Accueil
A partir de cette page vous pouvez :
Retourner au premier écran avec les dernières notices... |
Résultat de la recherche
64 résultat(s) recherche sur le tag 'Afrique|Énergie'
Affiner la recherche Interroger des sources externes Faire une suggestion
Perspectives énergétiques en Afrique de l’Ouest / DELACROIX Kroa Acka in Futuribles, 380 (décembre 2011)
[article]
Titre : Perspectives énergétiques en Afrique de l’Ouest Type de document : texte imprimé Auteurs : DELACROIX Kroa Acka, Auteur Année de publication : 2011 Article en page(s) : pp. 15-26 Langues : Français (fre)
in Futuribles > 380 (décembre 2011) . - pp. 15-26Tags : Afrique|Énergie Résumé : La revue Futuribles a consacré une large part de ses colonnes, en 2011, aux questions énergétiques, en lien notamment avec les perspectives d’épuisement des ressources fossiles et de changement climatique. Néanmoins, peu de ces articles comportaient des analyses régionales des problèmes énergétiques. L’article que nous publions ici de Denise Houphouet-Boigny et Kroa Acka Delacroix vient partiellement pallier ce défaut, en présentant les perspectives énergétiques d’une région où les ressources ne manquent pas, mais où beaucoup reste à faire pour les exploiter durablement et au profit de tous : l’Afrique de l’Ouest.
Les auteurs rappellent en premier lieu les composantes de l’offre énergétique dans cette région, en termes tant d’énergies fossiles que d’énergies renouvelables, puis se penchent sur les pistes possibles d’action subrégionale (via notamment la CEDEAO, la Communauté économique des États d’Afrique de l’Ouest) pour faire face aux différents défis actuels et à venir en matière d’approvisionnement énergétique. Ils montrent bien qu’à côté d’actions locales ou nationales pour développer le recours à l’énergie solaire ou éolienne, ou aux biocarburants, en remplacement des combustions de biomasse très polluantes, la coopération subrégionale et la mutualisation des investissements dans le secteur des énergies renouvelables (à commencer par l’hydroélectricité) constituent une option stratégique essentielle et, sans doute, un facteur décisif de développement de l’Afrique de l’Ouest.En ligne : http://www.futuribles.com [article] Perspectives énergétiques en Afrique de l’Ouest [texte imprimé] / DELACROIX Kroa Acka, Auteur . - 2011 . - pp. 15-26.
Langues : Français (fre)
in Futuribles > 380 (décembre 2011) . - pp. 15-26Tags : Afrique|Énergie Résumé : La revue Futuribles a consacré une large part de ses colonnes, en 2011, aux questions énergétiques, en lien notamment avec les perspectives d’épuisement des ressources fossiles et de changement climatique. Néanmoins, peu de ces articles comportaient des analyses régionales des problèmes énergétiques. L’article que nous publions ici de Denise Houphouet-Boigny et Kroa Acka Delacroix vient partiellement pallier ce défaut, en présentant les perspectives énergétiques d’une région où les ressources ne manquent pas, mais où beaucoup reste à faire pour les exploiter durablement et au profit de tous : l’Afrique de l’Ouest.
Les auteurs rappellent en premier lieu les composantes de l’offre énergétique dans cette région, en termes tant d’énergies fossiles que d’énergies renouvelables, puis se penchent sur les pistes possibles d’action subrégionale (via notamment la CEDEAO, la Communauté économique des États d’Afrique de l’Ouest) pour faire face aux différents défis actuels et à venir en matière d’approvisionnement énergétique. Ils montrent bien qu’à côté d’actions locales ou nationales pour développer le recours à l’énergie solaire ou éolienne, ou aux biocarburants, en remplacement des combustions de biomasse très polluantes, la coopération subrégionale et la mutualisation des investissements dans le secteur des énergies renouvelables (à commencer par l’hydroélectricité) constituent une option stratégique essentielle et, sans doute, un facteur décisif de développement de l’Afrique de l’Ouest.En ligne : http://www.futuribles.com Réservation
Réserver ce document
Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité P1572 HUG Periodique HEM Casa Documentaires Disponible
[article]
Titre : Accepter le nouveau siècle Type de document : texte imprimé Auteurs : RADANNE Pierre, Auteur Année de publication : 2006 Article en page(s) : pp. 5-14 Langues : Français (fre)
in Futuribles > 315 (janvier 2006) . - pp. 5-14Tags : Énergie|Climat Résumé : Cet article de Pierre Radanne résume, en quelques pages, l'essentiel des défis posés par le troisième choc énergétique qui affecte le monde depuis un peu plus d'un an. Après une brève description du caractère cyclique de l'énergie, Pierre Radanne montre comment s'est développé ce troisième choc et souligne combien les défis du changement climatique le placent à un niveau très différent des précédents chocs énergétiques connus.
Dans un tel contexte, le problème posé est d'ampleur civilisationnelle : on ne pourra généraliser le mode de vie occidental à toute la planète ; c'est pourquoi les pays développés doivent impérativement ouvrir la voie à de nouveaux comportements maîtrisant la consommation énergétique. Les pouvoirs publics, en Europe en particulier, doivent selon lui hiérarchiser leurs priorités et mettre en place une stratégie de long terme, passant par une certaine " re-régulation " du secteur de l'énergie. Il faut, conclut Pierre Radanne, se donner les moyens de réussir ce nouveau siècle, en utilisant le secteur de l'énergie comme vecteur de règlement des problèmes climatiques et voie d'émergence d'une nouvelle forme de civilisation, à l'échelle planétaire.En ligne : http://www.futuribles.com [article] Accepter le nouveau siècle [texte imprimé] / RADANNE Pierre, Auteur . - 2006 . - pp. 5-14.
Langues : Français (fre)
in Futuribles > 315 (janvier 2006) . - pp. 5-14Tags : Énergie|Climat Résumé : Cet article de Pierre Radanne résume, en quelques pages, l'essentiel des défis posés par le troisième choc énergétique qui affecte le monde depuis un peu plus d'un an. Après une brève description du caractère cyclique de l'énergie, Pierre Radanne montre comment s'est développé ce troisième choc et souligne combien les défis du changement climatique le placent à un niveau très différent des précédents chocs énergétiques connus.
Dans un tel contexte, le problème posé est d'ampleur civilisationnelle : on ne pourra généraliser le mode de vie occidental à toute la planète ; c'est pourquoi les pays développés doivent impérativement ouvrir la voie à de nouveaux comportements maîtrisant la consommation énergétique. Les pouvoirs publics, en Europe en particulier, doivent selon lui hiérarchiser leurs priorités et mettre en place une stratégie de long terme, passant par une certaine " re-régulation " du secteur de l'énergie. Il faut, conclut Pierre Radanne, se donner les moyens de réussir ce nouveau siècle, en utilisant le secteur de l'énergie comme vecteur de règlement des problèmes climatiques et voie d'émergence d'une nouvelle forme de civilisation, à l'échelle planétaire.En ligne : http://www.futuribles.com Réservation
Réserver ce document
Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité P1099 HUG Periodique HEM Casa Documentaires Disponible Afrique subsaharienne : une transition démographique explosive / LERIDON Henri in Futuribles, 407 (juillet-août 2015)
[article]
Titre : Afrique subsaharienne : une transition démographique explosive Type de document : texte imprimé Auteurs : LERIDON Henri, Auteur Année de publication : 2015 Article en page(s) : pp. 5-22 Langues : Français (fre)
in Futuribles > 407 (juillet-août 2015) . - pp. 5-22Tags : Afrique | Démographie Résumé : Futuribles attire régulièrement l’attention de ses lecteurs sur les dangers inhérents au modèle de développement dominant sur notre planète qui, à force de puiser dans ses ressources naturelles et de générer des pollutions, fait que nous sommes sans doute près d’avoir atteint les limites de notre écosystème. Il est ainsi devenu urgent d’entrer dans une phase de développement véritablement durable, ce qui passe certes par des modes de vie, de production et de consommation différents, mais dépend également beaucoup du nombre d’habitants présents et à venir sur notre planète.
À cet égard, nombreux sont ceux qui, s’appuyant sur le mouvement général de transition démographique que connaissent les sociétés au fil de leur développement, estiment que la croissance démographique des décennies à venir ne devrait pas poser de problème majeur. Pourtant, à lire ici l’analyse d’Henri Leridon sur les perspectives démographiques du continent africain à l’horizon 2100, et non pas 2050 qui était l’horizon habituel des analyses antérieures, il y a tout lieu de s’inquiéter : l’Afrique pourrait voir sa population s’accroître de plus de deux milliards d’habitants d’ici 2050, et du double (plus de quatre milliards) d’ici la fin du siècle. On est loin de la transition démographique telle qu’on a pu l’observer jusqu’ici dans le reste du monde ; et il est peu probable que le continent africain (ni même notre planète) puisse subvenir aux besoins d’une population forte d’une telle croissance. Or, comme le montre aussi Henri Leridon, ces perspectives démographiques (particulièrement inquiétantes dans la partie subsaharienne de l’Afrique) ne semblent guère alarmer les responsables politiques, qui pourtant devraient prendre des mesures importantes en termes d’éducation, de maîtrise de la fécondité, de planification familiale… ; et ce de manière urgente.En ligne : http://www.futuribles.com [article] Afrique subsaharienne : une transition démographique explosive [texte imprimé] / LERIDON Henri, Auteur . - 2015 . - pp. 5-22.
Langues : Français (fre)
in Futuribles > 407 (juillet-août 2015) . - pp. 5-22Tags : Afrique | Démographie Résumé : Futuribles attire régulièrement l’attention de ses lecteurs sur les dangers inhérents au modèle de développement dominant sur notre planète qui, à force de puiser dans ses ressources naturelles et de générer des pollutions, fait que nous sommes sans doute près d’avoir atteint les limites de notre écosystème. Il est ainsi devenu urgent d’entrer dans une phase de développement véritablement durable, ce qui passe certes par des modes de vie, de production et de consommation différents, mais dépend également beaucoup du nombre d’habitants présents et à venir sur notre planète.
À cet égard, nombreux sont ceux qui, s’appuyant sur le mouvement général de transition démographique que connaissent les sociétés au fil de leur développement, estiment que la croissance démographique des décennies à venir ne devrait pas poser de problème majeur. Pourtant, à lire ici l’analyse d’Henri Leridon sur les perspectives démographiques du continent africain à l’horizon 2100, et non pas 2050 qui était l’horizon habituel des analyses antérieures, il y a tout lieu de s’inquiéter : l’Afrique pourrait voir sa population s’accroître de plus de deux milliards d’habitants d’ici 2050, et du double (plus de quatre milliards) d’ici la fin du siècle. On est loin de la transition démographique telle qu’on a pu l’observer jusqu’ici dans le reste du monde ; et il est peu probable que le continent africain (ni même notre planète) puisse subvenir aux besoins d’une population forte d’une telle croissance. Or, comme le montre aussi Henri Leridon, ces perspectives démographiques (particulièrement inquiétantes dans la partie subsaharienne de l’Afrique) ne semblent guère alarmer les responsables politiques, qui pourtant devraient prendre des mesures importantes en termes d’éducation, de maîtrise de la fécondité, de planification familiale… ; et ce de manière urgente.En ligne : http://www.futuribles.com Réservation
Réserver ce document
Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité P1758 HUG Periodique HEM Casa Documentaires Disponible
[article]
Titre : L’assurance du risque nucléaire en France Type de document : texte imprimé Auteurs : BRASSARD Guy, Auteur Année de publication : 2012 Article en page(s) : pp. 27-46 Langues : Français (fre)
in Futuribles > 385 (mai 2012) . - pp. 27-46Tags : Financement|Énergie nucléaire|Risques industriels Résumé : En mars dernier, le Japon a commémoré le premier anniversaire du drame de Fukushima, triste combinaison de catastrophes naturelles ayant engendré un accident nucléaire. Les dégâts matériels et humains sont énormes, et il faudra des décennies aux Japonais pour les effacer et tenter d’oublier ce drame qui témoigne de la grande vulnérabilité des économies — même les plus avancées — aux risques naturels et technologiques. Dans la foulée, les débats se sont multipliés quant à la pertinence du recours au nucléaire pour la production d’énergie, en particulier en France. Sans entrer à nouveau dans ces débats, il est néanmoins légitime de s’interroger — outre sur les capacités de prévention des risques nucléaires — sur la manière dont seraient prises en charge les conséquences d’une éventuelle catastrophe nucléaire dans ce pays.
C’est ce à quoi s’attelle ici Guy Brassard qui, après avoir rappelé les limites de la responsabilité d’EDF et de celle de l’État en France en matière d’indemnisation des dommages qui découleraient d’une telle catastrophe, souligne l’insuffisance des garanties en vigueur et en appelle à la création d’un fonds de réserve pour les événements exceptionnels. L’auteur insiste sur la nécessaire mitigation du risque nucléaire via une évaluation claire des centrales sur base de paramètres de sécurité uniformes, une analyse économique du bouquet électrique rendue publique, et la mise en place de mesures d’efficacité et de prudence dans l’utilisation du parc nucléaire français. Il propose enfin un modèle de calcul du coût d’une assurance contre les risques exceptionnels, fondé sur de nombreuses études internationales, dont il ressort qu’une augmentation très modérée du coût de l’électricité permettrait de provisionner 100 milliards d’euros en 18 ans pour faire face à un risque centennal. Un investissement d’avenir assez peu sensible en regard du coût qu’aurait pour les finances publiques la survenue d’une telle catastrophe…
En ligne : http://www.futuribles.com [article] L’assurance du risque nucléaire en France [texte imprimé] / BRASSARD Guy, Auteur . - 2012 . - pp. 27-46.
Langues : Français (fre)
in Futuribles > 385 (mai 2012) . - pp. 27-46Tags : Financement|Énergie nucléaire|Risques industriels Résumé : En mars dernier, le Japon a commémoré le premier anniversaire du drame de Fukushima, triste combinaison de catastrophes naturelles ayant engendré un accident nucléaire. Les dégâts matériels et humains sont énormes, et il faudra des décennies aux Japonais pour les effacer et tenter d’oublier ce drame qui témoigne de la grande vulnérabilité des économies — même les plus avancées — aux risques naturels et technologiques. Dans la foulée, les débats se sont multipliés quant à la pertinence du recours au nucléaire pour la production d’énergie, en particulier en France. Sans entrer à nouveau dans ces débats, il est néanmoins légitime de s’interroger — outre sur les capacités de prévention des risques nucléaires — sur la manière dont seraient prises en charge les conséquences d’une éventuelle catastrophe nucléaire dans ce pays.
C’est ce à quoi s’attelle ici Guy Brassard qui, après avoir rappelé les limites de la responsabilité d’EDF et de celle de l’État en France en matière d’indemnisation des dommages qui découleraient d’une telle catastrophe, souligne l’insuffisance des garanties en vigueur et en appelle à la création d’un fonds de réserve pour les événements exceptionnels. L’auteur insiste sur la nécessaire mitigation du risque nucléaire via une évaluation claire des centrales sur base de paramètres de sécurité uniformes, une analyse économique du bouquet électrique rendue publique, et la mise en place de mesures d’efficacité et de prudence dans l’utilisation du parc nucléaire français. Il propose enfin un modèle de calcul du coût d’une assurance contre les risques exceptionnels, fondé sur de nombreuses études internationales, dont il ressort qu’une augmentation très modérée du coût de l’électricité permettrait de provisionner 100 milliards d’euros en 18 ans pour faire face à un risque centennal. Un investissement d’avenir assez peu sensible en regard du coût qu’aurait pour les finances publiques la survenue d’une telle catastrophe…
En ligne : http://www.futuribles.com Réservation
Réserver ce document
Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité P1602 HUG Periodique HEM Casa Documentaires Disponible L'automobile de demain. Quels enjeux, quelles perspectives ? / BONNAURE Pierre in Futuribles, 311 (septembre 2005)
[article]
Titre : L'automobile de demain. Quels enjeux, quelles perspectives ? Type de document : texte imprimé Auteurs : BONNAURE Pierre, Auteur Année de publication : 2005 Article en page(s) : pp. 25-38 Langues : Français (fre)
in Futuribles > 311 (septembre 2005) . - pp. 25-38Tags : Énergie|Automobiles Résumé : L'automobile constitue, depuis plus d'un demi-siècle, un fleuron de l'industrie française. Si la phrase célèbre " quand Renault tousse, la France s'enrhume " a perdu de son actualité au fil des ans, de la tertiarisation de l'économie et de l'automatisation du secteur (l'industrie automobile n'occupe plus, en France, que 1,3 % des actifs en emploi), celui-ci conserve une place symbolique dans l'opinion.
Cependant, comme le montrent ici Pierre Bonnaure et Véronique Lamblin, la voiture évolue beaucoup, dans sa forme comme dans sa composition (de plus en plus électronique), suivant en cela les aspirations des consommateurs, les exigences croissantes en matière de sécurité, d'environnement, etc., et exige donc de plus en plus d'innovations de la part des constructeurs. À cela s'ajoutent la perspective d'épuisement des hydrocarbures, qui pose la question de l'alimentation des véhicules en énergie, ainsi que, sans doute bientôt, l'arrivée sur le marché de constructeurs de pays émergents (Chine, Inde, par exemple).
Dans un tel contexte, la concurrence risque de se faire rude et les investissements en recherche, notamment, ne doivent plus se faire attendre, en France comme plus généralement en Europe.En ligne : http://www.futuribles.com [article] L'automobile de demain. Quels enjeux, quelles perspectives ? [texte imprimé] / BONNAURE Pierre, Auteur . - 2005 . - pp. 25-38.
Langues : Français (fre)
in Futuribles > 311 (septembre 2005) . - pp. 25-38Tags : Énergie|Automobiles Résumé : L'automobile constitue, depuis plus d'un demi-siècle, un fleuron de l'industrie française. Si la phrase célèbre " quand Renault tousse, la France s'enrhume " a perdu de son actualité au fil des ans, de la tertiarisation de l'économie et de l'automatisation du secteur (l'industrie automobile n'occupe plus, en France, que 1,3 % des actifs en emploi), celui-ci conserve une place symbolique dans l'opinion.
Cependant, comme le montrent ici Pierre Bonnaure et Véronique Lamblin, la voiture évolue beaucoup, dans sa forme comme dans sa composition (de plus en plus électronique), suivant en cela les aspirations des consommateurs, les exigences croissantes en matière de sécurité, d'environnement, etc., et exige donc de plus en plus d'innovations de la part des constructeurs. À cela s'ajoutent la perspective d'épuisement des hydrocarbures, qui pose la question de l'alimentation des véhicules en énergie, ainsi que, sans doute bientôt, l'arrivée sur le marché de constructeurs de pays émergents (Chine, Inde, par exemple).
Dans un tel contexte, la concurrence risque de se faire rude et les investissements en recherche, notamment, ne doivent plus se faire attendre, en France comme plus généralement en Europe.En ligne : http://www.futuribles.com Réservation
Réserver ce document
Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité P153 HUG Periodique HEM Casa Documentaires Disponible
[article]
Titre : Le bâtiment à énergie positive Type de document : texte imprimé Auteurs : MAUGARD Alain, Auteur Année de publication : 2005 Article en page(s) : pp. 39-56 Langues : Français (fre)
in Futuribles > 304 (janvier 2005) . - pp. 39-56Tags : Énergie|Industrie de la construction Résumé : Le réchauffement climatique et les risques de pénurie d'énergies fossiles sont deux des enjeux majeurs auxquels les sociétés modernes, et la planète dans son ensemble, auront à faire face au cours du XXIe siècle. Outre les nécessaires efforts à faire en termes de consommation individuelle, de transports ou de techniques de production industrielle, un secteur conserve encore d'importantes marges d'amélioration de ses capacités en matière énergétique : celui de l'habitat.
Comme le montrent, dans cet article, trois acteurs du secteur travaillant pour le CSTB (Centre scientifique et technique du bâtiment), de nombreuses techniques existent déjà et pourraient encore progresser concernant d'une part le renforcement des économies d'énergie, d'autre part le développement de capacités autonomes de production d'énergies renouvelables, dans les habitations.
L'utilisation de matériaux spécifiques (capteurs solaires, doubles vitrages, isolants...), le développement des " bâtiments à énergie positive " : autant de pistes techniques proposées par ces spécialistes de la question, qui montrent combien le secteur de l'habitat est sous-exploité pour l'amélioration du bilan énergétique, en France en particulier (l'Allemagne et la Suisse étant très en avance en ce domaine). D'où un certain nombre de propositions, ici formulées, visant à encourager les pouvoirs publics à mettre en place divers dispositifs d'incitation des citoyens à opter pour un habitat " intelligent " du point de vue énergétique.En ligne : http://www.futuribles.com [article] Le bâtiment à énergie positive [texte imprimé] / MAUGARD Alain, Auteur . - 2005 . - pp. 39-56.
Langues : Français (fre)
in Futuribles > 304 (janvier 2005) . - pp. 39-56Tags : Énergie|Industrie de la construction Résumé : Le réchauffement climatique et les risques de pénurie d'énergies fossiles sont deux des enjeux majeurs auxquels les sociétés modernes, et la planète dans son ensemble, auront à faire face au cours du XXIe siècle. Outre les nécessaires efforts à faire en termes de consommation individuelle, de transports ou de techniques de production industrielle, un secteur conserve encore d'importantes marges d'amélioration de ses capacités en matière énergétique : celui de l'habitat.
Comme le montrent, dans cet article, trois acteurs du secteur travaillant pour le CSTB (Centre scientifique et technique du bâtiment), de nombreuses techniques existent déjà et pourraient encore progresser concernant d'une part le renforcement des économies d'énergie, d'autre part le développement de capacités autonomes de production d'énergies renouvelables, dans les habitations.
L'utilisation de matériaux spécifiques (capteurs solaires, doubles vitrages, isolants...), le développement des " bâtiments à énergie positive " : autant de pistes techniques proposées par ces spécialistes de la question, qui montrent combien le secteur de l'habitat est sous-exploité pour l'amélioration du bilan énergétique, en France en particulier (l'Allemagne et la Suisse étant très en avance en ce domaine). D'où un certain nombre de propositions, ici formulées, visant à encourager les pouvoirs publics à mettre en place divers dispositifs d'incitation des citoyens à opter pour un habitat " intelligent " du point de vue énergétique.En ligne : http://www.futuribles.com Réservation
Réserver ce document
Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité P146 HUG Periodique HEM Casa Documentaires Disponible Le bâtiment sans énergies fossiles ? Les bâtiments pourront-ils se passer des énergies fossiles en France à l'horizon 2050 ? / BAMBERGER Yves in Futuribles, 343 (juillet-août 2008)
[article]
Titre : Le bâtiment sans énergies fossiles ? Les bâtiments pourront-ils se passer des énergies fossiles en France à l'horizon 2050 ? Type de document : texte imprimé Auteurs : BAMBERGER Yves, Auteur Année de publication : 2008 Article en page(s) : pp. 79-100 Langues : Français (fre)
in Futuribles > 343 (juillet-août 2008) . - pp. 79-100Tags : France|Énergie|Industrie de la construction|Climat Résumé : L'ère du pétrole bon marché semble toucher à sa fin et l'épuisement des ressources fossiles fait partie des scénarios possibles, pour ne pas dire probables, à l'horizon d'un demi-siècle, comme l'a montré le numéro spécial de Futuribles " Perspectives énergétiques et effet de serre " en janvier 2006. Si l'on ajoute à cela la nécessité de réduire les émissions de dioxyde de carbone dans un contexte de réchauffement climatique, il est grand temps, dans les pays développés, de réfléchir aux alternatives possibles aux énergies fossiles.
En France, une équipe d'EDF-R&D s'est penchée sérieusement sur cette question et a construit un scénario d'évolution vers des bâtiments (des secteurs résidentiel et tertiaire) ne faisant pas appel aux énergies fossiles, à l'horizon 2050. Ils présentent ici leur scénario, les hypothèses retenues (et les raisons de ces choix) et la stratégie requise pour y parvenir.
Après un état des lieux de la situation actuelle des bâtiments en France, dans le domaine énergétique, les auteurs détaillent leurs recommandations visant à améliorer l'isolation, l'efficacité énergétique, et le recours aux énergies renouvelables dans le bâti neuf et en rénovation. Ils montrent ainsi qu'en mettant en oeuvre les actions qu'ils préconisent, la France pourrait ne plus recourir aux énergies fossiles dans le bâtiment sans augmenter de façon significative la demande d'électricité, en réduisant, de surcroît, ses émissions de CO2 de 90 millions de tonnes par an. Ils soulignent enfin qu'une telle mutation est crédible à l'horizon 2050 : le secteur du bâtiment pourrait techniquement se passer des combustibles fossiles grâce à des économies d'énergie, un peu d'électricité et de biomasse supplémentaires, mais à condition de proposer des instruments financiers adaptés (pour inciter les ménages à investir davantage en ce sens).En ligne : http://www.futuribles.com [article] Le bâtiment sans énergies fossiles ? Les bâtiments pourront-ils se passer des énergies fossiles en France à l'horizon 2050 ? [texte imprimé] / BAMBERGER Yves, Auteur . - 2008 . - pp. 79-100.
Langues : Français (fre)
in Futuribles > 343 (juillet-août 2008) . - pp. 79-100Tags : France|Énergie|Industrie de la construction|Climat Résumé : L'ère du pétrole bon marché semble toucher à sa fin et l'épuisement des ressources fossiles fait partie des scénarios possibles, pour ne pas dire probables, à l'horizon d'un demi-siècle, comme l'a montré le numéro spécial de Futuribles " Perspectives énergétiques et effet de serre " en janvier 2006. Si l'on ajoute à cela la nécessité de réduire les émissions de dioxyde de carbone dans un contexte de réchauffement climatique, il est grand temps, dans les pays développés, de réfléchir aux alternatives possibles aux énergies fossiles.
En France, une équipe d'EDF-R&D s'est penchée sérieusement sur cette question et a construit un scénario d'évolution vers des bâtiments (des secteurs résidentiel et tertiaire) ne faisant pas appel aux énergies fossiles, à l'horizon 2050. Ils présentent ici leur scénario, les hypothèses retenues (et les raisons de ces choix) et la stratégie requise pour y parvenir.
Après un état des lieux de la situation actuelle des bâtiments en France, dans le domaine énergétique, les auteurs détaillent leurs recommandations visant à améliorer l'isolation, l'efficacité énergétique, et le recours aux énergies renouvelables dans le bâti neuf et en rénovation. Ils montrent ainsi qu'en mettant en oeuvre les actions qu'ils préconisent, la France pourrait ne plus recourir aux énergies fossiles dans le bâtiment sans augmenter de façon significative la demande d'électricité, en réduisant, de surcroît, ses émissions de CO2 de 90 millions de tonnes par an. Ils soulignent enfin qu'une telle mutation est crédible à l'horizon 2050 : le secteur du bâtiment pourrait techniquement se passer des combustibles fossiles grâce à des économies d'énergie, un peu d'électricité et de biomasse supplémentaires, mais à condition de proposer des instruments financiers adaptés (pour inciter les ménages à investir davantage en ce sens).En ligne : http://www.futuribles.com Réservation
Réserver ce document
Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité P1312 HUG Periodique HEM Casa Documentaires Disponible Les besoins énergétiques des bâtiments / LAURENT Marie-Hélène in Futuribles, 327 (février 2007)
[article]
Titre : Les besoins énergétiques des bâtiments Titre original : Les leviers d'action pour une meilleure maîtrise de la demande en énergie dans les bâtiments Type de document : texte imprimé Auteurs : LAURENT Marie-Hélène, Auteur Année de publication : 2007 Article en page(s) : pp. 39-62 Langues : Français (fre)
in Futuribles > 327 (février 2007) . - pp. 39-62Tags : Énergie|Industrie de la construction Résumé : Les politiques énergétiques européennes et nationales affichent toutes aujourd'hui un triple objectif de limitation des émissions de gaz à effet de serre, de performance économique des marchés de l'énergie et d'amélioration de l'indépendance énergétique. Pour atteindre ces objectifs, il convient d'agir à la fois sur l'offre et sur la demande, d'essayer sur ce second aspect particulièrement complexe d'améliorer l'efficacité énergétique, assurément des transports mais aussi des bâtiments. Et c'est de ceux-ci dont traite le présent article.
Ses auteurs commencent par rendre compte des principaux facteurs déterminant la consommation d'énergie des bâtiments (chauffage, production d'eau chaude, cuisson et électricité spécifique) en montrant comment ils ont évolué au cours des dernières décennies, puis quel est le potentiel d'économies réalisables à l'avenir.
Tout en présentant ainsi les progrès possibles, elles soulignent toutefois l'inertie du bâti, particulièrement du logement, et la faible vitesse de son renouvellement. Aussi explorent-elles, en définitive, quelles sont les modalités qui permettraient, tout en les rénovant, d'améliorer l'efficacité énergétique des bâtiments existants.
En ligne : http://www.futuribles.com [article] Les besoins énergétiques des bâtiments = Les leviers d'action pour une meilleure maîtrise de la demande en énergie dans les bâtiments [texte imprimé] / LAURENT Marie-Hélène, Auteur . - 2007 . - pp. 39-62.
Langues : Français (fre)
in Futuribles > 327 (février 2007) . - pp. 39-62Tags : Énergie|Industrie de la construction Résumé : Les politiques énergétiques européennes et nationales affichent toutes aujourd'hui un triple objectif de limitation des émissions de gaz à effet de serre, de performance économique des marchés de l'énergie et d'amélioration de l'indépendance énergétique. Pour atteindre ces objectifs, il convient d'agir à la fois sur l'offre et sur la demande, d'essayer sur ce second aspect particulièrement complexe d'améliorer l'efficacité énergétique, assurément des transports mais aussi des bâtiments. Et c'est de ceux-ci dont traite le présent article.
Ses auteurs commencent par rendre compte des principaux facteurs déterminant la consommation d'énergie des bâtiments (chauffage, production d'eau chaude, cuisson et électricité spécifique) en montrant comment ils ont évolué au cours des dernières décennies, puis quel est le potentiel d'économies réalisables à l'avenir.
Tout en présentant ainsi les progrès possibles, elles soulignent toutefois l'inertie du bâti, particulièrement du logement, et la faible vitesse de son renouvellement. Aussi explorent-elles, en définitive, quelles sont les modalités qui permettraient, tout en les rénovant, d'améliorer l'efficacité énergétique des bâtiments existants.
En ligne : http://www.futuribles.com Réservation
Réserver ce document
Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité P1189 HUG Periodique HEM Casa Documentaires Disponible La Chine est-elle un accapareur de terres en Afrique ? / GABAS Jean-Jacques in Futuribles, 398 (janvier-février 2014)
[article]
Titre : La Chine est-elle un accapareur de terres en Afrique ? : Retour sur une réalité mal acceptée Type de document : texte imprimé Auteurs : GABAS Jean-Jacques, Auteur Année de publication : 2014 Article en page(s) : pp. 25-36 Langues : Français (fre)
in Futuribles > 398 (janvier-février 2014) . - pp. 25-36Tags : Économie foncière | Coopération internationale | Afrique | Chine Résumé : Forte d’une croissance économique et démographique soutenue, voyant le niveau de vie de ses habitants s’élever et devant faire face à une demande alimentaire en hausse, la Chine doit s’efforcer de pourvoir aux besoins croissants de sa population. Dans ce contexte, elle a souvent été l’objet de critiques d’observateurs estimant qu’elle faisait preuve d’une certaine forme de néocolonialisme à l’égard du continent africain, s’agissant non seulement de son approvisionnement en matières premières minérales, mais aussi dans le domaine agricole et foncier. Qu’en est-il concrètement ? La Chine peut-elle être considérée comme un pays s’accaparant massivement les terres africaines ?
Selon Jean-Jacques Gabas, qui s’appuie ici sur les deux bases de données les plus fiables en matière d’acquisitions foncières dans le monde, la réalité est nettement plus contrastée qu’il y paraît. Après avoir resitué la Chine dans le commerce agricole mondial, l’auteur présente un aperçu des transactions foncières dans le monde et un classement des plus grands investisseurs fonciers, dans lequel la Chine se classe en sixième position, loin derrière les États-Unis. Il précise ensuite où se localisent essentiellement ces investissements et, s’agissant des principaux pays africains concernés, quelle part (modeste) y représentent les investissements chinois. Il montre enfin que l’Afrique ne constitue pas une priorité géographique dans les investissements fonciers chinois, précise la nature des projets chinois engagés sur le sol africain et souligne la propension croissante de la Chine à axer ses actions en Afrique sur l’aide au développement.
[article] La Chine est-elle un accapareur de terres en Afrique ? : Retour sur une réalité mal acceptée [texte imprimé] / GABAS Jean-Jacques, Auteur . - 2014 . - pp. 25-36.
Langues : Français (fre)
in Futuribles > 398 (janvier-février 2014) . - pp. 25-36Tags : Économie foncière | Coopération internationale | Afrique | Chine Résumé : Forte d’une croissance économique et démographique soutenue, voyant le niveau de vie de ses habitants s’élever et devant faire face à une demande alimentaire en hausse, la Chine doit s’efforcer de pourvoir aux besoins croissants de sa population. Dans ce contexte, elle a souvent été l’objet de critiques d’observateurs estimant qu’elle faisait preuve d’une certaine forme de néocolonialisme à l’égard du continent africain, s’agissant non seulement de son approvisionnement en matières premières minérales, mais aussi dans le domaine agricole et foncier. Qu’en est-il concrètement ? La Chine peut-elle être considérée comme un pays s’accaparant massivement les terres africaines ?
Selon Jean-Jacques Gabas, qui s’appuie ici sur les deux bases de données les plus fiables en matière d’acquisitions foncières dans le monde, la réalité est nettement plus contrastée qu’il y paraît. Après avoir resitué la Chine dans le commerce agricole mondial, l’auteur présente un aperçu des transactions foncières dans le monde et un classement des plus grands investisseurs fonciers, dans lequel la Chine se classe en sixième position, loin derrière les États-Unis. Il précise ensuite où se localisent essentiellement ces investissements et, s’agissant des principaux pays africains concernés, quelle part (modeste) y représentent les investissements chinois. Il montre enfin que l’Afrique ne constitue pas une priorité géographique dans les investissements fonciers chinois, précise la nature des projets chinois engagés sur le sol africain et souligne la propension croissante de la Chine à axer ses actions en Afrique sur l’aide au développement.
Réservation
Réserver ce document
Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité P1700 HUG Periodique HEM Casa Documentaires Disponible Les civilisations oubliées / Florence Braunstein-Silvestre
Titre : Les civilisations oubliées Type de document : texte imprimé Auteurs : Florence Braunstein-Silvestre, Auteur ; Jean-François Pépin, Auteur Editeur : Paris : Ellipses Année de publication : 1994 Importance : 176 p. Présentation : ill., couv. ill. en coul. Format : 24 cm ISBN/ISSN/EAN : 978-2-7298-9401-6 Prix : 85 F Langues : Français (fre) Tags : Civilisations précolombiennes Indiens Civilisation Amérique du Nord Asie du Sud-Est Civilisation Tibet ( Chine ) Civilisation Afrique noire Civilisation Pacifique ( région) Civilisation Index. décimale : 93 Les civilisations oubliées [texte imprimé] / Florence Braunstein-Silvestre, Auteur ; Jean-François Pépin, Auteur . - Paris : Ellipses, 1994 . - 176 p. : ill., couv. ill. en coul. ; 24 cm.
ISBN : 978-2-7298-9401-6 : 85 F
Langues : Français (fre)Réservation
Réserver ce document
Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 2584 302.24 / BRA Livre HEM Casa Documentaires Disponible
Se connecter
Mot de passe oublié ?Adresse
CDI HEMAv AlQods Californie 20150 Casablanca
20150 Casablanca
Maroc
05 22 52 52 52
contact