et d'expliquer, ensuite, en quoi elle peut constituer un apport à la modélisation de la responsabilité sociétale des entreprises. Mots-clés : Partie prenante, théorie des parties prenantes, responsabilité sociétale de l'entreprise. [article] L'apport de la théorie des parties prenantes à la modélisation de la responsabilité sociétale des entreprises [texte imprimé] / Astrid Mullenbach-Servayre, Auteur . - 2007 . - p. 109. Langues : Français (fre) inLa Revue des Sciences de Gestion > 223 (janvier-février 2007) . - p. 109 Tags : Partie prenante, théorie des parties prenantes, responsabilité sociétale de l'entreprise. Résumé : Le concept de responsabilité sociétale de l'entreprise - bien qu'il connaisse un essor considérable, tant au sein de la littérature académique que des pratiques des entreprises - expose aujourd'hui les chercheurs - en sus de graves problèmes de définition, de compréhension et d'appréhension - à de larges préoccupations quant à son opérationnalisation. Ainsi, il semble que les théories classiquement mobilisées pour modéliser le phénomène (Carroll, 1991 ; Wartick & Cochran, 1985 ; Wood, 1991) aient montré leurs limites et, dans ce contexte, seule une issue semble désormais se profiler : celle de la théorie des parties prenantes ou Stakeholder's Theory. Fondée sur l'idée que l'entreprise se trouve au centre d'une multitude d'intérêts divergents provenant de son environnement, et plus particulièrement de ses parties prenantes, cette théorie ouvre une nouvelle perspective : celle du dépassement de la vision actionnariale et économique classique de la firme, maximisatrice de profit, afin de démontrer que les dirigeants ont un rôle, des obligations et des responsabilités allant au-delà de la simple prise en compte des actionnaires. Cependant, cette littérature, déjà vaste mais encore en pleine expansion du fait de sa jeunesse, donne lieu à des divergences entre les auteurs, à différentes façons de penser la théorie, voire même parfois à l'utilisation d'arguments contradictoires. Nous proposons donc, dans cette contribution, de nous pencher sur les origines de la théorie des parties prenantes afin de tenter d'en clarifier les fondements et les postulats et d'expliquer, ensuite, en quoi elle peut constituer un apport à la modélisation de la responsabilité sociétale des entreprises. Mots-clés : Partie prenante, théorie des parties prenantes, responsabilité sociétale de l'entreprise.

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L'économie de fonctionnalité. Changer la consommation dans le sens du développement durable / BOURG Dominique in Futuribles, 313 (novembre 2005) 

Public ISBD [article]  inFuturibles > 313 (novembre 2005) . - pp. 27-38 Titre : L'économie de fonctionnalité. Changer la consommation dans le sens du développement durable Type de document : texte imprimé Auteurs : BOURG Dominique, Auteur Année de publication : 2005 Article en page(s) : pp. 27-38 Langues : Français (fre) Tags : Développement durable|Entreprises Résumé : Pour la plupart des décideurs, politiques comme économiques, le développement durable est devenu un concept incontournable à prendre en compte dans la plupart des domaines d'activités. Depuis quelques années, une nouvelle voie, qualifiée d'économie de fonctionnalité, émerge, susceptible d'apporter sa pierre à l'édifice du développement durable, en particulier parce qu'elle pourrait diminuer sensiblement et l'utilisation de matières premières, et l'émission de polluants. Dominique Bourg et Nicolas Buclet nous présentent, dans cet article, ce qu'est l'économie de fonctionnalité, " à savoir la substitution de la vente de l'usage d'un bien à la vente du bien lui-même ". À l'aide d'exemples concrets d'expériences menées par diverses entreprises (Michelin, Electrolux, Xerox...), ils nous montrent l'intérêt d'une telle voie mais aussi les freins et les écueils à éviter pour ne pas déboucher sur un échec. Ils soulignent également que prendre une telle voie, consistant à privilégier une offre de services longue durée à la production de biens stricto sensu, ne constitue pas un obstacle à l'innovation, bien au contraire. Quoique encore peu connue et trop peu pratiquée dans le monde de l'entreprise, l'économie de fonctionnalité est sans aucun doute une voie d'avenir essentielle dans la voie d'un développement soutenable. Bouleversant néanmoins des décennies d'habitudes de production et de consommation, elle nécessitera probablement un accompagnement important pour convaincre à la fois les producteurs et les consommateurs de son intérêt. En ligne : http://www.futuribles.com [article] L'économie de fonctionnalité. Changer la consommation dans le sens du développement durable [texte imprimé] / BOURG Dominique, Auteur . - 2005 . - pp. 27-38. Langues : Français (fre) inFuturibles > 313 (novembre 2005) . - pp. 27-38 Tags : Développement durable|Entreprises Résumé : Pour la plupart des décideurs, politiques comme économiques, le développement durable est devenu un concept incontournable à prendre en compte dans la plupart des domaines d'activités. Depuis quelques années, une nouvelle voie, qualifiée d'économie de fonctionnalité, émerge, susceptible d'apporter sa pierre à l'édifice du développement durable, en particulier parce qu'elle pourrait diminuer sensiblement et l'utilisation de matières premières, et l'émission de polluants. Dominique Bourg et Nicolas Buclet nous présentent, dans cet article, ce qu'est l'économie de fonctionnalité, " à savoir la substitution de la vente de l'usage d'un bien à la vente du bien lui-même ". À l'aide d'exemples concrets d'expériences menées par diverses entreprises (Michelin, Electrolux, Xerox...), ils nous montrent l'intérêt d'une telle voie mais aussi les freins et les écueils à éviter pour ne pas déboucher sur un échec. Ils soulignent également que prendre une telle voie, consistant à privilégier une offre de services longue durée à la production de biens stricto sensu, ne constitue pas un obstacle à l'innovation, bien au contraire. Quoique encore peu connue et trop peu pratiquée dans le monde de l'entreprise, l'économie de fonctionnalité est sans aucun doute une voie d'avenir essentielle dans la voie d'un développement soutenable. Bouleversant néanmoins des décennies d'habitudes de production et de consommation, elle nécessitera probablement un accompagnement important pour convaincre à la fois les producteurs et les consommateurs de son intérêt. En ligne : http://www.futuribles.com

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P155	HUG	Periodique	HEM Casa	Documentaires	Disponible

L'entreprise à responsabilité illimitée / Nicole d' Almeida

Public ISBD Titre : L'entreprise à responsabilité illimitée : la citoyenneté d'entreprise en questions Type de document : texte imprimé Auteurs : Nicole d' Almeida, Auteur Editeur : Rueil-Malmaison : éd. Liaisons Année de publication : 1996 Collection : Communication-innovation, ISSN 1160-0047 Importance : XIV-225 p. Présentation : couv. ill. en coul. Format : 22 cm ISBN/ISSN/EAN : 978-2-87880-146-0 Prix : 175 F Note générale : Bibliogr., 2 p. Langues : Français (fre) Tags :   Entreprises  Responsabilité sociale  France Index. décimale : 658.009 44 L'entreprise à responsabilité illimitée : la citoyenneté d'entreprise en questions [texte imprimé] / Nicole d' Almeida, Auteur . - éd. Liaisons, 1996 . - XIV-225 p. : couv. ill. en coul. ; 22 cm. - (Communication-innovation, ISSN 1160-0047) . ISBN : 978-2-87880-146-0 : 175 F Bibliogr., 2 p. Langues : Français (fre) Tags :   Entreprises  Responsabilité sociale  France Index. décimale : 658.009 44

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R902	658 / ALM	Livre	HEM Rabat	Documentaires	Disponible

Les entreprises et l'environnement. L'information environnementale des entreprises, un bilan critique / GRÉGOIRE Patrice in Futuribles, 288 (juillet-août 2003) 

Public ISBD [article]  inFuturibles > 288 (juillet-août 2003) . - pp. 29-42 Titre : Les entreprises et l'environnement. L'information environnementale des entreprises, un bilan critique Type de document : texte imprimé Auteurs : GRÉGOIRE Patrice, Auteur Année de publication : 2003 Article en page(s) : pp. 29-42 Langues : Français (fre) Tags : Développement durable|Entreprises Résumé : Les entreprises seront de plus en plus soumises à la nécessité de rendre compte de l'impact de leurs activités sur l'environnement. Pressentant cette obligation, plusieurs d'entre elles ont commencé à intégrer cette contrainte dans leur rapport d'activité, quelquefois même dans un rapport spécifiquement dédié au développement durable. Quel crédit peut-on accorder à ces premières initiatives ? Thierry Lavoux et Patrice Grégoire, s'appuyant sur une étude réalisée par l'Institut français de l'environnement (Ifen) sur les rapports d'activité 2001 de 150 entreprises françaises, nous mettent en garde : le " rapportage " environnemental reste une pratique peu répandue, notamment dans les entreprises dont l'activité comporte des risques importants, et sujette à caution. Les rapports en question comportent peu de données, a fortiori en séries longues, et beaucoup de généralités... Leur étude se trouve au demeurant corroborée par plusieurs enquêtes réalisées au niveau international, dont les auteurs nous fournissent une brève synthèse. Le thème du développement durable, manifestement, s'impose de plus en plus. Les entreprises devront donc répondre de leurs pratiques en la matière. Mais d'importants progrès restent à accomplir pour intégrer cette préoccupation dans leur management et assurer un reporting crédible des actions ainsi menées. En ligne : http://www.futuribles.com [article] Les entreprises et l'environnement. L'information environnementale des entreprises, un bilan critique [texte imprimé] / GRÉGOIRE Patrice, Auteur . - 2003 . - pp. 29-42. Langues : Français (fre) inFuturibles > 288 (juillet-août 2003) . - pp. 29-42 Tags : Développement durable|Entreprises Résumé : Les entreprises seront de plus en plus soumises à la nécessité de rendre compte de l'impact de leurs activités sur l'environnement. Pressentant cette obligation, plusieurs d'entre elles ont commencé à intégrer cette contrainte dans leur rapport d'activité, quelquefois même dans un rapport spécifiquement dédié au développement durable. Quel crédit peut-on accorder à ces premières initiatives ? Thierry Lavoux et Patrice Grégoire, s'appuyant sur une étude réalisée par l'Institut français de l'environnement (Ifen) sur les rapports d'activité 2001 de 150 entreprises françaises, nous mettent en garde : le " rapportage " environnemental reste une pratique peu répandue, notamment dans les entreprises dont l'activité comporte des risques importants, et sujette à caution. Les rapports en question comportent peu de données, a fortiori en séries longues, et beaucoup de généralités... Leur étude se trouve au demeurant corroborée par plusieurs enquêtes réalisées au niveau international, dont les auteurs nous fournissent une brève synthèse. Le thème du développement durable, manifestement, s'impose de plus en plus. Les entreprises devront donc répondre de leurs pratiques en la matière. Mais d'importants progrès restent à accomplir pour intégrer cette préoccupation dans leur management et assurer un reporting crédible des actions ainsi menées. En ligne : http://www.futuribles.com

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P130	HUG	Periodique	HEM Casa	Documentaires	Disponible

L'évaluation extra-financière des entreprises / TIBERGHIEN Frédéric in Futuribles, 293 (janvier 2004) 

Public ISBD [article]  inFuturibles > 293 (janvier 2004) . - pp. 39-52 Titre : L'évaluation extra-financière des entreprises Type de document : texte imprimé Auteurs : TIBERGHIEN Frédéric, Auteur Année de publication : 2004 Article en page(s) : pp. 39-52 Langues : Français (fre) Tags : Développement durable|Investissements|Marché financier|Entreprises Résumé : Prolongeant les réflexions engagées en 2003 par divers auteurs sur le rôle que peuvent jouer les entreprises dans le domaine sociétal, Futuribles publie ici un article de François Fatoux et Frédéric Tiberghien sur l'évaluation extra-financière des entreprises. Après un bref aperçu de la genèse de l'investissement socialement responsable (ISR), les auteurs y présentent les principales agences de notation des pratiques sociétales des entreprises, en France et, plus généralement, en Europe et dans le monde. Ils décrivent les méthodologies utilisées par ces structures, les moyens mis en oeuvre et la façon dont, peu à peu, elles tendent à imposer les critères d'évaluation non financiers aux parties prenantes des entreprises ainsi qu'aux marchés boursiers. À cet égard, la professionnalisation en cours des agences de notation extra-financière constitue sans doute un indice de leur utilité désormais avérée et devrait renforcer leur crédibilité dans les années à venir. Si l'on ajoute à cela un contexte de " nettoyage " des mauvaises pratiques d'évaluation (révélées par les scandales Enron et WorldCom en 2002), il y a tout lieu d'espérer que la (bonne) gouvernance d'entreprise finisse par converger avec les objectifs ô combien essentiels du développement durable. En ligne : http://www.futuribles.com [article] L'évaluation extra-financière des entreprises [texte imprimé] / TIBERGHIEN Frédéric, Auteur . - 2004 . - pp. 39-52. Langues : Français (fre) inFuturibles > 293 (janvier 2004) . - pp. 39-52 Tags : Développement durable|Investissements|Marché financier|Entreprises Résumé : Prolongeant les réflexions engagées en 2003 par divers auteurs sur le rôle que peuvent jouer les entreprises dans le domaine sociétal, Futuribles publie ici un article de François Fatoux et Frédéric Tiberghien sur l'évaluation extra-financière des entreprises. Après un bref aperçu de la genèse de l'investissement socialement responsable (ISR), les auteurs y présentent les principales agences de notation des pratiques sociétales des entreprises, en France et, plus généralement, en Europe et dans le monde. Ils décrivent les méthodologies utilisées par ces structures, les moyens mis en oeuvre et la façon dont, peu à peu, elles tendent à imposer les critères d'évaluation non financiers aux parties prenantes des entreprises ainsi qu'aux marchés boursiers. À cet égard, la professionnalisation en cours des agences de notation extra-financière constitue sans doute un indice de leur utilité désormais avérée et devrait renforcer leur crédibilité dans les années à venir. Si l'on ajoute à cela un contexte de " nettoyage " des mauvaises pratiques d'évaluation (révélées par les scandales Enron et WorldCom en 2002), il y a tout lieu d'espérer que la (bonne) gouvernance d'entreprise finisse par converger avec les objectifs ô combien essentiels du développement durable. En ligne : http://www.futuribles.com

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Le “facteur 4” dans les territoires. Trajectoires 2020, 2030, 2050 dans l’agglomération de Tours / BARATIER Jérôme in Futuribles, 392 (janvier-février 2013) 

Public ISBD [article]  inFuturibles > 392 (janvier-février 2013) . - pp. 77-94 Titre : Le “facteur 4” dans les territoires. Trajectoires 2020, 2030, 2050 dans l’agglomération de Tours Type de document : texte imprimé Auteurs : BARATIER Jérôme, Auteur Année de publication : 2013 Article en page(s) : pp. 77-94 Langues : Français (fre) Tags : Aménagement du territoire|Développement durable|Politique économique. Politique sociale. Planification Résumé : En 2009 a été lancé, en France, un programme copiloté par la Mission prospective du ministère de l’Écologie et l’ADEME : « Repenser les villes dans une société postcarbone », dont les travaux sont encore en cours en vue d’un rapport final prévu en 2013. L’idée d’une transition vers une société « postcarbone » comprend quatre objectifs principaux : une division par quatre d’ici à 2050, par rapport à 1990, des émissions de gaz à effet de serre, une quasi-autonomie à l’égard des énergies carbonées (pétrole, gaz, charbon), une capacité suffisante d’adaptation aux changements climatiques et, enfin, une attention plus grande aux situations de précarité énergétique. Dans le cadre du dossier que Futuribles consacre, ce mois-ci, à ce programme, cet article constitue une étude de cas riche d’enseignements sur la mise en œuvre d’une stratégie territoriale de transition vers le « facteur 4 » — c’est-à-dire visant à diviser par quatre le volume d’émissions de gaz à effet de serre du territoire d’ici 2050, par rapport à leur niveau de 1990. Les auteurs montrent ainsi comment, à partir notamment de son « schéma de cohérence territoriale » (SCoT), l’agglomération de Tours a entrepris de se donner les moyens, en deux étapes (2020, 2030), de réaliser une transition postcarbone à l’horizon 2050. Ils présentent les mesures et objectifs clefs, par secteurs et grands postes de consommation énergétique, visant à modifier les modes de vie dans l’agglomération, en vue de faire de Tours une ville « bas carbone » contenue, une ville des proximités. Bien entendu, l’action publique locale, essentielle pour la réussite de telles transitions, ne saurait être efficace sans efforts convergents à toutes les échelles. Enfin, au-delà de cette articulation des politiques publiques, les auteurs soulignent quelques questions tout aussi déterminantes (en matière de temporalité, d’investissements économiques, de lien démocratique, etc.) dans la mise en œuvre d’un « facteur 4 territorial ». En ligne : http://www.futuribles.com [article] Le “facteur 4” dans les territoires. Trajectoires 2020, 2030, 2050 dans l’agglomération de Tours [texte imprimé] / BARATIER Jérôme, Auteur . - 2013 . - pp. 77-94. Langues : Français (fre) inFuturibles > 392 (janvier-février 2013) . - pp. 77-94 Tags : Aménagement du territoire|Développement durable|Politique économique. Politique sociale. Planification Résumé : En 2009 a été lancé, en France, un programme copiloté par la Mission prospective du ministère de l’Écologie et l’ADEME : « Repenser les villes dans une société postcarbone », dont les travaux sont encore en cours en vue d’un rapport final prévu en 2013. L’idée d’une transition vers une société « postcarbone » comprend quatre objectifs principaux : une division par quatre d’ici à 2050, par rapport à 1990, des émissions de gaz à effet de serre, une quasi-autonomie à l’égard des énergies carbonées (pétrole, gaz, charbon), une capacité suffisante d’adaptation aux changements climatiques et, enfin, une attention plus grande aux situations de précarité énergétique. Dans le cadre du dossier que Futuribles consacre, ce mois-ci, à ce programme, cet article constitue une étude de cas riche d’enseignements sur la mise en œuvre d’une stratégie territoriale de transition vers le « facteur 4 » — c’est-à-dire visant à diviser par quatre le volume d’émissions de gaz à effet de serre du territoire d’ici 2050, par rapport à leur niveau de 1990. Les auteurs montrent ainsi comment, à partir notamment de son « schéma de cohérence territoriale » (SCoT), l’agglomération de Tours a entrepris de se donner les moyens, en deux étapes (2020, 2030), de réaliser une transition postcarbone à l’horizon 2050. Ils présentent les mesures et objectifs clefs, par secteurs et grands postes de consommation énergétique, visant à modifier les modes de vie dans l’agglomération, en vue de faire de Tours une ville « bas carbone » contenue, une ville des proximités. Bien entendu, l’action publique locale, essentielle pour la réussite de telles transitions, ne saurait être efficace sans efforts convergents à toutes les échelles. Enfin, au-delà de cette articulation des politiques publiques, les auteurs soulignent quelques questions tout aussi déterminantes (en matière de temporalité, d’investissements économiques, de lien démocratique, etc.) dans la mise en œuvre d’un « facteur 4 territorial ». En ligne : http://www.futuribles.com

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Gestion du développement durable en entreprise / Nathalie Costa

Public ISBD Titre : Gestion du développement durable en entreprise Type de document : texte imprimé Auteurs : Nathalie Costa, Auteur Editeur : Paris : Ellipses Année de publication : impr. 2008 Collection : Gestion Importance : 1 vol. (154 p.) Présentation : graph. Format : 24 cm ISBN/ISSN/EAN : 978-2-7298-4089-1 Prix : 25 EUR Note générale : Contient les textes de la Déclaration universelle des droits de l'homme adoptée par l'Assemblée générale des Nations unies le 10 décembre 1948 et la Déclaration de Rio de Janeiro sur l'environnement et le développement Bibliogr. p. 145-147 Langues : Français (fre) Tags :   Développement durable  Gestion d'entreprise  Aspect environnemental  Responsabilité sociétale Index. décimale : 658.408 Gestion du développement durable en entreprise [texte imprimé] / Nathalie Costa, Auteur . - Ellipses, impr. 2008 . - 1 vol. (154 p.) : graph. ; 24 cm. - (Gestion) . ISBN : 978-2-7298-4089-1 : 25 EUR Contient les textes de la Déclaration universelle des droits de l'homme adoptée par l'Assemblée générale des Nations unies le 10 décembre 1948 et la Déclaration de Rio de Janeiro sur l'environnement et le développement Bibliogr. p. 145-147 Langues : Français (fre) Tags :   Développement durable  Gestion d'entreprise  Aspect environnemental  Responsabilité sociétale Index. décimale : 658.408

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O248	338.9 / COS	Livre	HEM Oujda	Documentaires	Disponible
R2476	338.9 / COS	Livre	HEM Rabat	Documentaires	Disponible