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Précaution et démocratie. Brève histoire du Collège de la prévention des risques technologiques / Jean-Jacques Salomon in Futuribles, 311 (septembre 2005)
[article]
Titre : Précaution et démocratie. Brève histoire du Collège de la prévention des risques technologiques Type de document : texte imprimé Auteurs : Jean-Jacques Salomon (1929-....), Auteur Année de publication : 2005 Article en page(s) : pp. 5-24 Langues : Français (fre)
in Futuribles > 311 (septembre 2005) . - pp. 5-24Tags : Démocratie|Risques Résumé : Étrange pays que la France où l'État prétend incarner à lui seul et de manière exclusive tout ce qui relève du bien commun, se révèle, en conséquence, incapable de tolérer qu'il puisse exister des instances indépendantes qui soient des lieux propices à l'exercice d'un débat risquant de remettre en cause le bien-fondé des choix publics. Jean-Jacques Salomon, s'appuyant ici sur son expérience en qualité de président du Collège de la prévention des risques technologiques (CPRT), créé à l'initiative de Michel Rocard lorsqu'il était Premier ministre, en apporte ici, une fois de plus, le témoignage.
Rappelant tout d'abord ce qu'il convient d'entendre par le principe de précaution, trop souvent accusé de paralyser l'esprit indispensable d'invention et d'innovation, l'auteur souligne combien il est important de disposer d'instances indépendantes capables de délibérer sur les progrès des sciences et des techniques dont les usages, comme on le sait bien, sont de plus en plus ambivalents, peuvent déboucher sur les meilleurs comme sur les pires des usages. Mais ces instances, affirme l'ancien président du CPRT, hétérodoxes dans le paysage politico-institutionnel français, sont aux yeux des dirigeants aussitôt suspectées de vouloir contrarier les projets formés par les grands corps.
Après avoir expliqué comment fonctionnait le CPRT, Jean-Jacques Salomon illustre son propos par quelques exemples particulièrement saisissants, montre comment ce fameux Collège finalement s'est vu dissous. Au-delà du cas particulier qu'il décrit, l'auteur manifestement met ici en évidence l'excessive prétention de la puissance publique française à vouloir tout diriger sans souffrir la moindre contestation ni même que ses choix soient soumis à un débat démocratique pourtant ô combien nécessaire.En ligne : http://www.futuribles.com [article] Précaution et démocratie. Brève histoire du Collège de la prévention des risques technologiques [texte imprimé] / Jean-Jacques Salomon (1929-....), Auteur . - 2005 . - pp. 5-24.
Langues : Français (fre)
in Futuribles > 311 (septembre 2005) . - pp. 5-24Tags : Démocratie|Risques Résumé : Étrange pays que la France où l'État prétend incarner à lui seul et de manière exclusive tout ce qui relève du bien commun, se révèle, en conséquence, incapable de tolérer qu'il puisse exister des instances indépendantes qui soient des lieux propices à l'exercice d'un débat risquant de remettre en cause le bien-fondé des choix publics. Jean-Jacques Salomon, s'appuyant ici sur son expérience en qualité de président du Collège de la prévention des risques technologiques (CPRT), créé à l'initiative de Michel Rocard lorsqu'il était Premier ministre, en apporte ici, une fois de plus, le témoignage.
Rappelant tout d'abord ce qu'il convient d'entendre par le principe de précaution, trop souvent accusé de paralyser l'esprit indispensable d'invention et d'innovation, l'auteur souligne combien il est important de disposer d'instances indépendantes capables de délibérer sur les progrès des sciences et des techniques dont les usages, comme on le sait bien, sont de plus en plus ambivalents, peuvent déboucher sur les meilleurs comme sur les pires des usages. Mais ces instances, affirme l'ancien président du CPRT, hétérodoxes dans le paysage politico-institutionnel français, sont aux yeux des dirigeants aussitôt suspectées de vouloir contrarier les projets formés par les grands corps.
Après avoir expliqué comment fonctionnait le CPRT, Jean-Jacques Salomon illustre son propos par quelques exemples particulièrement saisissants, montre comment ce fameux Collège finalement s'est vu dissous. Au-delà du cas particulier qu'il décrit, l'auteur manifestement met ici en évidence l'excessive prétention de la puissance publique française à vouloir tout diriger sans souffrir la moindre contestation ni même que ses choix soient soumis à un débat démocratique pourtant ô combien nécessaire.En ligne : http://www.futuribles.com Réservation
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Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité P153 HUG Periodique HEM Casa Documentaires Disponible
[article]
Titre : L’assurance du risque nucléaire en France Type de document : texte imprimé Auteurs : BRASSARD Guy, Auteur Année de publication : 2012 Article en page(s) : pp. 27-46 Langues : Français (fre)
in Futuribles > 385 (mai 2012) . - pp. 27-46Tags : Financement|Énergie nucléaire|Risques industriels Résumé : En mars dernier, le Japon a commémoré le premier anniversaire du drame de Fukushima, triste combinaison de catastrophes naturelles ayant engendré un accident nucléaire. Les dégâts matériels et humains sont énormes, et il faudra des décennies aux Japonais pour les effacer et tenter d’oublier ce drame qui témoigne de la grande vulnérabilité des économies — même les plus avancées — aux risques naturels et technologiques. Dans la foulée, les débats se sont multipliés quant à la pertinence du recours au nucléaire pour la production d’énergie, en particulier en France. Sans entrer à nouveau dans ces débats, il est néanmoins légitime de s’interroger — outre sur les capacités de prévention des risques nucléaires — sur la manière dont seraient prises en charge les conséquences d’une éventuelle catastrophe nucléaire dans ce pays.
C’est ce à quoi s’attelle ici Guy Brassard qui, après avoir rappelé les limites de la responsabilité d’EDF et de celle de l’État en France en matière d’indemnisation des dommages qui découleraient d’une telle catastrophe, souligne l’insuffisance des garanties en vigueur et en appelle à la création d’un fonds de réserve pour les événements exceptionnels. L’auteur insiste sur la nécessaire mitigation du risque nucléaire via une évaluation claire des centrales sur base de paramètres de sécurité uniformes, une analyse économique du bouquet électrique rendue publique, et la mise en place de mesures d’efficacité et de prudence dans l’utilisation du parc nucléaire français. Il propose enfin un modèle de calcul du coût d’une assurance contre les risques exceptionnels, fondé sur de nombreuses études internationales, dont il ressort qu’une augmentation très modérée du coût de l’électricité permettrait de provisionner 100 milliards d’euros en 18 ans pour faire face à un risque centennal. Un investissement d’avenir assez peu sensible en regard du coût qu’aurait pour les finances publiques la survenue d’une telle catastrophe…
En ligne : http://www.futuribles.com [article] L’assurance du risque nucléaire en France [texte imprimé] / BRASSARD Guy, Auteur . - 2012 . - pp. 27-46.
Langues : Français (fre)
in Futuribles > 385 (mai 2012) . - pp. 27-46Tags : Financement|Énergie nucléaire|Risques industriels Résumé : En mars dernier, le Japon a commémoré le premier anniversaire du drame de Fukushima, triste combinaison de catastrophes naturelles ayant engendré un accident nucléaire. Les dégâts matériels et humains sont énormes, et il faudra des décennies aux Japonais pour les effacer et tenter d’oublier ce drame qui témoigne de la grande vulnérabilité des économies — même les plus avancées — aux risques naturels et technologiques. Dans la foulée, les débats se sont multipliés quant à la pertinence du recours au nucléaire pour la production d’énergie, en particulier en France. Sans entrer à nouveau dans ces débats, il est néanmoins légitime de s’interroger — outre sur les capacités de prévention des risques nucléaires — sur la manière dont seraient prises en charge les conséquences d’une éventuelle catastrophe nucléaire dans ce pays.
C’est ce à quoi s’attelle ici Guy Brassard qui, après avoir rappelé les limites de la responsabilité d’EDF et de celle de l’État en France en matière d’indemnisation des dommages qui découleraient d’une telle catastrophe, souligne l’insuffisance des garanties en vigueur et en appelle à la création d’un fonds de réserve pour les événements exceptionnels. L’auteur insiste sur la nécessaire mitigation du risque nucléaire via une évaluation claire des centrales sur base de paramètres de sécurité uniformes, une analyse économique du bouquet électrique rendue publique, et la mise en place de mesures d’efficacité et de prudence dans l’utilisation du parc nucléaire français. Il propose enfin un modèle de calcul du coût d’une assurance contre les risques exceptionnels, fondé sur de nombreuses études internationales, dont il ressort qu’une augmentation très modérée du coût de l’électricité permettrait de provisionner 100 milliards d’euros en 18 ans pour faire face à un risque centennal. Un investissement d’avenir assez peu sensible en regard du coût qu’aurait pour les finances publiques la survenue d’une telle catastrophe…
En ligne : http://www.futuribles.com Réservation
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Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité P1602 HUG Periodique HEM Casa Documentaires Disponible D'un canal à l'autre : heurs et malheurs de la vie financière des grands projets / Jean-Guy Degos in La Revue du Financier, 214 (juillet-août 2016)
[article]
Titre : D'un canal à l'autre : heurs et malheurs de la vie financière des grands projets Type de document : texte imprimé Auteurs : Jean-Guy Degos, Auteur Année de publication : 2016 Article en page(s) : pp. 54-71 Langues : Français (fre)
in La Revue du Financier > 214 (juillet-août 2016) . - pp. 54-71Tags : Canal - Courbe de vie - Financement des grands projets - Marché contestable - Monopole naturel - Risques des grands projets - Voie d'eau artificielle Résumé : Dans cet article, nous étudions quelques projets de longue durée, ayant une courbe de vie de plusieurs siècles, où l'environnement et les conditions économiques changent : les frontières et les régimes politiques des pays, les comportements et les aspirations des hommes, la vie quotidienne et la perception du monde. Pour ces grands projets inscrits dans la durée, leur courbe de vie, comportant les étapes classiques de début, de maturité et de fin, la fin est peut être lointaine, mais parfois elle donne déjà une idée de l'issue du projet. Pour montrer la relativité de leur succès et de leur échec, nous avons choisi d'évoquer trois grands projets de même nature : dont on peut de nos jours, apprécier l'échec ou le succès. Nous étudierons d'abord, en respectant la chronologie, la voie d'eau la plus ancienne, le canal du Midi, grand projet le plus important du 17e siècle (1667 - 1682) qui fut un succès tant qu'il jouissait d'un onopole naturel. Nous évoquerons ensuite le canal de Suez, qui a été un succès, et qui le
demeure (1859 - 1869). Nous étudierons enfin le canal de Panama, qui fut un échec cuisant sous la gouvernance des français (1881 - 1903), qui devint ensuite, achevé par les américains (1904 - 1914), un succès non démenti. De nombreux facteurs ont modifié le destin de ces grands projets, et nous essaierons de les analyser.
En ligne : http://larevuedufinancier.fr/ [article] D'un canal à l'autre : heurs et malheurs de la vie financière des grands projets [texte imprimé] / Jean-Guy Degos, Auteur . - 2016 . - pp. 54-71.
Langues : Français (fre)
in La Revue du Financier > 214 (juillet-août 2016) . - pp. 54-71Tags : Canal - Courbe de vie - Financement des grands projets - Marché contestable - Monopole naturel - Risques des grands projets - Voie d'eau artificielle Résumé : Dans cet article, nous étudions quelques projets de longue durée, ayant une courbe de vie de plusieurs siècles, où l'environnement et les conditions économiques changent : les frontières et les régimes politiques des pays, les comportements et les aspirations des hommes, la vie quotidienne et la perception du monde. Pour ces grands projets inscrits dans la durée, leur courbe de vie, comportant les étapes classiques de début, de maturité et de fin, la fin est peut être lointaine, mais parfois elle donne déjà une idée de l'issue du projet. Pour montrer la relativité de leur succès et de leur échec, nous avons choisi d'évoquer trois grands projets de même nature : dont on peut de nos jours, apprécier l'échec ou le succès. Nous étudierons d'abord, en respectant la chronologie, la voie d'eau la plus ancienne, le canal du Midi, grand projet le plus important du 17e siècle (1667 - 1682) qui fut un succès tant qu'il jouissait d'un onopole naturel. Nous évoquerons ensuite le canal de Suez, qui a été un succès, et qui le
demeure (1859 - 1869). Nous étudierons enfin le canal de Panama, qui fut un échec cuisant sous la gouvernance des français (1881 - 1903), qui devint ensuite, achevé par les américains (1904 - 1914), un succès non démenti. De nombreux facteurs ont modifié le destin de ces grands projets, et nous essaierons de les analyser.
En ligne : http://larevuedufinancier.fr/ Réservation
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Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité P1775 THI Periodique HEM Casa Documentaires Disponible Charte de l'environnement : pour le principe de précaution / GODARD Olivier in Futuribles, 297 (mai 2004)
[article]
Titre : Charte de l'environnement : pour le principe de précaution Type de document : texte imprimé Auteurs : GODARD Olivier, Auteur Année de publication : 2004 Article en page(s) : pp. 73-86 Langues : Français (fre)
in Futuribles > 297 (mai 2004) . - pp. 73-86Tags : Cadre institutionnel|France|Risques Résumé : Dans la suite de ce forum consacré au projet de Charte de l'environnement que le président de la République souhaite inscrire dans la Constitution française, Olivier Godard nous livre une analyse plus précise d'un des points les plus controversés de cette charte, évoqué dans son article 5 : l'application du principe de précaution. L'auteur, spécialiste reconnu de la question que nous avons accueilli à plusieurs reprises dans nos colonnes, déroule les arguments des opposants à l'application du principe de précaution telle que prévue par la Charte dans sa rédaction actuelle - c'est-à -dire une application proportionnée et révisable dans le temps, en fonction de l'avancée des connaissances sur le sujet en cause - et montre en quoi leur fondement ne tient pas la route.
En premier lieu, nous dit Olivier Godard, le principe de précaution est le fruit d'une approche parfaitement rationnelle, ce qu'il démontre en s'appuyant par exemple sur l'épidémie de grippe aviaire survenue en ce début d'année. Ensuite, son inscription constitutionnelle n'affecte en rien la pertinence de ce principe : ce n'est pas parce que des effets fortuits ou des détournements (voire des perversions) ne peuvent être exclus qu'une norme, potentiellement victime de tels avatars mais néanmoins pertinente, doit être invalidée. Enfin, l'auteur fait ici la démonstration de ce que le principe de précaution proportionnée résiste fort bien au " test de la réflexivité " : autrement dit, appliqué à lui-même, le principe de précaution demeure un gage de décision équilibrée sur la durée.
En conclusion et pour clarifier certains points qui ont pu susciter la controverse, Olivier Godard propose quelques amendements à l'article 5 de la Charte, ainsi qu'une reformulation détaillée de celui-ci.En ligne : http://www.futuribles.com [article] Charte de l'environnement : pour le principe de précaution [texte imprimé] / GODARD Olivier, Auteur . - 2004 . - pp. 73-86.
Langues : Français (fre)
in Futuribles > 297 (mai 2004) . - pp. 73-86Tags : Cadre institutionnel|France|Risques Résumé : Dans la suite de ce forum consacré au projet de Charte de l'environnement que le président de la République souhaite inscrire dans la Constitution française, Olivier Godard nous livre une analyse plus précise d'un des points les plus controversés de cette charte, évoqué dans son article 5 : l'application du principe de précaution. L'auteur, spécialiste reconnu de la question que nous avons accueilli à plusieurs reprises dans nos colonnes, déroule les arguments des opposants à l'application du principe de précaution telle que prévue par la Charte dans sa rédaction actuelle - c'est-à -dire une application proportionnée et révisable dans le temps, en fonction de l'avancée des connaissances sur le sujet en cause - et montre en quoi leur fondement ne tient pas la route.
En premier lieu, nous dit Olivier Godard, le principe de précaution est le fruit d'une approche parfaitement rationnelle, ce qu'il démontre en s'appuyant par exemple sur l'épidémie de grippe aviaire survenue en ce début d'année. Ensuite, son inscription constitutionnelle n'affecte en rien la pertinence de ce principe : ce n'est pas parce que des effets fortuits ou des détournements (voire des perversions) ne peuvent être exclus qu'une norme, potentiellement victime de tels avatars mais néanmoins pertinente, doit être invalidée. Enfin, l'auteur fait ici la démonstration de ce que le principe de précaution proportionnée résiste fort bien au " test de la réflexivité " : autrement dit, appliqué à lui-même, le principe de précaution demeure un gage de décision équilibrée sur la durée.
En conclusion et pour clarifier certains points qui ont pu susciter la controverse, Olivier Godard propose quelques amendements à l'article 5 de la Charte, ainsi qu'une reformulation détaillée de celui-ci.En ligne : http://www.futuribles.com Réservation
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Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité P139 HUG Periodique HEM Casa Documentaires Disponible
[article]
Titre : Conservatismes contre libertés. L'apport d'Amartya Sen Type de document : texte imprimé Année de publication : 2005 Article en page(s) : pp. 61-64 Langues : Français (fre)
in Futuribles > 312 (octobre 2005) . - pp. 61-64Tags : Démocratie|Développement économique Résumé : Prix Nobel d'économie en 1998, Amartya Sen est particulièrement connu pour ses travaux sur les indicateurs de pauvreté et de développement, sur lesquels reposent aujourd'hui les différentes comparaisons internationales présentées par le PNUD (Programme des Nations unies pour le développement) dans son rapport annuel sur le développement humain. Un autre de ses chevaux de bataille concerne les libertés culturelles et la promotion de la démocratie, valeur universelle à son goût trop souvent accaparée par l'Occident. André-Yves Portnoff, très familier de son oeuvre, souligne ici l'apport de la pensée d'Amartya Sen dans ces deux domaines, se réjouissant de la rigueur éthique qu'y amène l'auteur indien. En ligne : http://www.futuribles.com [article] Conservatismes contre libertés. L'apport d'Amartya Sen [texte imprimé] . - 2005 . - pp. 61-64.
Langues : Français (fre)
in Futuribles > 312 (octobre 2005) . - pp. 61-64Tags : Démocratie|Développement économique Résumé : Prix Nobel d'économie en 1998, Amartya Sen est particulièrement connu pour ses travaux sur les indicateurs de pauvreté et de développement, sur lesquels reposent aujourd'hui les différentes comparaisons internationales présentées par le PNUD (Programme des Nations unies pour le développement) dans son rapport annuel sur le développement humain. Un autre de ses chevaux de bataille concerne les libertés culturelles et la promotion de la démocratie, valeur universelle à son goût trop souvent accaparée par l'Occident. André-Yves Portnoff, très familier de son oeuvre, souligne ici l'apport de la pensée d'Amartya Sen dans ces deux domaines, se réjouissant de la rigueur éthique qu'y amène l'auteur indien. En ligne : http://www.futuribles.com Réservation
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Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité P154 HUG Periodique HEM Casa Documentaires Disponible Débat démocratique et développement durable. Avis n° 2003-11 (mai 2003) de la CFDD in Futuribles, 289 (septembre 2003)
[article]
Titre : Débat démocratique et développement durable. Avis n° 2003-11 (mai 2003) de la CFDD Type de document : texte imprimé Année de publication : 2003 Article en page(s) : pp. 39-44 Langues : Français (fre)
in Futuribles > 289 (septembre 2003) . - pp. 39-44Tags : Démocratie|Politique gouvernementale|France|Développement durable Résumé : " Contrairement à d'autres comités, nous ne sommes pas un groupe d'experts dont le rôle serait de participer à la politique gouvernementale mais nous constituons un laboratoire d'idées indépendant et attentif, au service du développement durable et de la démocratie. Constatant la mise en cause de cette autonomie, de notre liberté de réflexion et d'action, la plupart des membres actifs de la CFDD considèrent aussi qu'ils n'ont pas d'autre choix que de mettre fin à leur mandat. " C'est en ces termes que Jacques Testart, dans une lettre de mai 2003 au Premier ministre français Jean-Pierre Raffarin, explique sa démission de la présidence de la CFDD, ainsi que celle de la majorité de ses membres actifs.
Comment donc cette autonomie, cette liberté de réflexion et d'action furent-elles mises en cause ? C'est ce que relate cet avis accablant, qui nous montre à quel point les débats nécessaires à toute politique de développement durable sont systématiquement escamotés. À sa lecture, on constate qu'il est plus que jamais difficile, en France, de promouvoir des lieux indépendants de débat démocratique sur les questions essentielles qui engagent l'avenir, alors même que " le développement durable n'a de sens que par l'invention de formes nouvelles de démocratie ".[article] Débat démocratique et développement durable. Avis n° 2003-11 (mai 2003) de la CFDD [texte imprimé] . - 2003 . - pp. 39-44.
Langues : Français (fre)
in Futuribles > 289 (septembre 2003) . - pp. 39-44Tags : Démocratie|Politique gouvernementale|France|Développement durable Résumé : " Contrairement à d'autres comités, nous ne sommes pas un groupe d'experts dont le rôle serait de participer à la politique gouvernementale mais nous constituons un laboratoire d'idées indépendant et attentif, au service du développement durable et de la démocratie. Constatant la mise en cause de cette autonomie, de notre liberté de réflexion et d'action, la plupart des membres actifs de la CFDD considèrent aussi qu'ils n'ont pas d'autre choix que de mettre fin à leur mandat. " C'est en ces termes que Jacques Testart, dans une lettre de mai 2003 au Premier ministre français Jean-Pierre Raffarin, explique sa démission de la présidence de la CFDD, ainsi que celle de la majorité de ses membres actifs.
Comment donc cette autonomie, cette liberté de réflexion et d'action furent-elles mises en cause ? C'est ce que relate cet avis accablant, qui nous montre à quel point les débats nécessaires à toute politique de développement durable sont systématiquement escamotés. À sa lecture, on constate qu'il est plus que jamais difficile, en France, de promouvoir des lieux indépendants de débat démocratique sur les questions essentielles qui engagent l'avenir, alors même que " le développement durable n'a de sens que par l'invention de formes nouvelles de démocratie ".Réservation
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Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité P131 HUG Periodique HEM Casa Documentaires Disponible Démocratie directe / Yannis Papadopoulos
Titre : Démocratie directe Type de document : texte imprimé Auteurs : Yannis Papadopoulos, Auteur Editeur : Paris : Economica Année de publication : 1998 Collection : Politique comparée Importance : 329 p. Format : 24 cm ISBN/ISSN/EAN : 978-2-7178-3770-4 Prix : 198 F Note générale : Bibliogr. p. 309-329 Langues : Français (fre) Tags : Démocratie directe Index. décimale : 321.8 Démocratie directe [texte imprimé] / Yannis Papadopoulos, Auteur . - Economica, 1998 . - 329 p. ; 24 cm. - (Politique comparée) .
ISBN : 978-2-7178-3770-4 : 198 F
Bibliogr. p. 309-329
Langues : Français (fre)
Tags : Démocratie directe Index. décimale : 321.8 Réservation
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Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 3425 321.4 / PAP Livre HEM Casa Documentaires Disponible R1588 321.4 / PAP Livre HEM Rabat Documentaires Disponible La démocratie à l'épreuve des marchés / Philippe Auberger
Titre : La démocratie à l'épreuve des marchés Type de document : texte imprimé Auteurs : Philippe Auberger (1941-....), Auteur Editeur : Paris : Economica Année de publication : 2003 Importance : 231 p. Présentation : couv. ill. en coul. Format : 24 cm ISBN/ISSN/EAN : 978-2-7178-4635-5 Prix : 17 EUR Note générale : Bibliogr. p. 228-231 Langues : Français (fre) Tags : Démocratie Commerce international économie de marché Index. décimale : 330.122 La démocratie à l'épreuve des marchés [texte imprimé] / Philippe Auberger (1941-....), Auteur . - Paris : Economica, 2003 . - 231 p. : couv. ill. en coul. ; 24 cm.
ISBN : 978-2-7178-4635-5 : 17 EUR
Bibliogr. p. 228-231
Langues : Français (fre)
Tags : Démocratie Commerce international économie de marché Index. décimale : 330.122 Réservation
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Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité M139 330.122 / AUB Livre HEM Marrakech Documentaires Disponible
[article]
Titre : Démocratie et liberté Titre original : À propos du livre de Fareed Zakaria, L'Avenir de la liberté Type de document : texte imprimé Auteurs : DRANCOURT Michel, Auteur Année de publication : 2003 Article en page(s) : pp. 61-65 Langues : Français (fre)
in Futuribles > 292 (décembre 2003) . - pp. 61-65Tags : Démocratie Résumé :
Michel Drancourt analyse ici le dernier livre de Fareed Zakaria, dans lequel cet éditorialiste de Newsweek se penche sur l'avenir de la démocratie et de la liberté. Selon Fareed Zakaria, en effet, la démocratie, telle que la plupart des Occidentaux la définissent actuellement (élections libres, séparation des pouvoirs et respect des libertés individuelles), est en proie à de nombreuses dérives. Si l'on n'y prend pas garde, nous dit-il, elle risque de tourner à la démocratie " illibérale ", autrement dit, de ne plus garantir le respect des libertés fondamentales qui constituait pourtant un de ses fondements. C'est pourquoi il est urgent, selon l'auteur, de prendre la mesure des excès qui ont détérioré la démocratie et d'instaurer des remparts contre cette dérive " illibérale ", en développant notamment des autorités de régulation efficaces.
En ligne : http://www.futuribles.com [article] Démocratie et liberté = À propos du livre de Fareed Zakaria, L'Avenir de la liberté [texte imprimé] / DRANCOURT Michel, Auteur . - 2003 . - pp. 61-65.
Langues : Français (fre)
in Futuribles > 292 (décembre 2003) . - pp. 61-65Tags : Démocratie Résumé :
Michel Drancourt analyse ici le dernier livre de Fareed Zakaria, dans lequel cet éditorialiste de Newsweek se penche sur l'avenir de la démocratie et de la liberté. Selon Fareed Zakaria, en effet, la démocratie, telle que la plupart des Occidentaux la définissent actuellement (élections libres, séparation des pouvoirs et respect des libertés individuelles), est en proie à de nombreuses dérives. Si l'on n'y prend pas garde, nous dit-il, elle risque de tourner à la démocratie " illibérale ", autrement dit, de ne plus garantir le respect des libertés fondamentales qui constituait pourtant un de ses fondements. C'est pourquoi il est urgent, selon l'auteur, de prendre la mesure des excès qui ont détérioré la démocratie et d'instaurer des remparts contre cette dérive " illibérale ", en développant notamment des autorités de régulation efficaces.
En ligne : http://www.futuribles.com Réservation
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Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité P134 HUG Periodique HEM Casa Documentaires Disponible La démocratie et ses mythes. L’urgence d’une démocratie intelligente / VALASKAKIS Kimon in Futuribles, 359 (janvier 2010)
[article]
Titre : La démocratie et ses mythes. L’urgence d’une démocratie intelligente Type de document : texte imprimé Auteurs : VALASKAKIS Kimon, Auteur Année de publication : 2010 Article en page(s) : pp. 15-32 Langues : Français (fre)
in Futuribles > 359 (janvier 2010) . - pp. 15-32Tags : Citoyenneté|Démocratie|État Résumé : La démocratie, jusqu’à présent seul système politique viable à long terme, n’est pas pour autant un régime parfait, une « solution miracle ». Au regard de ce constat, Kimon Valaskakis souligne, pour les lecteurs de Futuribles, les faiblesses de ce système et analyse les quatre mythes associés à ce qu’il appelle la « fausse démocratie », autrement dit la version superficielle de l’idéal démocratique, aujourd’hui prédominante.
Selon l’auteur, la prise de conscience de ces quatre mythes — l’infaillibilité du peuple, la suprématie de la démocratie directe sur la démocratie représentative, le pacifisme des pays démocratiques, et la corrélation entre démocratie nationale et démocratie mondiale — permettra aux nations et aux organisations mondiales de s’en libérer, et de s’orienter vers une « démocratie intelligente et durable », dont il présente, ici, les grands traits.
Ce virage est devenu essentiel depuis le début de la crise économique, insiste Kimon Valaskakis, afin de faire face à « la complexité croissante des défis mondiaux » et d’éviter un recul vers des régimes plus totalitaires.En ligne : http://www.futuribles.com [article] La démocratie et ses mythes. L’urgence d’une démocratie intelligente [texte imprimé] / VALASKAKIS Kimon, Auteur . - 2010 . - pp. 15-32.
Langues : Français (fre)
in Futuribles > 359 (janvier 2010) . - pp. 15-32Tags : Citoyenneté|Démocratie|État Résumé : La démocratie, jusqu’à présent seul système politique viable à long terme, n’est pas pour autant un régime parfait, une « solution miracle ». Au regard de ce constat, Kimon Valaskakis souligne, pour les lecteurs de Futuribles, les faiblesses de ce système et analyse les quatre mythes associés à ce qu’il appelle la « fausse démocratie », autrement dit la version superficielle de l’idéal démocratique, aujourd’hui prédominante.
Selon l’auteur, la prise de conscience de ces quatre mythes — l’infaillibilité du peuple, la suprématie de la démocratie directe sur la démocratie représentative, le pacifisme des pays démocratiques, et la corrélation entre démocratie nationale et démocratie mondiale — permettra aux nations et aux organisations mondiales de s’en libérer, et de s’orienter vers une « démocratie intelligente et durable », dont il présente, ici, les grands traits.
Ce virage est devenu essentiel depuis le début de la crise économique, insiste Kimon Valaskakis, afin de faire face à « la complexité croissante des défis mondiaux » et d’éviter un recul vers des régimes plus totalitaires.En ligne : http://www.futuribles.com Réservation
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Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité P1435 HUG Periodique HEM Casa Documentaires Disponible
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