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Le devenir du syndicalisme français / LANDIER, Hubert in Futuribles, 270 (décembre 2001) 

Public ISBD [article]  inFuturibles > 270 (décembre 2001) . - pp. 47-52 Titre : Le devenir du syndicalisme français Type de document : texte imprimé Auteurs : LANDIER, Hubert, Auteur Année de publication : 2001 Article en page(s) : pp. 47-52 Langues : Français (fre) Tags : France Résumé : Le syndicalisme français est l'objet aujourd'hui d'un processus accéléré de décomposition et de recomposition, écrit Hubert Landier, qui en analyse ici brièvement les motifs et les conséquences. La décomposition tient, selon lui, au fossé qui sépare le siège des grandes centrales et les militants, à la perte de " ciment idéologique " et au hiatus qui s'est instauré entre la base et le sommet. Elle s'accompagne d'une crise de légitimité et d'efficacité des centrales syndicales et conduit à l'apparition de nouveaux regroupements, notamment autour de l'Union nationale des syndicats autonomes (UNSA) et de l'Union syndicale Solidaires (Groupe des Dix). Cette évolution toutefois nous conduit à nous interroger sur la question du financement des structures syndicales, a fortiori sur le principe des " accords majoritaires " qui lui-même pourrait encourager une recomposition du paysage syndical et de ses règles de fonctionnement. En ligne : http://www.futuribles.com [article] Le devenir du syndicalisme français [texte imprimé] / LANDIER, Hubert, Auteur . - 2001 . - pp. 47-52. Langues : Français (fre) inFuturibles > 270 (décembre 2001) . - pp. 47-52 Tags : France Résumé : Le syndicalisme français est l'objet aujourd'hui d'un processus accéléré de décomposition et de recomposition, écrit Hubert Landier, qui en analyse ici brièvement les motifs et les conséquences. La décomposition tient, selon lui, au fossé qui sépare le siège des grandes centrales et les militants, à la perte de " ciment idéologique " et au hiatus qui s'est instauré entre la base et le sommet. Elle s'accompagne d'une crise de légitimité et d'efficacité des centrales syndicales et conduit à l'apparition de nouveaux regroupements, notamment autour de l'Union nationale des syndicats autonomes (UNSA) et de l'Union syndicale Solidaires (Groupe des Dix). Cette évolution toutefois nous conduit à nous interroger sur la question du financement des structures syndicales, a fortiori sur le principe des " accords majoritaires " qui lui-même pourrait encourager une recomposition du paysage syndical et de ses règles de fonctionnement. En ligne : http://www.futuribles.com

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P112	HUG	Periodique	HEM Casa	Documentaires	Disponible

L’intelligence artificielle est-elle intelligente ? / LANDIER, Hubert in Futuribles, 421 (novembre-décembre 2017)

Public ISBD [article]  inFuturibles > 421 (novembre-décembre 2017) . - pp. 85-90 Titre : L’intelligence artificielle est-elle intelligente ? Type de document : texte imprimé Auteurs : LANDIER, Hubert, Auteur Année de publication : 2017 Article en page(s) : pp. 85-90 Langues : Français (fre) Résumé : Les annonces et publications relatives aux évolutions et perspectives de l’intelligence artificielle se sont multipliées ces derniers mois, laissant miroiter des changements majeurs dans notre vie quotidienne et dans de nombreux secteurs d’activité. Comme souvent, ce type de rupture scientifique laisse augurer le meilleur comme le pire, mais elle reste aussi très tributaire de ce qu’accepteront effectivement les individus en la matière. Or, tous ne sont pas dans les mêmes attentes, en France, en Europe, dans les pays en développement, à l’égard de ces évolutions, comme le rappelle Hubert Landier, qui s’emploie ici à rappeler un certain nombre de limites au déploiement annoncé de l’intelligence artificielle. Car il y a une réelle différence entre l’intelligence humaine et l’intelligence artificielle, que la technique ne peut pour l’heure abolir ; et une plus grande encore entre les rêves des développeurs de la Silicon Valley et la réalité de notre civilisation, confrontée aux limites physiques de la planète et aux inégalités de développement. Un point de vue qui participe des débats en cours sur l’intelligence artificielle et vise à modérer les attentes en la matière. [article] L’intelligence artificielle est-elle intelligente ? [texte imprimé] / LANDIER, Hubert, Auteur . - 2017 . - pp. 85-90. Langues : Français (fre) inFuturibles > 421 (novembre-décembre 2017) . - pp. 85-90 Résumé : Les annonces et publications relatives aux évolutions et perspectives de l’intelligence artificielle se sont multipliées ces derniers mois, laissant miroiter des changements majeurs dans notre vie quotidienne et dans de nombreux secteurs d’activité. Comme souvent, ce type de rupture scientifique laisse augurer le meilleur comme le pire, mais elle reste aussi très tributaire de ce qu’accepteront effectivement les individus en la matière. Or, tous ne sont pas dans les mêmes attentes, en France, en Europe, dans les pays en développement, à l’égard de ces évolutions, comme le rappelle Hubert Landier, qui s’emploie ici à rappeler un certain nombre de limites au déploiement annoncé de l’intelligence artificielle. Car il y a une réelle différence entre l’intelligence humaine et l’intelligence artificielle, que la technique ne peut pour l’heure abolir ; et une plus grande encore entre les rêves des développeurs de la Silicon Valley et la réalité de notre civilisation, confrontée aux limites physiques de la planète et aux inégalités de développement. Un point de vue qui participe des débats en cours sur l’intelligence artificielle et vise à modérer les attentes en la matière.

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P1845	HUG	Periodique	HEM Casa	Documentaires	Disponible

Irritants sociaux et désengagement au travail. De la prévention des risques psychosociaux à l’évaluation de la contribution de l’entreprise au mieux-vivre / LANDIER, Hubert in Futuribles, 390 (novembre 2012) 

Public ISBD [article]  inFuturibles > 390 (novembre 2012) . - pp. 51-62 Titre : Irritants sociaux et désengagement au travail. De la prévention des risques psychosociaux à l’évaluation de la contribution de l’entreprise au mieux-vivre Type de document : texte imprimé Auteurs : LANDIER, Hubert, Auteur Année de publication : 2012 Article en page(s) : pp. 51-62 Langues : Français (fre) Tags : Aspects sociaux|Entreprises|Management|Travail Résumé : La grave crise économique que traverse l’Europe s’accompagne, en particulier en France, de nombreuses fermetures d’entreprises et de leur cortège de licenciements. Dans ce contexte, les relations sociales au sein des entreprises fragilisées ne sont guère au beau fixe. Et à lire ici Hubert Landier, il en est de même dans la plupart des organisations, qu’elles soient ou non en bonne forme économique. Car si en France, la conflictualité au travail a notablement baissé ces 30 dernières années, elle a été relayée par un phénomène non moins dommageable pour tout le monde : le désengagement des salariés à l’égard de leur travail ou de leur entreprise. Hubert Landier montre ici en quoi consiste ce désengagement (retards, erreurs, malfaçons, dégradation du matériel, stress, absentéisme…) et quel en est le coût, pour l’entreprise comme pour le salarié. Il s’intéresse ensuite aux facteurs à l’origine de ce désengagement : la multiplication des « irritants sociaux » qui concernent tout autant les relations et comportements au sein de l’entreprise que les méthodes de management ou la perception que s’en font les uns et les autres ; autrement dit, des facteurs d’ordre immatériel bien plus que la rémunération ou le temps de travail. À cet égard, l’auteur souligne le rôle essentiel du management dans la progression du désengagement mais aussi, à l’inverse, celui qu’il peut jouer dans la remobilisation des salariés. Il rappelle au passage l’impact positif du bien-être au travail sur les performances économiques des entreprises et va même plus loin, estimant qu’après avoir compris l’importance de développer le bien-être au travail, les entreprises feront un pas de plus en contribuant, grâce à l’écoute de leurs salariés, au « mieux-vivre dans la Cité ». En ligne : http://www.futuribles.com [article] Irritants sociaux et désengagement au travail. De la prévention des risques psychosociaux à l’évaluation de la contribution de l’entreprise au mieux-vivre [texte imprimé] / LANDIER, Hubert, Auteur . - 2012 . - pp. 51-62. Langues : Français (fre) inFuturibles > 390 (novembre 2012) . - pp. 51-62 Tags : Aspects sociaux|Entreprises|Management|Travail Résumé : La grave crise économique que traverse l’Europe s’accompagne, en particulier en France, de nombreuses fermetures d’entreprises et de leur cortège de licenciements. Dans ce contexte, les relations sociales au sein des entreprises fragilisées ne sont guère au beau fixe. Et à lire ici Hubert Landier, il en est de même dans la plupart des organisations, qu’elles soient ou non en bonne forme économique. Car si en France, la conflictualité au travail a notablement baissé ces 30 dernières années, elle a été relayée par un phénomène non moins dommageable pour tout le monde : le désengagement des salariés à l’égard de leur travail ou de leur entreprise. Hubert Landier montre ici en quoi consiste ce désengagement (retards, erreurs, malfaçons, dégradation du matériel, stress, absentéisme…) et quel en est le coût, pour l’entreprise comme pour le salarié. Il s’intéresse ensuite aux facteurs à l’origine de ce désengagement : la multiplication des « irritants sociaux » qui concernent tout autant les relations et comportements au sein de l’entreprise que les méthodes de management ou la perception que s’en font les uns et les autres ; autrement dit, des facteurs d’ordre immatériel bien plus que la rémunération ou le temps de travail. À cet égard, l’auteur souligne le rôle essentiel du management dans la progression du désengagement mais aussi, à l’inverse, celui qu’il peut jouer dans la remobilisation des salariés. Il rappelle au passage l’impact positif du bien-être au travail sur les performances économiques des entreprises et va même plus loin, estimant qu’après avoir compris l’importance de développer le bien-être au travail, les entreprises feront un pas de plus en contribuant, grâce à l’écoute de leurs salariés, au « mieux-vivre dans la Cité ». En ligne : http://www.futuribles.com

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P1624	HUG	Periodique	HEM Casa	Documentaires	Disponible

Les Organisations syndicales en France / LANDIER, Hubert

Public ISBD Titre : Les Organisations syndicales en France Type de document : texte imprimé Auteurs : LANDIER, Hubert, Auteur Editeur : Paris : E.S.F. - Entreprise moderne d'éd. Année de publication : 1982 Importance : 162 p Format : 19 cm ISBN/ISSN/EAN : 978-2-7101-0401-8 Langues : Français (fre) Les Organisations syndicales en France [texte imprimé] / LANDIER, Hubert, Auteur . - Paris : E.S.F. - Entreprise moderne d'éd., 1982 . - 162 p ; 19 cm. ISBN : 978-2-7101-0401-8 Langues : Français (fre)

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816	331.844 / LAN	Livre	HEM Casa	Documentaires	Disponible

Pour penser l’entreprise de demain / LANDIER, Hubert in Futuribles, 412 (mai-juin 2016)

Public ISBD [article]  inFuturibles > 412 (mai-juin 2016) . - pp. 25-34 Titre : Pour penser l’entreprise de demain Type de document : texte imprimé Auteurs : LANDIER, Hubert, Auteur Année de publication : 2016 Article en page(s) : pp. 25-34 Langues : Français (fre) Résumé : Alors que le gouvernement français peine — comme ceux qui l’ont précédé — à avancer dans la réforme du droit du travail, se heurtant à des résistances à la fois politiques, syndicales, patronales…, la question des relations sociales dans le cadre professionnel conserve toute son actualité. Or, comme le montre ici Hubert Landier, les entreprises continuent, dans leur grande majorité, à fonctionner selon le modèle pyramidal traditionnel issu de l’époque cartésienne. Ce modèle consistant à séparer ceux qui décident de ceux qui exécutent, ceux qui savent de ceux qui ignorent, et ainsi de suite, n’est pourtant plus adapté à la réalité et expose les organisations qui en relèvent à un risque de blocage, d’échec à évoluer selon les besoins actuels. [article] Pour penser l’entreprise de demain [texte imprimé] / LANDIER, Hubert, Auteur . - 2016 . - pp. 25-34. Langues : Français (fre) inFuturibles > 412 (mai-juin 2016) . - pp. 25-34 Résumé : Alors que le gouvernement français peine — comme ceux qui l’ont précédé — à avancer dans la réforme du droit du travail, se heurtant à des résistances à la fois politiques, syndicales, patronales…, la question des relations sociales dans le cadre professionnel conserve toute son actualité. Or, comme le montre ici Hubert Landier, les entreprises continuent, dans leur grande majorité, à fonctionner selon le modèle pyramidal traditionnel issu de l’époque cartésienne. Ce modèle consistant à séparer ceux qui décident de ceux qui exécutent, ceux qui savent de ceux qui ignorent, et ainsi de suite, n’est pourtant plus adapté à la réalité et expose les organisations qui en relèvent à un risque de blocage, d’échec à évoluer selon les besoins actuels.

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P1791	HUG	Periodique	HEM Casa	Documentaires	Disponible

Pour une réforme de l’entreprise. Création de valeur actionnariale et création de valeur globale / LANDIER, Hubert in Futuribles, 426 (septembre-octobre 2018)

Public ISBD [article]  inFuturibles > 426 (septembre-octobre 2018) . - pp. 41-54 Titre : Pour une réforme de l’entreprise. Création de valeur actionnariale et création de valeur globale Type de document : texte imprimé Auteurs : LANDIER, Hubert, Auteur Année de publication : 2018 Article en page(s) : pp. 41-54 Langues : Français (fre) Résumé : L’entreprise n’a pas véritablement de statut juridique en France ; son statut est, le plus souvent, celui d’une société commerciale qui ne lui assigne qu’une seule finalité, celle de faire du profit au bénéfice de ses actionnaires. Ce phénomène résulte, explique Hubert Landier, de la préoccupation dominante accordée au XVIIIe siècle à la propriété et à la liberté du commerce, à l’existence à l’époque essentiellement de petits ateliers développés sur des bases familiales. Pourtant, l’entreprise représente une somme de compétences, de savoir-faire, de métiers développés grâce à ses collaborateurs (salariés ou non), prestataires, sous-traitants, clients, dont le rôle essentiel mérite considération. D’où l’essor de la responsabilité sociale de l’entreprise (RSE) et, plus récemment, du « dialogue social ». [article] Pour une réforme de l’entreprise. Création de valeur actionnariale et création de valeur globale [texte imprimé] / LANDIER, Hubert, Auteur . - 2018 . - pp. 41-54. Langues : Français (fre) inFuturibles > 426 (septembre-octobre 2018) . - pp. 41-54 Résumé : L’entreprise n’a pas véritablement de statut juridique en France ; son statut est, le plus souvent, celui d’une société commerciale qui ne lui assigne qu’une seule finalité, celle de faire du profit au bénéfice de ses actionnaires. Ce phénomène résulte, explique Hubert Landier, de la préoccupation dominante accordée au XVIIIe siècle à la propriété et à la liberté du commerce, à l’existence à l’époque essentiellement de petits ateliers développés sur des bases familiales. Pourtant, l’entreprise représente une somme de compétences, de savoir-faire, de métiers développés grâce à ses collaborateurs (salariés ou non), prestataires, sous-traitants, clients, dont le rôle essentiel mérite considération. D’où l’essor de la responsabilité sociale de l’entreprise (RSE) et, plus récemment, du « dialogue social ».

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P1875	HUG	Periodique	HEM Casa	Documentaires	Disponible

La qualité de la vie au travail / LANDIER, Hubert in Futuribles, 401 (juillet-août 2014) 

Public ISBD [article]  inFuturibles > 401 (juillet-août 2014) . - pp. 99-108 Titre : La qualité de la vie au travail : Pour une réforme de la gouvernance de l’entreprise Type de document : texte imprimé Auteurs : LANDIER, Hubert, Auteur Année de publication : 2014 Article en page(s) : pp. 99-108 Langues : Français (fre) Tags : France | Management | Conditions de travail | Ressources humaines Résumé : En cette période de crise, la question de la qualité de vie au travail peut paraître quelque peu décalée en France, au vu des préoccupations des près de trois millions de personnes actuellement au chômage qui, pour beaucoup, se contenteraient sans doute d’un emploi, sans se soucier de suite des aspects qualitatifs le concernant. Pour autant, comme le montre ici Hubert Landier, c’est un enjeu majeur des sociétés développées, dans lesquelles les aspirations au bien-être et au mieux-vivre prennent une place de plus en plus prépondérante, au travers de l’essor des besoins immatériels. Et c’est aussi un élément essentiel du bon fonctionnement économique et social des entreprises qui, faute d’avoir pris suffisamment tôt la mesure de cet enjeu de la qualité de vie au travail, en font aujourd’hui les frais au travers de l’absentéisme ou de la faible implication de leurs salariés. Pour y remédier et faire en sorte de répondre à ces aspirations des individus à une meilleure qualité de vie professionnelle, c’est essentiellement au niveau de la gouvernance de l’entreprise qu’il faut agir, selon Hubert Landier, en favorisant le dialogue social et en associant véritablement les salariés et leurs représentants aux décisions stratégiques, et au projet de l’entreprise. Une réforme de l’entreprise ambitieuse, déjà tentée plusieurs fois sans succès, mais dont la nécessité ne se dément pas. En ligne : http://www.futuribles.com [article] La qualité de la vie au travail : Pour une réforme de la gouvernance de l’entreprise [texte imprimé] / LANDIER, Hubert, Auteur . - 2014 . - pp. 99-108. Langues : Français (fre) inFuturibles > 401 (juillet-août 2014) . - pp. 99-108 Tags : France | Management | Conditions de travail | Ressources humaines Résumé : En cette période de crise, la question de la qualité de vie au travail peut paraître quelque peu décalée en France, au vu des préoccupations des près de trois millions de personnes actuellement au chômage qui, pour beaucoup, se contenteraient sans doute d’un emploi, sans se soucier de suite des aspects qualitatifs le concernant. Pour autant, comme le montre ici Hubert Landier, c’est un enjeu majeur des sociétés développées, dans lesquelles les aspirations au bien-être et au mieux-vivre prennent une place de plus en plus prépondérante, au travers de l’essor des besoins immatériels. Et c’est aussi un élément essentiel du bon fonctionnement économique et social des entreprises qui, faute d’avoir pris suffisamment tôt la mesure de cet enjeu de la qualité de vie au travail, en font aujourd’hui les frais au travers de l’absentéisme ou de la faible implication de leurs salariés. Pour y remédier et faire en sorte de répondre à ces aspirations des individus à une meilleure qualité de vie professionnelle, c’est essentiellement au niveau de la gouvernance de l’entreprise qu’il faut agir, selon Hubert Landier, en favorisant le dialogue social et en associant véritablement les salariés et leurs représentants aux décisions stratégiques, et au projet de l’entreprise. Une réforme de l’entreprise ambitieuse, déjà tentée plusieurs fois sans succès, mais dont la nécessité ne se dément pas. En ligne : http://www.futuribles.com

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P1719	HUG	Periodique	HEM Casa	Documentaires	Disponible