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L'entrepreneur comme un homme prudent / François Facchini in La Revue des Sciences de Gestion, 226-227 (juillet-octobre 2007)

Public ISBD [article]  inLa Revue des Sciences de Gestion > 226-227 (juillet-octobre 2007) . - p. 29 Titre : L'entrepreneur comme un homme prudent Type de document : texte imprimé Auteurs : François Facchini, Auteur Année de publication : 2007 Article en page(s) : p. 29 Langues : Français (fre) Catégories : STRATEGIE Tags : entrepreneur, prudence, innovation, et jugement. Résumé : Cet article propose d'unifier les théories économiques de l'entrepreneur par la théorie thomiste de la prudence. Il soutient que la principale qualité de l'entrepreneur est d'être prudent. Il présente dans les deux premières sections les théories de l'entrepreneur en les organisant autour de deux traditions. La tradition - Cantillon - Knight - Schumpeter - définit l'entrepreneur comme un preneur de risque capable de gérer l'incertitude et d'innover. La tradition - Say - Mises - Kirzner - définit l'entrepreneur comme un homme ordinaire, alerte au profit et capable d'avoir un bon jugement sur les affaires. Loin d'être opposées ces deux traditions sont complémentaires. Pour innover, en effet, il faut avoir identifier un profit. La qualité de vigilance ou d'alertness est en ce sens un préalable à l'innovation et à la prise de risque. La littérature contemporaine a, néanmoins, fait un certain nombre de critiques à ce concept d'alertness. La théorie thomiste de la prudence permet de les lever et d'unifier sur des bases nouvelles l'ensemble des figures présentes dans les sciences économiques et de gestion. La principale qualité de l'entrepreneur est bien d'identifier les profits non exploités sur les marchés, mais au lieu de réduire cette qualité à de l'alertness il est préférable de la définir comme une forme de prudence économique. L'entrepreneur prudent est celui qui délibère bien. Une bonne délibération imagine et innove (Schumpeter). Elle juge (Say, Knight) dans un monde incertain de l'opportunité des projets imaginés. Elle commande enfin au moment opportun d'agir et de mobiliser des ressources pour réaliser concrètement les profits perçus. L'imagination, le jugement et le commandement sont donc les principales qualités de l'entrepreneur c'est-à-dire de l'homme prudent. L'entrepreneur est donc l'homme qui délibère pour bien agir. Mots-clés : entrepreneur, prudence, innovation, et jugement. [article] L'entrepreneur comme un homme prudent [texte imprimé] / François Facchini, Auteur . - 2007 . - p. 29. Langues : Français (fre) inLa Revue des Sciences de Gestion > 226-227 (juillet-octobre 2007) . - p. 29 Catégories : STRATEGIE Tags : entrepreneur, prudence, innovation, et jugement. Résumé : Cet article propose d'unifier les théories économiques de l'entrepreneur par la théorie thomiste de la prudence. Il soutient que la principale qualité de l'entrepreneur est d'être prudent. Il présente dans les deux premières sections les théories de l'entrepreneur en les organisant autour de deux traditions. La tradition - Cantillon - Knight - Schumpeter - définit l'entrepreneur comme un preneur de risque capable de gérer l'incertitude et d'innover. La tradition - Say - Mises - Kirzner - définit l'entrepreneur comme un homme ordinaire, alerte au profit et capable d'avoir un bon jugement sur les affaires. Loin d'être opposées ces deux traditions sont complémentaires. Pour innover, en effet, il faut avoir identifier un profit. La qualité de vigilance ou d'alertness est en ce sens un préalable à l'innovation et à la prise de risque. La littérature contemporaine a, néanmoins, fait un certain nombre de critiques à ce concept d'alertness. La théorie thomiste de la prudence permet de les lever et d'unifier sur des bases nouvelles l'ensemble des figures présentes dans les sciences économiques et de gestion. La principale qualité de l'entrepreneur est bien d'identifier les profits non exploités sur les marchés, mais au lieu de réduire cette qualité à de l'alertness il est préférable de la définir comme une forme de prudence économique. L'entrepreneur prudent est celui qui délibère bien. Une bonne délibération imagine et innove (Schumpeter). Elle juge (Say, Knight) dans un monde incertain de l'opportunité des projets imaginés. Elle commande enfin au moment opportun d'agir et de mobiliser des ressources pour réaliser concrètement les profits perçus. L'imagination, le jugement et le commandement sont donc les principales qualités de l'entrepreneur c'est-à-dire de l'homme prudent. L'entrepreneur est donc l'homme qui délibère pour bien agir. Mots-clés : entrepreneur, prudence, innovation, et jugement.

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L'odyssée d'un concept et les multiples figures de l'entrepreneur / Azzédine Tounes in La Revue des Sciences de Gestion, 220-221 (juillet-octobre 2006)

Public ISBD [article]  inLa Revue des Sciences de Gestion > 220-221 (juillet-octobre 2006) . - p. 17 Titre : L'odyssée d'un concept et les multiples figures de l'entrepreneur Type de document : texte imprimé Auteurs : Azzédine Tounes, Auteur Année de publication : 2006 Article en page(s) : p. 17 Langues : Français (fre) Catégories : ORGANISATION Tags : entrepreneur, entrepreneuriat, figures d'entrepreneur, mutations économiques. Résumé : Cet article s'intéresse au rôle et à la contribution économique de l'entrepreneur. Le concept, qui n'est certainement pas encore stabilisé, s'est transformé et parfois s'est confondu avec celui d'entreprise. La perspective historique, que nous combinons à une vision dynamique, incite à se demander si les périodes où l'entrepreneur est mobilisé culturellement et socialement correspondent à des époques de changements et de mutations économiques qui appellent des figures et des formes particulières d'entrepreneuriat. L'objet de notre travail est de tisser un lien entre la dimension conceptuelle et les événements contextuels qui ont vu l'émergence ou le retour des entrepreneurs. Cependant, quelles que soient les oppositions de la théorie, et parfois ses contradictions, il convient de ne pas oublier que les entrepreneurs existent, qu'ils décident et qu'ils agissent, presque toujours, d'ailleurs, sans tenir compte de la théorie économique. L'activité économique, la conjoncture et l'esprit du capitalisme exigent des acteurs qui prennent des risques et qui bousculent l'ordre établi. Aujourd'hui, dans un contexte de "globalisation", le porteur de l'esprit d'entreprise se fraye un chemin de premier plan dans les sphères sociale et économique. Mots-clés : entrepreneur, entrepreneuriat, figures d'entrepreneur, mutations économiques. [article] L'odyssée d'un concept et les multiples figures de l'entrepreneur [texte imprimé] / Azzédine Tounes, Auteur . - 2006 . - p. 17. Langues : Français (fre) inLa Revue des Sciences de Gestion > 220-221 (juillet-octobre 2006) . - p. 17 Catégories : ORGANISATION Tags : entrepreneur, entrepreneuriat, figures d'entrepreneur, mutations économiques. Résumé : Cet article s'intéresse au rôle et à la contribution économique de l'entrepreneur. Le concept, qui n'est certainement pas encore stabilisé, s'est transformé et parfois s'est confondu avec celui d'entreprise. La perspective historique, que nous combinons à une vision dynamique, incite à se demander si les périodes où l'entrepreneur est mobilisé culturellement et socialement correspondent à des époques de changements et de mutations économiques qui appellent des figures et des formes particulières d'entrepreneuriat. L'objet de notre travail est de tisser un lien entre la dimension conceptuelle et les événements contextuels qui ont vu l'émergence ou le retour des entrepreneurs. Cependant, quelles que soient les oppositions de la théorie, et parfois ses contradictions, il convient de ne pas oublier que les entrepreneurs existent, qu'ils décident et qu'ils agissent, presque toujours, d'ailleurs, sans tenir compte de la théorie économique. L'activité économique, la conjoncture et l'esprit du capitalisme exigent des acteurs qui prennent des risques et qui bousculent l'ordre établi. Aujourd'hui, dans un contexte de "globalisation", le porteur de l'esprit d'entreprise se fraye un chemin de premier plan dans les sphères sociale et économique. Mots-clés : entrepreneur, entrepreneuriat, figures d'entrepreneur, mutations économiques.

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Extension du domaine de l'entrepreneur... et limites / Emile-Michel Hernandez in La Revue des Sciences de Gestion, 219 (mai-juin 2006)

Public ISBD [article]  inLa Revue des Sciences de Gestion > 219 (mai-juin 2006) . - p. 17 Titre : Extension du domaine de l'entrepreneur... et limites Type de document : texte imprimé Auteurs : Emile-Michel Hernandez, Auteur Année de publication : 2006 Article en page(s) : p. 17 Langues : Français (fre) Catégories : ORGANISATION Tags : Autonomie, Entrepreneur, Entrepreneuriat, Entrepreneuriat corporatif, Entreprise holomorphe, Néolibéralisme. Résumé : Le triomphe actuel du modèle néolibéral fait de l'entrepreneur la figure centrale de la société. L'objet de cet article est de s'interroger sur ce véritable envahissement du champ économique et social par ce modèle élevé au rang de véritable mythe, d'idéologie... et d'en montrer les limites. Ce phénomène est analysé à trois niveaux, le niveau sociétal d'abord, le niveau organisationnel ensuite, le niveau individuel enfin. La conclusion insiste sur les limites de ce modèle du "du tout et tous entrepreneurs" et propose une alternative : l'entreprise à la carte. Mots clés : Autonomie, Entrepreneur, Entrepreneuriat, Entrepreneuriat corporatif, Entreprise holomorphe, Néolibéralisme. [article] Extension du domaine de l'entrepreneur... et limites [texte imprimé] / Emile-Michel Hernandez, Auteur . - 2006 . - p. 17. Langues : Français (fre) inLa Revue des Sciences de Gestion > 219 (mai-juin 2006) . - p. 17 Catégories : ORGANISATION Tags : Autonomie, Entrepreneur, Entrepreneuriat, Entrepreneuriat corporatif, Entreprise holomorphe, Néolibéralisme. Résumé : Le triomphe actuel du modèle néolibéral fait de l'entrepreneur la figure centrale de la société. L'objet de cet article est de s'interroger sur ce véritable envahissement du champ économique et social par ce modèle élevé au rang de véritable mythe, d'idéologie... et d'en montrer les limites. Ce phénomène est analysé à trois niveaux, le niveau sociétal d'abord, le niveau organisationnel ensuite, le niveau individuel enfin. La conclusion insiste sur les limites de ce modèle du "du tout et tous entrepreneurs" et propose une alternative : l'entreprise à la carte. Mots clés : Autonomie, Entrepreneur, Entrepreneuriat, Entrepreneuriat corporatif, Entreprise holomorphe, Néolibéralisme.

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p1133	PHI	Periodique	HEM Casa	Documentaires	Exclu du prêt

L'intention entrepreneuriale des étudiants : le cas français / Azzédine Tounes in La Revue des Sciences de Gestion, 219 (mai-juin 2006)

Public ISBD [article]  inLa Revue des Sciences de Gestion > 219 (mai-juin 2006) . - p. 57 Titre : L'intention entrepreneuriale des étudiants : le cas français Type de document : texte imprimé Auteurs : Azzédine Tounes, Auteur Année de publication : 2006 Article en page(s) : p. 57 Langues : Français (fre) Tags : aptitudes entrepreneuriales  attitudes entrepreneuriales  enseignement de l'entrepreneuriat  entrepreneur  entrepreneuriat  intention entrepreneuriale  normes subjectives  perceptions du contrôle comportemental. Résumé : Cet article décrit et explique l'intention entrepreneuriale des étudiants suivant des formations dans cette finalité. L'idée centrale est de comprendre l'influence de ces dernières, au même titre que celle des variables psychologiques, socioculturelles et économiques, sur l'intention entrepreneuriale. Celle-ci représente une phase centrale du processus entrepreneurial amont. Cette problématique mobilise le modèle des dimensions sociales de l'entrepreneuriat de Shapero et Sokol (1982) et la théorie du comportement planifié de Ajzen (1991). Ainsi, au sein d'un modèle hypothético-déductif, nous analysons ce type d'intention en considérant trois groupes de facteurs : les attitudes associées au comportement, les normes subjectives et les perceptions du contrôle comportemental. Ce modèle est validé en adoptant la démarche de Churchill (1979) ; il est testé sur une population composée de 178 étudiants en gestion suivant des cursus à dominante entrepreneuriale (bac + 5). Les tests économétriques montrent que les deux objectifs de l'étude ont été atteints. Le premier met en exergue l'impact de l'enseignement de l'entrepreneuriat sur l'intention entrepreneuriale. Le deuxième a été partiellement vérifié. Les hypothèses afférentes aux attitudes associées au comportement, aux normes subjectives et aux expériences professionnelles ont été validées ; les hypothèses relatives aux perceptions de disponibilité des ressources et aux perceptions des aptitudes acquises par le biais des expériences associatives ont été rejetées. Mots-clés : aptitudes entrepreneuriales ; attitudes entrepreneuriales ; enseignement de l'entrepreneuriat ; entrepreneur ; entrepreneuriat ; intention entrepreneuriale ; normes subjectives ; perceptions du contrôle comportemental. [article] L'intention entrepreneuriale des étudiants : le cas français [texte imprimé] / Azzédine Tounes, Auteur . - 2006 . - p. 57. Langues : Français (fre) inLa Revue des Sciences de Gestion > 219 (mai-juin 2006) . - p. 57 Tags : aptitudes entrepreneuriales  attitudes entrepreneuriales  enseignement de l'entrepreneuriat  entrepreneur  entrepreneuriat  intention entrepreneuriale  normes subjectives  perceptions du contrôle comportemental. Résumé : Cet article décrit et explique l'intention entrepreneuriale des étudiants suivant des formations dans cette finalité. L'idée centrale est de comprendre l'influence de ces dernières, au même titre que celle des variables psychologiques, socioculturelles et économiques, sur l'intention entrepreneuriale. Celle-ci représente une phase centrale du processus entrepreneurial amont. Cette problématique mobilise le modèle des dimensions sociales de l'entrepreneuriat de Shapero et Sokol (1982) et la théorie du comportement planifié de Ajzen (1991). Ainsi, au sein d'un modèle hypothético-déductif, nous analysons ce type d'intention en considérant trois groupes de facteurs : les attitudes associées au comportement, les normes subjectives et les perceptions du contrôle comportemental. Ce modèle est validé en adoptant la démarche de Churchill (1979) ; il est testé sur une population composée de 178 étudiants en gestion suivant des cursus à dominante entrepreneuriale (bac + 5). Les tests économétriques montrent que les deux objectifs de l'étude ont été atteints. Le premier met en exergue l'impact de l'enseignement de l'entrepreneuriat sur l'intention entrepreneuriale. Le deuxième a été partiellement vérifié. Les hypothèses afférentes aux attitudes associées au comportement, aux normes subjectives et aux expériences professionnelles ont été validées ; les hypothèses relatives aux perceptions de disponibilité des ressources et aux perceptions des aptitudes acquises par le biais des expériences associatives ont été rejetées. Mots-clés : aptitudes entrepreneuriales ; attitudes entrepreneuriales ; enseignement de l'entrepreneuriat ; entrepreneur ; entrepreneuriat ; intention entrepreneuriale ; normes subjectives ; perceptions du contrôle comportemental.

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