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216 résultat(s) recherche sur le tag 'Sciences économiques'
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Titre : Economie & environnement Type de document : texte imprimé Auteurs : Claudine Vlajcic Editeur : Presses Universitaires de Liège Année de publication : 2010 ISBN/ISSN/EAN : 978-2-87456-101-6 Prix : 18,00 eur Tags : Sciences économiques En ligne : http://www.librairiedialogues.fr//ws/book/9782874561016/unimarc_utf-8 Economie & environnement [texte imprimé] / Claudine Vlajcic . - [S.l.] : Presses Universitaires de Liège, 2010.
ISBN : 978-2-87456-101-6 : 18,00 eur
Tags : Sciences économiques En ligne : http://www.librairiedialogues.fr//ws/book/9782874561016/unimarc_utf-8 Réservation
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Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité M1027 333 / VLA Livre HEM Marrakech Documentaires Disponible O291 333 / VLA Livre HEM Oujda Documentaires Disponible Penser lentement, penser sûrement ? À propos du livre de Daniel Kahneman, “Thinking, Fast and Slow†/ Charles du Granrut in Futuribles, 390 (novembre 2012)
[article]
Titre : Penser lentement, penser sûrement ? À propos du livre de Daniel Kahneman, “Thinking, Fast and Slow†Type de document : texte imprimé Auteurs : Charles du Granrut, Auteur Année de publication : 2012 Article en page(s) : pp. 25-34 Langues : Français (fre)
in Futuribles > 390 (novembre 2012) . - pp. 25-34Tags : Sciences économiques|Indicateurs|Théorie économique Résumé : Prix Nobel d’économie en 2002, le psychologue Daniel Kahneman a contribué à des avancées notables de la théorie économique par ses travaux sur la « théorie des perspectives », à la base de l’économie comportementale, et plus récemment par ses travaux sur l’économie du bonheur. Dans un ouvrage paru en 2011 aux États-Unis, Thinking, Fast and Slow, il présente, de manière très concrète, l’essentiel de ses analyses et théories.
Charles du Granrut a lu cet ouvrage pour Futuribles et nous en propose ici une recension critique. Il présente en premier lieu les deux grands modes de pensée des individus tels que les conçoit D. Kahneman : rapide et intuitif, et /ou lent et rationnel, avant de rappeler les principaux « biais cognitifs » susceptibles, selon l’auteur, d’altérer leur raisonnement (erreurs, incohérences, préjugés, effet halo…). Charles du Granrut énonce ensuite les différentes critiques qui ont pu être formulées à l’égard de cette analyse du processus de décision. Puis il décrit la théorie des perspectives de D. Kahneman et l’application qui en a été faite dans le cadre du « paternalisme libéral » au travers des « nudges » (mesures « coups de pouce »). Enfin, il précise l’apport des analyses de D. Kahneman sur la perception du bonheur par les individus, non seulement dans le domaine économique, mais aussi et surtout dans le champ des politiques publiques. In fine, les travaux de D. Kahneman sont dorénavant souvent intégrés à la théorie économique traditionnelle, et permettent à tout un chacun de prendre conscience des différents biais inhérents au mode de pensée humain (et donc, éventuellement, de s’en prémunir).
En ligne : http://www.futuribles.com [article] Penser lentement, penser sûrement ? À propos du livre de Daniel Kahneman, “Thinking, Fast and Slow†[texte imprimé] / Charles du Granrut, Auteur . - 2012 . - pp. 25-34.
Langues : Français (fre)
in Futuribles > 390 (novembre 2012) . - pp. 25-34Tags : Sciences économiques|Indicateurs|Théorie économique Résumé : Prix Nobel d’économie en 2002, le psychologue Daniel Kahneman a contribué à des avancées notables de la théorie économique par ses travaux sur la « théorie des perspectives », à la base de l’économie comportementale, et plus récemment par ses travaux sur l’économie du bonheur. Dans un ouvrage paru en 2011 aux États-Unis, Thinking, Fast and Slow, il présente, de manière très concrète, l’essentiel de ses analyses et théories.
Charles du Granrut a lu cet ouvrage pour Futuribles et nous en propose ici une recension critique. Il présente en premier lieu les deux grands modes de pensée des individus tels que les conçoit D. Kahneman : rapide et intuitif, et /ou lent et rationnel, avant de rappeler les principaux « biais cognitifs » susceptibles, selon l’auteur, d’altérer leur raisonnement (erreurs, incohérences, préjugés, effet halo…). Charles du Granrut énonce ensuite les différentes critiques qui ont pu être formulées à l’égard de cette analyse du processus de décision. Puis il décrit la théorie des perspectives de D. Kahneman et l’application qui en a été faite dans le cadre du « paternalisme libéral » au travers des « nudges » (mesures « coups de pouce »). Enfin, il précise l’apport des analyses de D. Kahneman sur la perception du bonheur par les individus, non seulement dans le domaine économique, mais aussi et surtout dans le champ des politiques publiques. In fine, les travaux de D. Kahneman sont dorénavant souvent intégrés à la théorie économique traditionnelle, et permettent à tout un chacun de prendre conscience des différents biais inhérents au mode de pensée humain (et donc, éventuellement, de s’en prémunir).
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Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité P1624 HUG Periodique HEM Casa Documentaires Disponible À quoi bon l'économie ? De l'économie à la politique : l'exemple des transports / QUINET Émile in Futuribles, 264 (mai 2001)
[article]
Titre : À quoi bon l'économie ? De l'économie à la politique : l'exemple des transports Type de document : texte imprimé Auteurs : QUINET Émile, Auteur Année de publication : 2001 Article en page(s) : pp. 39-50 Langues : Français (fre)
in Futuribles > 264 (mai 2001) . - pp. 39-50Tags : Sciences économiques|Transport Résumé :
L'économie est la seule discipline, du moins des sciences humaines, ayant une vocation à la fois descriptive et normative. Le fait est cependant qu'elle a du mal à s'appuyer sur l'observation empirique, qu'elle a tendance à se replier sur une démarche théorique, que ses recommandations sont rarement robustes et consensuelles, et qu'elles ont finalement peu d'impact sur les décisions.
Pour étayer cette critique, les auteurs s'appuient sur un domaine, celui des transports, qui constitue un objet d'étude privilégié au sein de la science économique. Ils prennent trois exemples :
- celui du marché des transports de marchandises, relativement bien étudié par les économistes mais dont les recommandations achoppent sur des obstacles tenant aux jeux des acteurs, à leur crispation sur des positions acquises, nuisibles pourtant aussi bien à l'intérêt collectif qu'à leurs intérêts respectifs à long terme ;
- celui de la gestion des infrastructures de transport urbain où, là encore, " l'expert " se heurte à l'inertie des organismes qui luttent pour leur survie et la défense de leurs prérogatives ;
- celui enfin du contrôle de la mobilité urbaine dont l'étude est particulièrement délicate et n'aboutit pas à des recommandations consensuelles, lesquelles, une fois encore, se heurtent à la fragmentation des acteurs obéissant chacun à une logique propre.
Économistes des transports, Émile Quinet et Bernard Walliser se plaindraient-ils seulement que leurs recommandations ne soient point suivies ? Non, ils commencent par faire l'autocritique de leur discipline. " La réalité est caractérisée par une diversité que les modèles traduisent mal : toutes les situations sont particulières, il n'y a pas d'usager moyen, il n'y a pas d'entreprise représentative ou de coût standard. " Les mesures que nous recommandons sont trop " aveugles et maladroites, elles n'atteignent pas leur but ". Nous ne prenons pas assez en compte, en particulier, les jeux d'acteurs.
Finalement, les auteurs proposent quelques pistes de progrès pour la science économique. Mais ils demeurent sans illusions : les économistes recommandent le changement. Pour qu'il se concrétise, il faut que leurs recommandations rencontrent la volonté des décideurs. Mais ces économistes n'ont pas le pouvoir de la créer...
En ligne : http://www.futuribles.com [article] À quoi bon l'économie ? De l'économie à la politique : l'exemple des transports [texte imprimé] / QUINET Émile, Auteur . - 2001 . - pp. 39-50.
Langues : Français (fre)
in Futuribles > 264 (mai 2001) . - pp. 39-50Tags : Sciences économiques|Transport Résumé :
L'économie est la seule discipline, du moins des sciences humaines, ayant une vocation à la fois descriptive et normative. Le fait est cependant qu'elle a du mal à s'appuyer sur l'observation empirique, qu'elle a tendance à se replier sur une démarche théorique, que ses recommandations sont rarement robustes et consensuelles, et qu'elles ont finalement peu d'impact sur les décisions.
Pour étayer cette critique, les auteurs s'appuient sur un domaine, celui des transports, qui constitue un objet d'étude privilégié au sein de la science économique. Ils prennent trois exemples :
- celui du marché des transports de marchandises, relativement bien étudié par les économistes mais dont les recommandations achoppent sur des obstacles tenant aux jeux des acteurs, à leur crispation sur des positions acquises, nuisibles pourtant aussi bien à l'intérêt collectif qu'à leurs intérêts respectifs à long terme ;
- celui de la gestion des infrastructures de transport urbain où, là encore, " l'expert " se heurte à l'inertie des organismes qui luttent pour leur survie et la défense de leurs prérogatives ;
- celui enfin du contrôle de la mobilité urbaine dont l'étude est particulièrement délicate et n'aboutit pas à des recommandations consensuelles, lesquelles, une fois encore, se heurtent à la fragmentation des acteurs obéissant chacun à une logique propre.
Économistes des transports, Émile Quinet et Bernard Walliser se plaindraient-ils seulement que leurs recommandations ne soient point suivies ? Non, ils commencent par faire l'autocritique de leur discipline. " La réalité est caractérisée par une diversité que les modèles traduisent mal : toutes les situations sont particulières, il n'y a pas d'usager moyen, il n'y a pas d'entreprise représentative ou de coût standard. " Les mesures que nous recommandons sont trop " aveugles et maladroites, elles n'atteignent pas leur but ". Nous ne prenons pas assez en compte, en particulier, les jeux d'acteurs.
Finalement, les auteurs proposent quelques pistes de progrès pour la science économique. Mais ils demeurent sans illusions : les économistes recommandent le changement. Pour qu'il se concrétise, il faut que leurs recommandations rencontrent la volonté des décideurs. Mais ces économistes n'ont pas le pouvoir de la créer...
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Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité P105 HUG Periodique HEM Casa Documentaires Disponible
[article]
Titre : Rationalité économique et bruit des transports Type de document : texte imprimé Auteurs : KAIL Michel, Auteur Année de publication : 2000 Article en page(s) : pp. 23-38 Langues : Français (fre)
in Futuribles > 256 (septembre 2000) . - pp. 23-38Tags : Sciences économiques|Pollution acoustique|Transport Résumé : La population est de plus en plus exposée et sensible au bruit résultant des transports qui risque, toutefois, de s'accroître encore, en dépit des normes établies et des progrès accomplis par les constructeurs, en raison de l'accroissement du trafic, routier en particulier.
Après avoir établi ce constat préoccupant, les auteurs examinent comment peut être évaluée, en termes monétaires, cette nuisance, et mesurée notre prédisposition à payer pour nous soustraire à cette dégradation de notre environnement sonore.
Ils montrent que différentes méthodes d'évaluation existent (des analyses " hédonistes " et " contingentes ") dont les résultats sont assez convergents et fiables. Mais, néanmoins, ils soulignent que ceux-ci sont relativement peu pris en compte dans la préparation des décisions, y compris en raison du rapport de force entre les acteurs dont les intérêts particuliers souvent priment sur des critères plus objectifs.
Les auteurs, enfin, exposent quelques pistes d'actions, y compris en s'inspirant de l'expérience d'autres pays, pour examiner comment améliorer la prise en compte de telles études dans un processus de décision au sein duquel intervient aussi une notion de " bien public " dont la définition est souvent source de confusion.En ligne : http://www.futuribles.com [article] Rationalité économique et bruit des transports [texte imprimé] / KAIL Michel, Auteur . - 2000 . - pp. 23-38.
Langues : Français (fre)
in Futuribles > 256 (septembre 2000) . - pp. 23-38Tags : Sciences économiques|Pollution acoustique|Transport Résumé : La population est de plus en plus exposée et sensible au bruit résultant des transports qui risque, toutefois, de s'accroître encore, en dépit des normes établies et des progrès accomplis par les constructeurs, en raison de l'accroissement du trafic, routier en particulier.
Après avoir établi ce constat préoccupant, les auteurs examinent comment peut être évaluée, en termes monétaires, cette nuisance, et mesurée notre prédisposition à payer pour nous soustraire à cette dégradation de notre environnement sonore.
Ils montrent que différentes méthodes d'évaluation existent (des analyses " hédonistes " et " contingentes ") dont les résultats sont assez convergents et fiables. Mais, néanmoins, ils soulignent que ceux-ci sont relativement peu pris en compte dans la préparation des décisions, y compris en raison du rapport de force entre les acteurs dont les intérêts particuliers souvent priment sur des critères plus objectifs.
Les auteurs, enfin, exposent quelques pistes d'actions, y compris en s'inspirant de l'expérience d'autres pays, pour examiner comment améliorer la prise en compte de telles études dans un processus de décision au sein duquel intervient aussi une notion de " bien public " dont la définition est souvent source de confusion.En ligne : http://www.futuribles.com Réservation
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Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité P97 HUG Periodique HEM Casa Documentaires Disponible De la croissance au développement. À la recherche d'indicateurs alternatifs / GADREY Jean in Futuribles, 281 (décembre 2002)
[article]
Titre : De la croissance au développement. À la recherche d'indicateurs alternatifs Type de document : texte imprimé Auteurs : GADREY Jean, Auteur Année de publication : 2002 Article en page(s) : pp. 39-72 Langues : Français (fre)
in Futuribles > 281 (décembre 2002) . - pp. 39-72Tags : Croissance économique|Sciences économiques|Indicateurs Résumé : On se souvient des soixante-huitards proclamant qu'on ne " tombe pas amoureux d'un taux de croissance " et que le produit national brut (PNB) ne saurait être assimilé au bonheur national net... La critique de nos instruments de mesure de la performance des nations, et de ce que certains dénoncèrent comme " l'évangile du progrès " mesuré à l'aune d'indicateurs économiques, était donc lancée.
Presque 40 ans plus tard, avons-nous vraiment réussi à nous affranchir de cette manière de compter ? Pas vraiment, affirme Jean Gadrey qui, reprenant la critique du produit intérieur brut (PIB) auquel on se réfère davantage aujourd'hui, rend compte ici des progrès qui malgré tout ont été accomplis en vue d'établir d'autres indicateurs synthétiques, le plus connu d'entre eux étant sans doute " l'indicateur de développement humain " (IDH) établi par le Programme des Nations unies pour le développement.
L'auteur, tout en soulignant d'entrée de jeu que " le choix des pondérations des diverses variables qui composent un indicateur, tout comme le choix des variables qui comptent, est un enjeu de débat public et de confrontation de points de vue, sur ce qu'il faut compter et sur ce qui compte le plus ", présente ici les efforts accomplis ces dernières années pour développer de nouveaux indicateurs qui rendent mieux compte du progrès social et/ou de l'impact des activités humaines sur l'environnement. Il nous expose les nouveaux indicateurs synthétiques qui ont pu être récemment développés qu'il classe en trois catégories :
- les indicateurs centrés sur les questions de développement humain et/ou social, sans monétarisation systématique des variables ;
- les indicateurs inspirés prioritairement par des préoccupations environnementales, sans monétarisation systématique des variables ;
- enfin les indicateurs visant à enrichir ceux des comptes nationaux par des additions et/ou des soustractions de variables monétarisées, avec des variantes faisant une place plus ou moins grande aux critères environnementaux.
Soulignant que la recherche sur les indicateurs synthétiques de développement connaît un nouvel essor depuis la deuxième moitié des années 1990, il décrit ceux de ces indicateurs synthétiques qui lui paraissent les plus prometteurs, montrant au passage sur quelle base ils sont établis et quel crédit il est possible de leur accorder. Son essai est particulièrement bienvenu à un moment où un nouveau courant de pensée apparaît (voir, en France, les travaux de Dominique Méda et de Patrick Viveret, par exemple) qui nous invite à " reconsidérer la richesse ", à mieux prendre en compte le niveau réel de développement économique et social, mais aussi environnemental, non seulement de nos pays mais également de nos organisations. Cet article rejoint donc, à de nombreux égards, les travaux qui sont menés, y compris désormais au sein des entreprises, en vue d'améliorer nos systèmes comptables et d'être moins prisonniers des seules mesures faites à l'aune des échanges marchands.En ligne : http://www.futuribles.com [article] De la croissance au développement. À la recherche d'indicateurs alternatifs [texte imprimé] / GADREY Jean, Auteur . - 2002 . - pp. 39-72.
Langues : Français (fre)
in Futuribles > 281 (décembre 2002) . - pp. 39-72Tags : Croissance économique|Sciences économiques|Indicateurs Résumé : On se souvient des soixante-huitards proclamant qu'on ne " tombe pas amoureux d'un taux de croissance " et que le produit national brut (PNB) ne saurait être assimilé au bonheur national net... La critique de nos instruments de mesure de la performance des nations, et de ce que certains dénoncèrent comme " l'évangile du progrès " mesuré à l'aune d'indicateurs économiques, était donc lancée.
Presque 40 ans plus tard, avons-nous vraiment réussi à nous affranchir de cette manière de compter ? Pas vraiment, affirme Jean Gadrey qui, reprenant la critique du produit intérieur brut (PIB) auquel on se réfère davantage aujourd'hui, rend compte ici des progrès qui malgré tout ont été accomplis en vue d'établir d'autres indicateurs synthétiques, le plus connu d'entre eux étant sans doute " l'indicateur de développement humain " (IDH) établi par le Programme des Nations unies pour le développement.
L'auteur, tout en soulignant d'entrée de jeu que " le choix des pondérations des diverses variables qui composent un indicateur, tout comme le choix des variables qui comptent, est un enjeu de débat public et de confrontation de points de vue, sur ce qu'il faut compter et sur ce qui compte le plus ", présente ici les efforts accomplis ces dernières années pour développer de nouveaux indicateurs qui rendent mieux compte du progrès social et/ou de l'impact des activités humaines sur l'environnement. Il nous expose les nouveaux indicateurs synthétiques qui ont pu être récemment développés qu'il classe en trois catégories :
- les indicateurs centrés sur les questions de développement humain et/ou social, sans monétarisation systématique des variables ;
- les indicateurs inspirés prioritairement par des préoccupations environnementales, sans monétarisation systématique des variables ;
- enfin les indicateurs visant à enrichir ceux des comptes nationaux par des additions et/ou des soustractions de variables monétarisées, avec des variantes faisant une place plus ou moins grande aux critères environnementaux.
Soulignant que la recherche sur les indicateurs synthétiques de développement connaît un nouvel essor depuis la deuxième moitié des années 1990, il décrit ceux de ces indicateurs synthétiques qui lui paraissent les plus prometteurs, montrant au passage sur quelle base ils sont établis et quel crédit il est possible de leur accorder. Son essai est particulièrement bienvenu à un moment où un nouveau courant de pensée apparaît (voir, en France, les travaux de Dominique Méda et de Patrick Viveret, par exemple) qui nous invite à " reconsidérer la richesse ", à mieux prendre en compte le niveau réel de développement économique et social, mais aussi environnemental, non seulement de nos pays mais également de nos organisations. Cet article rejoint donc, à de nombreux égards, les travaux qui sont menés, y compris désormais au sein des entreprises, en vue d'améliorer nos systèmes comptables et d'être moins prisonniers des seules mesures faites à l'aune des échanges marchands.En ligne : http://www.futuribles.com Réservation
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Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité P123 HUG Periodique HEM Casa Documentaires Disponible
[article]
Titre : Le cycle Kondratieff : mythe et réalité Type de document : texte imprimé Auteurs : BOSSERELLE Éric, Auteur Année de publication : 2001 Article en page(s) : pp. 63-78 Langues : Français (fre)
in Futuribles > 267 (septembre 2001) . - pp. 63-78Tags : Croissance économique|Sciences économiques Résumé : Le regain de croissance économique enregistré depuis 1997 en Europe, avec quelques années de retard sur les États-Unis, a donné lieu à des interprétations diverses. Mais, pour beaucoup d'analystes, il préfigure l'entrée dans une nouvelle phase d'expansion, marque le début d'une nouvelle phase ascendante succédant (cycles Kondratiev obligent !) logiquement aux " Trente Piteuses " qui ont suivi la période d'expansion d'après-guerre.
Ainsi, à en croire bon nombre d'adeptes zélés des cycles Kondratiev, nos économies seraient vouées à connaître, quoi que nous fassions, des phases d'expansion et de moindre croissance se succédant inéluctablement tous les 50 ans, la phase ascendante actuelle se trouvant stimulée par un environnement international favorable et l'arrivée à maturité des technologies de l'information et de la communication.
Mais il s'agit là d'une interprétation vulgaire et abusive, montre en substance Éric Bosserelle, des théories de Nicolaï Kondratiev, qui ne s'est intéressé qu'aux fluctuations longues des prix et n'a jamais prétendu édifier une théorie qui, en toute circonstance, expliquerait le passé, a fortiori permettrait de pré-dire quelle sera l'évolution économique.
L'auteur s'attache ici à rappeler quelques vérités élémentaires sur les travaux réalisés par Kondratiev, les bases empiriques, du reste fragiles, sur lesquelles il s'est appuyé et les phénomènes de fluctuation de longue période qu'il avait ainsi mis en évidence. Il en montre les vertus mais aussi les limites, y compris celles tenant aux circonstances particulières de la période qu'il a analysée.
Il souligne ainsi que les cycles Kondratiev posent la question de la dynamique des prix des produits de base en longue durée, question qui, à tort, est totalement ou en partie occultée par les théories modernes, aucune d'entre elles n'étant parvenue à rendre compte de manière convaincante d'un point capital, " celui de la récurrence d'une périodicité de l'ordre d'un demi-siècle ". Par conséquent, conclut Éric Bosserelle, il convient de demeurer extrêmement circonspect face à certains discours en vogue laissant entendre que nos économies évolueraient suivant des lois immuables.En ligne : http://www.futuribles.com [article] Le cycle Kondratieff : mythe et réalité [texte imprimé] / BOSSERELLE Éric, Auteur . - 2001 . - pp. 63-78.
Langues : Français (fre)
in Futuribles > 267 (septembre 2001) . - pp. 63-78Tags : Croissance économique|Sciences économiques Résumé : Le regain de croissance économique enregistré depuis 1997 en Europe, avec quelques années de retard sur les États-Unis, a donné lieu à des interprétations diverses. Mais, pour beaucoup d'analystes, il préfigure l'entrée dans une nouvelle phase d'expansion, marque le début d'une nouvelle phase ascendante succédant (cycles Kondratiev obligent !) logiquement aux " Trente Piteuses " qui ont suivi la période d'expansion d'après-guerre.
Ainsi, à en croire bon nombre d'adeptes zélés des cycles Kondratiev, nos économies seraient vouées à connaître, quoi que nous fassions, des phases d'expansion et de moindre croissance se succédant inéluctablement tous les 50 ans, la phase ascendante actuelle se trouvant stimulée par un environnement international favorable et l'arrivée à maturité des technologies de l'information et de la communication.
Mais il s'agit là d'une interprétation vulgaire et abusive, montre en substance Éric Bosserelle, des théories de Nicolaï Kondratiev, qui ne s'est intéressé qu'aux fluctuations longues des prix et n'a jamais prétendu édifier une théorie qui, en toute circonstance, expliquerait le passé, a fortiori permettrait de pré-dire quelle sera l'évolution économique.
L'auteur s'attache ici à rappeler quelques vérités élémentaires sur les travaux réalisés par Kondratiev, les bases empiriques, du reste fragiles, sur lesquelles il s'est appuyé et les phénomènes de fluctuation de longue période qu'il avait ainsi mis en évidence. Il en montre les vertus mais aussi les limites, y compris celles tenant aux circonstances particulières de la période qu'il a analysée.
Il souligne ainsi que les cycles Kondratiev posent la question de la dynamique des prix des produits de base en longue durée, question qui, à tort, est totalement ou en partie occultée par les théories modernes, aucune d'entre elles n'étant parvenue à rendre compte de manière convaincante d'un point capital, " celui de la récurrence d'une périodicité de l'ordre d'un demi-siècle ". Par conséquent, conclut Éric Bosserelle, il convient de demeurer extrêmement circonspect face à certains discours en vogue laissant entendre que nos économies évolueraient suivant des lois immuables.En ligne : http://www.futuribles.com Réservation
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Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité P108 HUG Periodique HEM Casa Documentaires Disponible L'économie politique de la gratuité (1957) Futurs d'antan / JOUVENEL Bertrand (de) in Futuribles, 281 (décembre 2002)
[article]
Titre : L'économie politique de la gratuité (1957) Futurs d'antan Type de document : texte imprimé Auteurs : JOUVENEL Bertrand (de), Auteur Année de publication : 2002 Article en page(s) : pp. 73-82 Langues : Français (fre)
in Futuribles > 281 (décembre 2002) . - pp. 73-82Tags : Croissance économique|Sciences économiques|Indicateurs Résumé : Nous reproduisons ici un texte initialement publié par Bertrand de Jouvenel en 1957 et repris dans son livre Arcadie. Essais sur le mieux-vivre, publié en 1968 (Paris : SÉDÉIS, collection Futuribles), qui vient heureusement de faire l'objet d'une réédition (Paris : Gallimard, coll. Tel, 2002).
Dans ce texte, publié voici près de 50 ans, l'auteur d'Arcadie, après avoir rappelé les limites de la comptabilité économique, souligne combien celle-ci demeure imparfaite dès lors qu'elle ne prend aucunement en compte ni les services gratuits (le travail domestique, par exemple) ni les biens gratuits (l'oxygène !) ni ce que l'auteur appelle les " biens négatifs ", plus connus aujourd'hui sous le terme d'effets externes.
En lisant ce texte du pionnier de l'" écologie politique ", on est spontanément enclin à s'interroger sur les progrès accomplis dans les idées au cours des 50 années écoulées. Rappelons au demeurant que, à peu près à la même époque, en 1971 précisément, était publié dans la collection Futuribles le livre de Jacques Delors Les Indicateurs sociaux qui, lui aussi, déjà , soulignait la nécessité de recourir à des instruments de mesure plus perfectionnés (que les seuls indicateurs économiques) sur la situation de nos sociétés...
Formons l'espoir que, les préoccupations environnementales aidant, l'indispensable approfondissement de la comptabilité nationale, dont l'urgence était déjà soulignée, fera à l'avenir l'objet d'un effort plus soutenu.En ligne : http://www.futuribles.com [article] L'économie politique de la gratuité (1957) Futurs d'antan [texte imprimé] / JOUVENEL Bertrand (de), Auteur . - 2002 . - pp. 73-82.
Langues : Français (fre)
in Futuribles > 281 (décembre 2002) . - pp. 73-82Tags : Croissance économique|Sciences économiques|Indicateurs Résumé : Nous reproduisons ici un texte initialement publié par Bertrand de Jouvenel en 1957 et repris dans son livre Arcadie. Essais sur le mieux-vivre, publié en 1968 (Paris : SÉDÉIS, collection Futuribles), qui vient heureusement de faire l'objet d'une réédition (Paris : Gallimard, coll. Tel, 2002).
Dans ce texte, publié voici près de 50 ans, l'auteur d'Arcadie, après avoir rappelé les limites de la comptabilité économique, souligne combien celle-ci demeure imparfaite dès lors qu'elle ne prend aucunement en compte ni les services gratuits (le travail domestique, par exemple) ni les biens gratuits (l'oxygène !) ni ce que l'auteur appelle les " biens négatifs ", plus connus aujourd'hui sous le terme d'effets externes.
En lisant ce texte du pionnier de l'" écologie politique ", on est spontanément enclin à s'interroger sur les progrès accomplis dans les idées au cours des 50 années écoulées. Rappelons au demeurant que, à peu près à la même époque, en 1971 précisément, était publié dans la collection Futuribles le livre de Jacques Delors Les Indicateurs sociaux qui, lui aussi, déjà , soulignait la nécessité de recourir à des instruments de mesure plus perfectionnés (que les seuls indicateurs économiques) sur la situation de nos sociétés...
Formons l'espoir que, les préoccupations environnementales aidant, l'indispensable approfondissement de la comptabilité nationale, dont l'urgence était déjà soulignée, fera à l'avenir l'objet d'un effort plus soutenu.En ligne : http://www.futuribles.com Réservation
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Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité P123 HUG Periodique HEM Casa Documentaires Disponible
Titre : Initiation à l'économie Type de document : texte imprimé Auteurs : Robin Bade ; Michael Parkin ; Brian Lyons ; Raymond Bienvenu Editeur : Erpi Année de publication : 2008 Collection : Economie Importance : 258 p Format : 27 cm ISBN/ISSN/EAN : 978-2-7613-2681-0 Prix : 38,50 eur Tags : Économie Sciences économiques Sciences économiques Sciences économiques Économie Résumé : Plus que jamais le meilleur outil pour initier l'étudiant aux fondements de l'économie et l'amener à appliquer ses connaissances théoriques à la conjoncture mondiale.Abondamment illustré de graphiques et tableaux, enrichi de statistiques récentes et significatives, cet ouvrage présente avec concision et limpidité les notions de base en macroéconomie et amène le lecteur à comprendre simplement le fonctionnement de l'économie.Pour les étudiants, de nombreux et réguliers contrôles leur permettent un retour sur les notions abordées et d'évaluer la compréhension qu'ils en ont En ligne : http://www.librairiedialogues.fr//ws/book/9782761326810/unimarc_marc-8 Initiation à l'économie [texte imprimé] / Robin Bade ; Michael Parkin ; Brian Lyons ; Raymond Bienvenu . - Erpi, 2008 . - 258 p ; 27 cm. - (Economie) .
ISBN : 978-2-7613-2681-0 : 38,50 eur
Tags : Économie Sciences économiques Sciences économiques Sciences économiques Économie Résumé : Plus que jamais le meilleur outil pour initier l'étudiant aux fondements de l'économie et l'amener à appliquer ses connaissances théoriques à la conjoncture mondiale.Abondamment illustré de graphiques et tableaux, enrichi de statistiques récentes et significatives, cet ouvrage présente avec concision et limpidité les notions de base en macroéconomie et amène le lecteur à comprendre simplement le fonctionnement de l'économie.Pour les étudiants, de nombreux et réguliers contrôles leur permettent un retour sur les notions abordées et d'évaluer la compréhension qu'ils en ont En ligne : http://www.librairiedialogues.fr//ws/book/9782761326810/unimarc_marc-8 Réservation
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Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité T151 330 / BAD Livre HEM Tanger Documentaires Disponible 100 fiches de lecture en économie, sociologie, histoire et géographie économiques
Titre : 100 fiches de lecture en économie, sociologie, histoire et géographie économiques : classes préparatoires économiques et commerciales, 1er et 2e cycles universitaires Type de document : texte imprimé Auteurs : Marc Montoussé, Directeur de publication, rédacteur en chef Editeur : Rosny-sous-Bois : Bréal Année de publication : DL 2008 Importance : 1 vol. (477 p.) Présentation : couv. ill. en coul. Format : 24 cm ISBN/ISSN/EAN : 978-2-7495-0790-3 Prix : 29,90 EUR Note générale : Index Langues : Français (fre) Tags : Sciences sociales Meilleurs ouvrages Bibliographie Livres Recensions Index. décimale : 300 Sciences sociales 100 fiches de lecture en économie, sociologie, histoire et géographie économiques : classes préparatoires économiques et commerciales, 1er et 2e cycles universitaires [texte imprimé] / Marc Montoussé, Directeur de publication, rédacteur en chef . - Rosny-sous-Bois : Bréal, DL 2008 . - 1 vol. (477 p.) : couv. ill. en coul. ; 24 cm.
ISBN : 978-2-7495-0790-3 : 29,90 EUR
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Tags : Sciences sociales Meilleurs ouvrages Bibliographie Livres Recensions Index. décimale : 300 Sciences sociales Réservation
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Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité T324 300 / MON Livre HEM Tanger Documentaires Disponible Achever le capitalisme ou mourir. À propos du livre de Bernard Perret, Le Capitalisme est-il durable ? / VAL Jean-Claude in Futuribles, 355 (septembre 2009)
[article]
Titre : Achever le capitalisme ou mourir. À propos du livre de Bernard Perret, Le Capitalisme est-il durable ? Type de document : texte imprimé Auteurs : VAL Jean-Claude, Auteur Année de publication : 2009 Article en page(s) : pp. 49-56 Langues : Français (fre)
in Futuribles > 355 (septembre 2009) . - pp. 49-56Tags : Systèmes économiques|Capitalisme|Développement durable|Entreprises Résumé : Préexistant à la crise économique en cours, la crise écologique qui frappe les sociétés modernes signe probablement l’arrêt de mort du système capitaliste productiviste. Telle est, en substance, l’idée développée par Bernard Perret dans un récent ouvrage intitulé Le Capitalisme est-il durable ? Ce que l’on appelle croissance économique, selon l’auteur, repose sur l’énergie bon marché, l’accumulation de biens matériels et la destruction des écosystèmes naturels. Si l’on ne met pas un terme à cette fuite en avant, la société court à sa destruction ; il est donc, selon Bernard Perret, devenu indispensable de mettre le développement durable au cœur du système économique pour rendre à l’économie son sens premier, à savoir économiser. Et cela passe, selon lui, par un retour à la planification orchestrée par les pouvoirs publics en ce sens : il s’agit d’être plus performants en consommant moins, de fixer un cap aux acteurs économiques et, surtout, de faire prévaloir la survie de l’humanité sur la logique marchande.
Jean-Claude Val a lu cet ouvrage de Bernard Perret pour Futuribles. Il en recense ici les principales idées. La situation est grave mais — peut-être — pas désespérée…
*PERRET Bernard. Le Capitalisme est-il durable ? Paris : Carnets Nord, 2008, 210 p.En ligne : http://www.futuribles.com [article] Achever le capitalisme ou mourir. À propos du livre de Bernard Perret, Le Capitalisme est-il durable ? [texte imprimé] / VAL Jean-Claude, Auteur . - 2009 . - pp. 49-56.
Langues : Français (fre)
in Futuribles > 355 (septembre 2009) . - pp. 49-56Tags : Systèmes économiques|Capitalisme|Développement durable|Entreprises Résumé : Préexistant à la crise économique en cours, la crise écologique qui frappe les sociétés modernes signe probablement l’arrêt de mort du système capitaliste productiviste. Telle est, en substance, l’idée développée par Bernard Perret dans un récent ouvrage intitulé Le Capitalisme est-il durable ? Ce que l’on appelle croissance économique, selon l’auteur, repose sur l’énergie bon marché, l’accumulation de biens matériels et la destruction des écosystèmes naturels. Si l’on ne met pas un terme à cette fuite en avant, la société court à sa destruction ; il est donc, selon Bernard Perret, devenu indispensable de mettre le développement durable au cœur du système économique pour rendre à l’économie son sens premier, à savoir économiser. Et cela passe, selon lui, par un retour à la planification orchestrée par les pouvoirs publics en ce sens : il s’agit d’être plus performants en consommant moins, de fixer un cap aux acteurs économiques et, surtout, de faire prévaloir la survie de l’humanité sur la logique marchande.
Jean-Claude Val a lu cet ouvrage de Bernard Perret pour Futuribles. Il en recense ici les principales idées. La situation est grave mais — peut-être — pas désespérée…
*PERRET Bernard. Le Capitalisme est-il durable ? Paris : Carnets Nord, 2008, 210 p.En ligne : http://www.futuribles.com Réservation
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