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265 résultat(s) recherche sur le tag 'Aspects économiques|Analyse historique|Aspects sociaux|Migration'
Affiner la recherche Interroger des sources externes Faire une suggestionControverse sur les migrations / TRIBALAT Michèle in Futuribles, 386 (juin 2012)
Titre : Controverse sur les migrations Type de document : texte imprimé Auteurs : TRIBALAT Michèle, Auteur Année de publication : 2012 Article en page(s) : pp. 23-32 Langues : Français (fre)
in Futuribles > 386 (juin 2012) . - pp. 23-32Tags : Aspects économiques|Analyse historique|Aspects sociaux|Migration Résumé : Les questions migratoires font régulièrement la une de l’actualité en Europe — en France, en particulier, comme peut en témoigner la campagne électorale de 2012 — et suscitent des débats animés. Il en est de même outre-Manche et outre-Atlantique, comme le montre ici Michèle Tribalat dans son analyse croisée de deux ouvrages publiés en 2011 : Exceptional People et Immigrant Nations*. Michèle Tribalat souligne ainsi combien l’approche de la question migratoire peut varier dans son rapport au temps et à l’Histoire, mais aussi dans les analyses économiques de l’impact des migrations sur les sociétés d’accueil, et dans le regard porté (ou occulté) sur les aspects identitaires et culturels qui entourent l’arrivée de communautés étrangères dans une société. En ligne : http://www.futuribles.com [article] Controverse sur les migrations [texte imprimé] / TRIBALAT Michèle, Auteur . - 2012 . - pp. 23-32.
Langues : Français (fre)
in Futuribles > 386 (juin 2012) . - pp. 23-32Tags : Aspects économiques|Analyse historique|Aspects sociaux|Migration Résumé : Les questions migratoires font régulièrement la une de l’actualité en Europe — en France, en particulier, comme peut en témoigner la campagne électorale de 2012 — et suscitent des débats animés. Il en est de même outre-Manche et outre-Atlantique, comme le montre ici Michèle Tribalat dans son analyse croisée de deux ouvrages publiés en 2011 : Exceptional People et Immigrant Nations*. Michèle Tribalat souligne ainsi combien l’approche de la question migratoire peut varier dans son rapport au temps et à l’Histoire, mais aussi dans les analyses économiques de l’impact des migrations sur les sociétés d’accueil, et dans le regard porté (ou occulté) sur les aspects identitaires et culturels qui entourent l’arrivée de communautés étrangères dans une société. En ligne : http://www.futuribles.com Réservation
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Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité P1608 HUG Periodique HEM Casa Documentaires Disponible
Titre : Économie et migrations. Des déterminants et impacts économics des migrations internationales Type de document : texte imprimé Auteurs : JUSTEAU Stéphane, Auteur Année de publication : 2001 Article en page(s) : pp. 33-46 Langues : Français (fre)
in Futuribles > 270 (décembre 2001) . - pp. 33-46Tags : :Aspects économiques|Migration Résumé : Quels sont les déterminants des flux migratoires internationaux et les impacts socio-économiques qu'ils peuvent avoir, aussi bien sur les pays d'origine que sur les pays d'accueil ? Ces questions, bien qu'essentielles, sont hélas peu étudiées. Le sujet demeure largement tabou et, en l'absence d'expertise solide, se trouve essentiellement abordé de manière purement idéologique.
Stéphane Justeau ne prétend pas résoudre le problème qu'il conviendrait d'appréhender au travers de l'ensemble de ses dimensions démographique, culturelle, sociale, politique. Mais, en économiste, il nous apporte ici quelques éléments précieux d'analyse, d'une part sur la décision des individus de migrer, d'autre part sur l'impact de ces migrations sur le niveau de l'emploi et des rémunérations des pays d'accueil.
En substance, il montre le rôle (non exclusif) que joue le différentiel de salaire dans les comportements migratoires. Ensuite, il souligne le faible impact qu'entraîne l'immigration sur le niveau des salaires et de l'emploi des autochtones. Il nous livre ainsi quelques éléments précieux au profit d'une analyse plus complète et fine d'un phénomène qui reste pour une grande part à étudier.En ligne : http://www.futuribles.com [article] Économie et migrations. Des déterminants et impacts économics des migrations internationales [texte imprimé] / JUSTEAU Stéphane, Auteur . - 2001 . - pp. 33-46.
Langues : Français (fre)
in Futuribles > 270 (décembre 2001) . - pp. 33-46Tags : :Aspects économiques|Migration Résumé : Quels sont les déterminants des flux migratoires internationaux et les impacts socio-économiques qu'ils peuvent avoir, aussi bien sur les pays d'origine que sur les pays d'accueil ? Ces questions, bien qu'essentielles, sont hélas peu étudiées. Le sujet demeure largement tabou et, en l'absence d'expertise solide, se trouve essentiellement abordé de manière purement idéologique.
Stéphane Justeau ne prétend pas résoudre le problème qu'il conviendrait d'appréhender au travers de l'ensemble de ses dimensions démographique, culturelle, sociale, politique. Mais, en économiste, il nous apporte ici quelques éléments précieux d'analyse, d'une part sur la décision des individus de migrer, d'autre part sur l'impact de ces migrations sur le niveau de l'emploi et des rémunérations des pays d'accueil.
En substance, il montre le rôle (non exclusif) que joue le différentiel de salaire dans les comportements migratoires. Ensuite, il souligne le faible impact qu'entraîne l'immigration sur le niveau des salaires et de l'emploi des autochtones. Il nous livre ainsi quelques éléments précieux au profit d'une analyse plus complète et fine d'un phénomène qui reste pour une grande part à étudier.En ligne : http://www.futuribles.com Réservation
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Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité P112 HUG Periodique HEM Casa Documentaires Disponible
Titre : Le changement climatique après Cancun. Un accord sur les principes mais sans leviers d'action Type de document : texte imprimé Auteurs : PERTHUIS Christian, Auteur Année de publication : 2011 Article en page(s) : pp. 65-84 Langues : Français (fre)
in Futuribles > 373 (avril 2011) . - pp. 65-84Tags : Aspects économiques|Coopération internationale|Politique fiscale|Climat Résumé : Le changement climatique et les conséquences potentiellement graves qu’il porte en germe pour notre planète ont fait leur entrée à la table des grandes négociations internationales en 1992, lors du sommet de Rio. S’en est suivie une négociation ardue qui a débouché sur le protocole de Kyoto en 1997, qui fixait des objectifs chiffrés de réduction des émissions de gaz à effet de serre jusqu’en 2012. Depuis lors, la configuration des négociations — très complexes en raison du grand nombre de participants et de la disparité des situations économiques — a beaucoup évolué, comme on a pu le voir lors de la conférence de Copenhague en décembre 2009 et, plus récemment, avec l’accord conclu à Cancún fin 2010.
Anaïs Delbosc et Christian de Perthuis, qui suivent de près les questions économiques en lien avec le climat, font ici le point sur la négociation climatique internationale : où en est-on, comment ont évolué les discussions, quels sont les points d’accord et de désaccord, les mécanismes économiques mis en place, etc. ? Après un rappel historique, les auteurs présentent l’accord de Cancún puis entrent dans le détail d’un « système d’engagement à géométrie variable ». Ils montrent, en particulier, les difficultés de comparaison des engagements pris par les différentes parties à la négociation mais soulignent que, globalement, les pays développés se situent en dessous des recommandations du Groupe intergouvernemental d’experts sur l’évolution du climat. Puis ils formulent plusieurs propositions visant à pousser plus loin les engagements de réduction des émissions de gaz à effet de serre, par exemple en renforçant et unifiant le système de mesure et de vérification du respect des objectifs sur lesquels se sont engagés les pays, tout en tenant compte de la diversité des situations. Ils proposent enfin d’utiliser plus efficacement les différents instruments économiques existants, avant de rappeler les faiblesses non résolues par l’accord de Cancún, que la conférence de Durban, prévue fin 2011, devra s’attacher à résorber.
En ligne : http://www.futuribles.com [article] Le changement climatique après Cancun. Un accord sur les principes mais sans leviers d'action [texte imprimé] / PERTHUIS Christian, Auteur . - 2011 . - pp. 65-84.
Langues : Français (fre)
in Futuribles > 373 (avril 2011) . - pp. 65-84Tags : Aspects économiques|Coopération internationale|Politique fiscale|Climat Résumé : Le changement climatique et les conséquences potentiellement graves qu’il porte en germe pour notre planète ont fait leur entrée à la table des grandes négociations internationales en 1992, lors du sommet de Rio. S’en est suivie une négociation ardue qui a débouché sur le protocole de Kyoto en 1997, qui fixait des objectifs chiffrés de réduction des émissions de gaz à effet de serre jusqu’en 2012. Depuis lors, la configuration des négociations — très complexes en raison du grand nombre de participants et de la disparité des situations économiques — a beaucoup évolué, comme on a pu le voir lors de la conférence de Copenhague en décembre 2009 et, plus récemment, avec l’accord conclu à Cancún fin 2010.
Anaïs Delbosc et Christian de Perthuis, qui suivent de près les questions économiques en lien avec le climat, font ici le point sur la négociation climatique internationale : où en est-on, comment ont évolué les discussions, quels sont les points d’accord et de désaccord, les mécanismes économiques mis en place, etc. ? Après un rappel historique, les auteurs présentent l’accord de Cancún puis entrent dans le détail d’un « système d’engagement à géométrie variable ». Ils montrent, en particulier, les difficultés de comparaison des engagements pris par les différentes parties à la négociation mais soulignent que, globalement, les pays développés se situent en dessous des recommandations du Groupe intergouvernemental d’experts sur l’évolution du climat. Puis ils formulent plusieurs propositions visant à pousser plus loin les engagements de réduction des émissions de gaz à effet de serre, par exemple en renforçant et unifiant le système de mesure et de vérification du respect des objectifs sur lesquels se sont engagés les pays, tout en tenant compte de la diversité des situations. Ils proposent enfin d’utiliser plus efficacement les différents instruments économiques existants, avant de rappeler les faiblesses non résolues par l’accord de Cancún, que la conférence de Durban, prévue fin 2011, devra s’attacher à résorber.
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Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité P1526 HUG Periodique HEM Casa Documentaires Disponible
Titre : Économie libérale et solidarité sociale Type de document : texte imprimé Auteurs : COLLOMB Bertrand, Auteur Année de publication : 2012 Article en page(s) : pp. 73-78 Langues : Français (fre)
in Futuribles > 388 (septembre 2012) . - pp. 73-78Tags : Libéralisme|Aspects sociaux Résumé : La crise économique qui frappe l’Europe et en particulier la France depuis plusieurs décennies, puis la crise financière qui s’y est ajoutée depuis 2007 ont jeté un lourd discrédit sur le secteur financier, mais aussi sur les pratiques court-termistes de certaines entreprises préférant la maximisation des profits de leurs actionnaires aux investissements d’avenir. Pour autant, à lire ce forum de Bertrand Collomb, des évolutions se profilent au cœur même de l’économie libérale, visant à ajouter des objectifs sociaux aux objectifs économiques classiques des entreprises.
Le développement du mécénat d’entreprise, ainsi que les incitations en faveur d’une responsabilité sociale des entreprises (au sens de la solidarité comme du développement durable) ont ouvert la voie. S’y ajoutent depuis quelque temps des expériences consistant à allier rentabilité d’entreprise et objectifs sociaux, autrement dit à faire de la croissance économique en s’efforçant de répondre — au moins partiellement — à certains besoins sociaux. De cette manière, ce type d’initiatives permet de donner du sens à l’action des salariés impliqués et de favoriser l’insertion de nouveaux clients dans le cycle économique, concourant en retour à la bonne santé des entreprises. Si elles se généralisaient, ce serait sans doute l’occasion, nous dit Bertrand Collomb, de revenir à une économie profitant à tous les partenaires et non seulement aux actionnaires.
En ligne : http://www.futuribles.com [article] Économie libérale et solidarité sociale [texte imprimé] / COLLOMB Bertrand, Auteur . - 2012 . - pp. 73-78.
Langues : Français (fre)
in Futuribles > 388 (septembre 2012) . - pp. 73-78Tags : Libéralisme|Aspects sociaux Résumé : La crise économique qui frappe l’Europe et en particulier la France depuis plusieurs décennies, puis la crise financière qui s’y est ajoutée depuis 2007 ont jeté un lourd discrédit sur le secteur financier, mais aussi sur les pratiques court-termistes de certaines entreprises préférant la maximisation des profits de leurs actionnaires aux investissements d’avenir. Pour autant, à lire ce forum de Bertrand Collomb, des évolutions se profilent au cœur même de l’économie libérale, visant à ajouter des objectifs sociaux aux objectifs économiques classiques des entreprises.
Le développement du mécénat d’entreprise, ainsi que les incitations en faveur d’une responsabilité sociale des entreprises (au sens de la solidarité comme du développement durable) ont ouvert la voie. S’y ajoutent depuis quelque temps des expériences consistant à allier rentabilité d’entreprise et objectifs sociaux, autrement dit à faire de la croissance économique en s’efforçant de répondre — au moins partiellement — à certains besoins sociaux. De cette manière, ce type d’initiatives permet de donner du sens à l’action des salariés impliqués et de favoriser l’insertion de nouveaux clients dans le cycle économique, concourant en retour à la bonne santé des entreprises. Si elles se généralisaient, ce serait sans doute l’occasion, nous dit Bertrand Collomb, de revenir à une économie profitant à tous les partenaires et non seulement aux actionnaires.
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Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité P1617 HUG Periodique HEM Casa Documentaires Disponible
Titre : Énergie : nouvelle donne économique et politique. À propos du livre de Jean-Pierre Hansen et Jacques Percebois, Énergie. Économie et politiques Type de document : texte imprimé Auteurs : LESOURNE Jacques, Auteur Année de publication : 2011 Article en page(s) : pp. 103-108 Langues : Français (fre)
in Futuribles > 373 (avril 2011) . - pp. 103-108Tags : Aspects politiques|Aspects économiques|Énergie Résumé : S’il est un secteur dans lequel la donne a radicalement changé en quelques décennies, c’est bien celui de l’énergie, affecté tout à la fois par les perspectives d’épuisement des principales énergies fossiles, par l’impact de la consommation de ces énergies fossiles sur le climat de notre planète (impliquant un recours accru à des sources renouvelables) et par le développement économique accéléré de grands pays de plus en plus consommateurs d’énergie. De fait, les politiques relatives à l’énergie (en particulier économiques et technologiques) sont élaborées dans un contexte de plus en plus complexe et de plus en plus international, parfois bien difficile à appréhender.
Fort heureusement, deux spécialistes des questions énergétiques, Jean-Pierre Hansen et Jacques Percebois, ont publié, fin 2010, une somme très complète sur cette nouvelle donne économique et politique dans le domaine de l’énergie : Énergie. Économie et politiques. Il n’est évidemment pas possible de rendre compte ici de l’intégralité des questions qu’ils abordent, mais Jacques Lesourne, qui a lu cet ouvrage pour Futuribles, montre bien, dans cette recension, l’importance de ce livre et présente au lecteur les principales facettes qui en font un outil de référence pour toutes les personnes qui gravitent autour de ce secteur, y compris les plus spécialistes.
En ligne : http://www.futuribles.com [article] Énergie : nouvelle donne économique et politique. À propos du livre de Jean-Pierre Hansen et Jacques Percebois, Énergie. Économie et politiques [texte imprimé] / LESOURNE Jacques, Auteur . - 2011 . - pp. 103-108.
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in Futuribles > 373 (avril 2011) . - pp. 103-108Tags : Aspects politiques|Aspects économiques|Énergie Résumé : S’il est un secteur dans lequel la donne a radicalement changé en quelques décennies, c’est bien celui de l’énergie, affecté tout à la fois par les perspectives d’épuisement des principales énergies fossiles, par l’impact de la consommation de ces énergies fossiles sur le climat de notre planète (impliquant un recours accru à des sources renouvelables) et par le développement économique accéléré de grands pays de plus en plus consommateurs d’énergie. De fait, les politiques relatives à l’énergie (en particulier économiques et technologiques) sont élaborées dans un contexte de plus en plus complexe et de plus en plus international, parfois bien difficile à appréhender.
Fort heureusement, deux spécialistes des questions énergétiques, Jean-Pierre Hansen et Jacques Percebois, ont publié, fin 2010, une somme très complète sur cette nouvelle donne économique et politique dans le domaine de l’énergie : Énergie. Économie et politiques. Il n’est évidemment pas possible de rendre compte ici de l’intégralité des questions qu’ils abordent, mais Jacques Lesourne, qui a lu cet ouvrage pour Futuribles, montre bien, dans cette recension, l’importance de ce livre et présente au lecteur les principales facettes qui en font un outil de référence pour toutes les personnes qui gravitent autour de ce secteur, y compris les plus spécialistes.
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Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité P1526 HUG Periodique HEM Casa Documentaires Disponible
Titre : Irritants sociaux et désengagement au travail. De la prévention des risques psychosociaux à l’évaluation de la contribution de l’entreprise au mieux-vivre Type de document : texte imprimé Auteurs : LANDIER, Hubert, Auteur Année de publication : 2012 Article en page(s) : pp. 51-62 Langues : Français (fre)
in Futuribles > 390 (novembre 2012) . - pp. 51-62Tags : Aspects sociaux|Entreprises|Management|Travail Résumé : La grave crise économique que traverse l’Europe s’accompagne, en particulier en France, de nombreuses fermetures d’entreprises et de leur cortège de licenciements. Dans ce contexte, les relations sociales au sein des entreprises fragilisées ne sont guère au beau fixe. Et à lire ici Hubert Landier, il en est de même dans la plupart des organisations, qu’elles soient ou non en bonne forme économique. Car si en France, la conflictualité au travail a notablement baissé ces 30 dernières années, elle a été relayée par un phénomène non moins dommageable pour tout le monde : le désengagement des salariés à l’égard de leur travail ou de leur entreprise.
Hubert Landier montre ici en quoi consiste ce désengagement (retards, erreurs, malfaçons, dégradation du matériel, stress, absentéisme…) et quel en est le coût, pour l’entreprise comme pour le salarié. Il s’intéresse ensuite aux facteurs à l’origine de ce désengagement : la multiplication des « irritants sociaux » qui concernent tout autant les relations et comportements au sein de l’entreprise que les méthodes de management ou la perception que s’en font les uns et les autres ; autrement dit, des facteurs d’ordre immatériel bien plus que la rémunération ou le temps de travail. À cet égard, l’auteur souligne le rôle essentiel du management dans la progression du désengagement mais aussi, à l’inverse, celui qu’il peut jouer dans la remobilisation des salariés. Il rappelle au passage l’impact positif du bien-être au travail sur les performances économiques des entreprises et va même plus loin, estimant qu’après avoir compris l’importance de développer le bien-être au travail, les entreprises feront un pas de plus en contribuant, grâce à l’écoute de leurs salariés, au « mieux-vivre dans la Cité ».
En ligne : http://www.futuribles.com [article] Irritants sociaux et désengagement au travail. De la prévention des risques psychosociaux à l’évaluation de la contribution de l’entreprise au mieux-vivre [texte imprimé] / LANDIER, Hubert, Auteur . - 2012 . - pp. 51-62.
Langues : Français (fre)
in Futuribles > 390 (novembre 2012) . - pp. 51-62Tags : Aspects sociaux|Entreprises|Management|Travail Résumé : La grave crise économique que traverse l’Europe s’accompagne, en particulier en France, de nombreuses fermetures d’entreprises et de leur cortège de licenciements. Dans ce contexte, les relations sociales au sein des entreprises fragilisées ne sont guère au beau fixe. Et à lire ici Hubert Landier, il en est de même dans la plupart des organisations, qu’elles soient ou non en bonne forme économique. Car si en France, la conflictualité au travail a notablement baissé ces 30 dernières années, elle a été relayée par un phénomène non moins dommageable pour tout le monde : le désengagement des salariés à l’égard de leur travail ou de leur entreprise.
Hubert Landier montre ici en quoi consiste ce désengagement (retards, erreurs, malfaçons, dégradation du matériel, stress, absentéisme…) et quel en est le coût, pour l’entreprise comme pour le salarié. Il s’intéresse ensuite aux facteurs à l’origine de ce désengagement : la multiplication des « irritants sociaux » qui concernent tout autant les relations et comportements au sein de l’entreprise que les méthodes de management ou la perception que s’en font les uns et les autres ; autrement dit, des facteurs d’ordre immatériel bien plus que la rémunération ou le temps de travail. À cet égard, l’auteur souligne le rôle essentiel du management dans la progression du désengagement mais aussi, à l’inverse, celui qu’il peut jouer dans la remobilisation des salariés. Il rappelle au passage l’impact positif du bien-être au travail sur les performances économiques des entreprises et va même plus loin, estimant qu’après avoir compris l’importance de développer le bien-être au travail, les entreprises feront un pas de plus en contribuant, grâce à l’écoute de leurs salariés, au « mieux-vivre dans la Cité ».
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Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité P1624 HUG Periodique HEM Casa Documentaires Disponible
Titre : Les potentiels de la bioéconomie. De la photosynthèse à l’industrie, de l’innovation aux marchés Type de document : texte imprimé Auteurs : ROY Claude, Auteur Année de publication : 2016 Article en page(s) : pp. 69-80 Langues : Français (fre)
in Futuribles > 410 (janvier-février 2016) . - pp. 69-80Tags : Biologie. Aliments. Santé | Aspects économiques | Industrie En ligne : http://www.futuribles.com [article] Les potentiels de la bioéconomie. De la photosynthèse à l’industrie, de l’innovation aux marchés [texte imprimé] / ROY Claude, Auteur . - 2016 . - pp. 69-80.
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in Futuribles > 410 (janvier-février 2016) . - pp. 69-80Tags : Biologie. Aliments. Santé | Aspects économiques | Industrie En ligne : http://www.futuribles.com Réservation
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Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité P1779 HUG Periodique HEM Casa Documentaires Disponible
Titre : La transition indienne Type de document : texte imprimé Auteurs : RACINE Jean-Luc, Auteur Année de publication : 2000 Article en page(s) : pp. 31-54 Langues : Français (fre)
in Futuribles > 258 (novembre 2000) . - pp. 31-54Tags : Aspects politiques|Aspects économiques|Inde|Géopolitique Résumé : Jean-Luc Racine dresse ici un magistral tableau de la transition engagée en Inde, une transition qui, selon lui, doit amener cet immense pays (plus d'un milliard d'habitants) à surmonter ses contradictions internes et à s'imposer comme un pôle majeur dans le monde multipolaire de demain.
Une transition capitale qui s'opère d'abord dans le champ politique, marqué par le déclin du parti du Congrès et par la montée en puissance du Parti du peuple de Bharat (BJP), chantre du nationalisme hindou, qui doit pourtant s'accommoder de la multiplication des partis à ancrages régionaux.
Transition au plan économique avec l'adoption d'un programme en deux temps de libéralisation mesurée mais continue, une politique marquée par des réformes structurelles profondes mais menées avec prudence, qui visent à rétablir les grands équilibres, à assurer à l'économie indienne une croissance économique élevée, et qui sera jugée, à terme, sur sa capacité à promouvoir un développement humain plus équitable.
Dans une seconde partie consacrée à la politique internationale de l'Inde, Jean-Luc Racine s'attache d'abord à décrire la politique adoptée en vue de la nucléarisation du pays, avant de montrer comment celui-ci entend assurer la gestion de son environnement géopolitique immédiat, particulièrement ses relations tendues et ambiguës avec ses voisins, notamment le Pakistan et la Chine. Enfin, il expose comment New Delhi tend à s'affirmer comme un pôle majeur dans l'édification d'un monde multipolaire tout en entretenant avec Washington un dialogue sans précédent.
Le portrait qu'offre Jean-Luc Racine de l'Inde est celui d'un géant qui s'éveille, d'un pays qui, jugulant ses tensions et inégalités internes, se trouve en phase de décollage rapide et s'apprête à jouer un rôle majeur sur la scène mondiale de demain.En ligne : http://www.futuribles.com [article] La transition indienne [texte imprimé] / RACINE Jean-Luc, Auteur . - 2000 . - pp. 31-54.
Langues : Français (fre)
in Futuribles > 258 (novembre 2000) . - pp. 31-54Tags : Aspects politiques|Aspects économiques|Inde|Géopolitique Résumé : Jean-Luc Racine dresse ici un magistral tableau de la transition engagée en Inde, une transition qui, selon lui, doit amener cet immense pays (plus d'un milliard d'habitants) à surmonter ses contradictions internes et à s'imposer comme un pôle majeur dans le monde multipolaire de demain.
Une transition capitale qui s'opère d'abord dans le champ politique, marqué par le déclin du parti du Congrès et par la montée en puissance du Parti du peuple de Bharat (BJP), chantre du nationalisme hindou, qui doit pourtant s'accommoder de la multiplication des partis à ancrages régionaux.
Transition au plan économique avec l'adoption d'un programme en deux temps de libéralisation mesurée mais continue, une politique marquée par des réformes structurelles profondes mais menées avec prudence, qui visent à rétablir les grands équilibres, à assurer à l'économie indienne une croissance économique élevée, et qui sera jugée, à terme, sur sa capacité à promouvoir un développement humain plus équitable.
Dans une seconde partie consacrée à la politique internationale de l'Inde, Jean-Luc Racine s'attache d'abord à décrire la politique adoptée en vue de la nucléarisation du pays, avant de montrer comment celui-ci entend assurer la gestion de son environnement géopolitique immédiat, particulièrement ses relations tendues et ambiguës avec ses voisins, notamment le Pakistan et la Chine. Enfin, il expose comment New Delhi tend à s'affirmer comme un pôle majeur dans l'édification d'un monde multipolaire tout en entretenant avec Washington un dialogue sans précédent.
Le portrait qu'offre Jean-Luc Racine de l'Inde est celui d'un géant qui s'éveille, d'un pays qui, jugulant ses tensions et inégalités internes, se trouve en phase de décollage rapide et s'apprête à jouer un rôle majeur sur la scène mondiale de demain.En ligne : http://www.futuribles.com Réservation
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Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité P99 HUG Periodique HEM Casa Documentaires Disponible
Titre : Développement durable : regards croisés. Les discours et pratiques en France et en Allemagne Type de document : texte imprimé Auteurs : FINDEISEN Cornelia, Auteur Année de publication : 2014 Article en page(s) : pp. 67-74 Langues : Français (fre)
in Futuribles > 400 (mai 2014) . - pp. 67-74Tags : Aspects politiques | Allemagne | France | Modes de vie | Développement durable Résumé : Notion émergente à la fin des années 1980, le développement durable a aujourd’hui acquis ses lettres de noblesse et figure dans la plupart des éléments de discours des dirigeants politiques et économiques des pays développés. La France ne fait pas exception et le développement durable (quoique sa définition puisse varier d’une personne ou d’une structure à une autre) est un objectif assez largement partagé. Pour autant, si cette notion est devenue familière à la plupart des Français, en pratique on peine à observer une mise en œuvre concrète des principes qui y contribuent.
À l’inverse, comme le montre ici Cornelia Findeisen, les Allemands sont assez peu au fait des discours en lien avec le développement durable, cette notion leur étant peu familière a priori, mais ils le mettent en pratique de manière très régulière et de longue date (bien avant que cela ne devienne « tendance »), dans leur quotidien comme dans leurs politiques publiques. Y aurait-il une explication culturelle à cette différence de comportements de part et d’autre du Rhin, et si oui, est-elle vouée à perdurer ? Faut-il repenser les discours relatifs au développement durable, en France comme en Allemagne, pour susciter et /ou garantir la pérennité des pratiques qui s’y conforment ? Telles sont les principales questions examinées dans cet article.
En ligne : http://www.futuribles.com [article] Développement durable : regards croisés. Les discours et pratiques en France et en Allemagne [texte imprimé] / FINDEISEN Cornelia, Auteur . - 2014 . - pp. 67-74.
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in Futuribles > 400 (mai 2014) . - pp. 67-74Tags : Aspects politiques | Allemagne | France | Modes de vie | Développement durable Résumé : Notion émergente à la fin des années 1980, le développement durable a aujourd’hui acquis ses lettres de noblesse et figure dans la plupart des éléments de discours des dirigeants politiques et économiques des pays développés. La France ne fait pas exception et le développement durable (quoique sa définition puisse varier d’une personne ou d’une structure à une autre) est un objectif assez largement partagé. Pour autant, si cette notion est devenue familière à la plupart des Français, en pratique on peine à observer une mise en œuvre concrète des principes qui y contribuent.
À l’inverse, comme le montre ici Cornelia Findeisen, les Allemands sont assez peu au fait des discours en lien avec le développement durable, cette notion leur étant peu familière a priori, mais ils le mettent en pratique de manière très régulière et de longue date (bien avant que cela ne devienne « tendance »), dans leur quotidien comme dans leurs politiques publiques. Y aurait-il une explication culturelle à cette différence de comportements de part et d’autre du Rhin, et si oui, est-elle vouée à perdurer ? Faut-il repenser les discours relatifs au développement durable, en France comme en Allemagne, pour susciter et /ou garantir la pérennité des pratiques qui s’y conforment ? Telles sont les principales questions examinées dans cet article.
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Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité P1711 HUG Periodique HEM Casa Documentaires Disponible
Titre : Innovation “responsable” et développement durable Type de document : texte imprimé Auteurs : JOLY Pierre-Benoît, Auteur Année de publication : 2012 Article en page(s) : pp. 89-110 Langues : Français (fre)
in Futuribles > 383 (mars 2012) . - pp. 89-110Tags : Biotechnologie|Aspects politiques|Système de valeurs|Développement durable|Innovations|Industrie Résumé : Les organismes génétiquement modifiés (OGM) sont au cœur de controverses importantes dans le monde scientifique. Mais les enjeux vont bien au-delà, comme le montre ici Pierre-Benoit Joly : ils renvoient à des questions plus politiques telles que la vision du monde que l’on souhaite voir prévaloir à l’avenir, dans le domaine agricole mais aussi, plus largement, en matière de développement durable pour notre planète.
Rappelant d’abord comment ont évolué, au fil du temps, les régimes d’innovation dans le monde végétal, l’auteur souligne que l’on est passé de pratiques et savoir-faire traditionnels à un premier régime d’innovation reposant sur des agronomes d’État et des entreprises semencières, qui a lui-même évolué vers un régime d’innovation « moléculaire, privé et mondialisé », largement favorisé par l’autorisation, dans les années 1980, de breveter la matière vivante. Ceci a conduit à une forte concentration des marchés agronomiques autour de quelques entreprises majeures, et à une focalisation de la recherche sur quelques espèces et sur les OGM. Mais cet engagement pour les OGM a suscité de nombreuses critiques, plaçant les leaders de l’« oligopole biotech » face à une crise de légitimité. D’où les efforts produits par ces acteurs, depuis quelques années, pour légitimer, économiquement et politiquement, leur ferveur pour les OGM.
C’est à ce travail « technopolitique » de légitimation que s’intéresse, dans un second temps, Pierre-Benoit Joly. Grâce à la privatisation de l’innovation et à la mondialisation des activités, les grands groupes biotech font peu à peu prévaloir leur vision du monde, au moyen notamment d’une coproduction de la réglementation des risques inhérents aux innovations (émergence d’une soft law baissant le niveau de contrainte obligatoire des États), d’un lobbying intensif au sein des institutions publiques, de la mise en place de « communautés épistémiques » (réseaux visant à faire évoluer le droit international en leur sens)… Il montre enfin comment ces acteurs — et en particulier Monsanto qu’il étudie plus spécifiquement ici — privatisent la notion de développement durable en agriculture (via des chartes éthiques, par exemple), de manière à ce que leurs activités finissent par constituer un point de passage obligé pour y parvenir. Un travail d’enrôlement très bien décrit ici et qu’il est encore possible de contrer dès lors qu’on en a compris les rouages.
En ligne : http://www.futuribles.com [article] Innovation “responsable” et développement durable [texte imprimé] / JOLY Pierre-Benoît, Auteur . - 2012 . - pp. 89-110.
Langues : Français (fre)
in Futuribles > 383 (mars 2012) . - pp. 89-110Tags : Biotechnologie|Aspects politiques|Système de valeurs|Développement durable|Innovations|Industrie Résumé : Les organismes génétiquement modifiés (OGM) sont au cœur de controverses importantes dans le monde scientifique. Mais les enjeux vont bien au-delà, comme le montre ici Pierre-Benoit Joly : ils renvoient à des questions plus politiques telles que la vision du monde que l’on souhaite voir prévaloir à l’avenir, dans le domaine agricole mais aussi, plus largement, en matière de développement durable pour notre planète.
Rappelant d’abord comment ont évolué, au fil du temps, les régimes d’innovation dans le monde végétal, l’auteur souligne que l’on est passé de pratiques et savoir-faire traditionnels à un premier régime d’innovation reposant sur des agronomes d’État et des entreprises semencières, qui a lui-même évolué vers un régime d’innovation « moléculaire, privé et mondialisé », largement favorisé par l’autorisation, dans les années 1980, de breveter la matière vivante. Ceci a conduit à une forte concentration des marchés agronomiques autour de quelques entreprises majeures, et à une focalisation de la recherche sur quelques espèces et sur les OGM. Mais cet engagement pour les OGM a suscité de nombreuses critiques, plaçant les leaders de l’« oligopole biotech » face à une crise de légitimité. D’où les efforts produits par ces acteurs, depuis quelques années, pour légitimer, économiquement et politiquement, leur ferveur pour les OGM.
C’est à ce travail « technopolitique » de légitimation que s’intéresse, dans un second temps, Pierre-Benoit Joly. Grâce à la privatisation de l’innovation et à la mondialisation des activités, les grands groupes biotech font peu à peu prévaloir leur vision du monde, au moyen notamment d’une coproduction de la réglementation des risques inhérents aux innovations (émergence d’une soft law baissant le niveau de contrainte obligatoire des États), d’un lobbying intensif au sein des institutions publiques, de la mise en place de « communautés épistémiques » (réseaux visant à faire évoluer le droit international en leur sens)… Il montre enfin comment ces acteurs — et en particulier Monsanto qu’il étudie plus spécifiquement ici — privatisent la notion de développement durable en agriculture (via des chartes éthiques, par exemple), de manière à ce que leurs activités finissent par constituer un point de passage obligé pour y parvenir. Un travail d’enrôlement très bien décrit ici et qu’il est encore possible de contrer dès lors qu’on en a compris les rouages.
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