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136 résultat(s) recherche sur le tag 'Développement régional|Afrique'
Affiner la recherche Interroger des sources externes Faire une suggestionTélécoms et développement en Afrique / HUET Jean-Michel in Futuribles, 349 (février 2009)
Titre : Télécoms et développement en Afrique Type de document : texte imprimé Auteurs : HUET Jean-Michel, Auteur Année de publication : 2009 Article en page(s) : pp. 39-52 Langues : Français (fre)
in Futuribles > 349 (février 2009) . - pp. 39-52Tags : Développement régional|Afrique Résumé : L'accès aux technologies de l'information et de la communication (TIC) est-il un préalable ou une conséquence du développement économique d'un pays ? Autrement dit, les pays en développement doivent-ils attendre d'avoir atteint un niveau économique proche de celui des pays industrialisés pour accéder aux TIC et bénéficier de leur impact économique, ou au contraire, doivent-ils miser sur les TIC pour stimuler leur développement économique ? Selon les auteurs de cet article, s'agissant de l'Afrique, la seconde option pourrait bien être la bonne.
Après avoir présenté l'émergence et la nature des télécommunications (en particulier la téléphonie mobile) sur le continent africain, cet article examine leur contribution à la croissance économique et au développement : emplois directs et indirects, essor de nouvelles activités, substitution de services, apports en matière d'éducation et de santé, etc. Il souligne aussi le cas particulier du m-payment (paiement par téléphone mobile) qui favorise l'accès à des systèmes de micropaiement, microfinancement et autres services bancaires, d'une population très largement exclue des circuits bancaires et financiers classiques : un moyen de dynamiser l'économie et d'amorcer un cercle vertueux. Sans négliger les limites à l'essor des TIC en Afrique (et en gardant à l'esprit les nombreuses disparités régionales), les auteurs témoignent ici d'un optimisme réel quant à l'accès des pays africains aux TIC (qui pourraient même profiter de sauts technologiques, par exemple pour l'Internet mobile) et aux impacts positifs de cet accès sur le développement du continent.En ligne : http://www.futuribles.com [article] Télécoms et développement en Afrique [texte imprimé] / HUET Jean-Michel, Auteur . - 2009 . - pp. 39-52.
Langues : Français (fre)
in Futuribles > 349 (février 2009) . - pp. 39-52Tags : Développement régional|Afrique Résumé : L'accès aux technologies de l'information et de la communication (TIC) est-il un préalable ou une conséquence du développement économique d'un pays ? Autrement dit, les pays en développement doivent-ils attendre d'avoir atteint un niveau économique proche de celui des pays industrialisés pour accéder aux TIC et bénéficier de leur impact économique, ou au contraire, doivent-ils miser sur les TIC pour stimuler leur développement économique ? Selon les auteurs de cet article, s'agissant de l'Afrique, la seconde option pourrait bien être la bonne.
Après avoir présenté l'émergence et la nature des télécommunications (en particulier la téléphonie mobile) sur le continent africain, cet article examine leur contribution à la croissance économique et au développement : emplois directs et indirects, essor de nouvelles activités, substitution de services, apports en matière d'éducation et de santé, etc. Il souligne aussi le cas particulier du m-payment (paiement par téléphone mobile) qui favorise l'accès à des systèmes de micropaiement, microfinancement et autres services bancaires, d'une population très largement exclue des circuits bancaires et financiers classiques : un moyen de dynamiser l'économie et d'amorcer un cercle vertueux. Sans négliger les limites à l'essor des TIC en Afrique (et en gardant à l'esprit les nombreuses disparités régionales), les auteurs témoignent ici d'un optimisme réel quant à l'accès des pays africains aux TIC (qui pourraient même profiter de sauts technologiques, par exemple pour l'Internet mobile) et aux impacts positifs de cet accès sur le développement du continent.En ligne : http://www.futuribles.com Réservation
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Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité P1358 HUG Periodique HEM Casa Documentaires Disponible
Titre : Développement local : le déménagement des Français. La dissociation des lieux de production et de consommation Type de document : texte imprimé Auteurs : DAVEZIES Laurent, Auteur Année de publication : 2004 Article en page(s) : pp. 43-56 Langues : Français (fre)
in Futuribles > 295 (mars 2004) . - pp. 43-56Tags : Développement régional|France|Aménagement du territoire Résumé : Les experts en développement local sont obsédés par la concurrence nouvelle qui s'exercerait entre les territoires pour y attirer des activités productives. Ils se trompent d'objectif, affirme Laurent Davezies : " l'enjeu du développement d'un territoire n'est pas de créer le plus de richesses possible, mais d'en capter le plus possible ".
L'auteur montre ici que nous assistons, en France, à une dissociation croissante entre les lieux de production et les lieux de consommation, qui résulte notamment du volume de temps non travaillé et des lieux, distincts de ceux du travail, où nous passons notre vie.
Ces lieux de loisirs et de consommation, activités qui, incidemment, stimulent les économies locales, sont -y compris du fait de l'ampleur des transferts publics - bien plus dynamiques et attractifs que ceux, métropolitains (à commencer par l'Île-de-France) où les conditions de vie se dégradent.
Nous assistons, affirme en définitive Laurent Davezies, à un " déménagement des Français vers les territoires les plus attractifs sur le plan résidentiel ", qui sont d'abord et avant tout des territoires de consommation.En ligne : http://www.futuribles.com [article] Développement local : le déménagement des Français. La dissociation des lieux de production et de consommation [texte imprimé] / DAVEZIES Laurent, Auteur . - 2004 . - pp. 43-56.
Langues : Français (fre)
in Futuribles > 295 (mars 2004) . - pp. 43-56Tags : Développement régional|France|Aménagement du territoire Résumé : Les experts en développement local sont obsédés par la concurrence nouvelle qui s'exercerait entre les territoires pour y attirer des activités productives. Ils se trompent d'objectif, affirme Laurent Davezies : " l'enjeu du développement d'un territoire n'est pas de créer le plus de richesses possible, mais d'en capter le plus possible ".
L'auteur montre ici que nous assistons, en France, à une dissociation croissante entre les lieux de production et les lieux de consommation, qui résulte notamment du volume de temps non travaillé et des lieux, distincts de ceux du travail, où nous passons notre vie.
Ces lieux de loisirs et de consommation, activités qui, incidemment, stimulent les économies locales, sont -y compris du fait de l'ampleur des transferts publics - bien plus dynamiques et attractifs que ceux, métropolitains (à commencer par l'Île-de-France) où les conditions de vie se dégradent.
Nous assistons, affirme en définitive Laurent Davezies, à un " déménagement des Français vers les territoires les plus attractifs sur le plan résidentiel ", qui sont d'abord et avant tout des territoires de consommation.En ligne : http://www.futuribles.com Réservation
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Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité P137 HUG Periodique HEM Casa Documentaires Disponible
Titre : Les districts italiens. Un modèle de développement local exemplaire Type de document : texte imprimé Auteurs : VIDAL Florence, Auteur Année de publication : 2000 Article en page(s) : pp. 5-22 Langues : Français (fre)
in Futuribles > 256 (septembre 2000) . - pp. 5-22Tags : Développement régional|Italie|Management Résumé : Les districts industriels italiens, ces grappes de petites et moyennes entreprises, regroupées en des systèmes locaux organisés, sont un bel exemple. Remarquables pour leur compétitivité, leur esprit entrepreneurial, leur capacité à innover et leur faculté d'adaptation au marché, ces microentreprises, le plus souvent héritières de l'artisanat traditionnel italien, ont développé une organisation en réseau, les districts, qui les rend particulièrement efficaces.
Comme le montre fort bien Florence Vidal, ces districts italiens sont florissants et contribuent largement au gage d'excellence du Made in Italy. Leurs résultats très positifs (200 districts industriels en 1998, 2 200 000 employés, 42,5 % de l'emploi manufacturier) en font des acteurs essentiels de l'économie italienne. Spécialisés dans la production d'un seul produit, selon un schéma souple de quasi-intégration verticale, ils bénéficient d'économies d'échelle importantes et sont renommés pour leur sens du design, leur créativité et leur efficacité.
Systèmes complexes, les districts font appel à des coordinateurs de filière qui assurent leur interface avec les marchés nationaux et internationaux, et financent des projets. Ils coopèrent également en consorzi sur tel ou tel projet, et bénéficient ainsi de partages de coûts importants, tout en s'appuyant sur de nombreuses institutions locales qui favorisent leur développement, défendent leurs intérêts en encourageant la cohésion sociale, l'esprit d'entreprise, la spécialisation productive, la flexibilité de la main-d'oeuvre et une gouvernance interactive.
Florence Vidal pose clairement la question de savoir si ce concept vertueux est transférable. Concentrés en Italie du Centre et du Nord, les districts vont-ils continuer à s'affirmer et gagner le Sud, voire d'autres pays européens ? Des efforts vont dans ce sens, apportant des réponses inégales.
Quant à l'avenir, qu'adviendra le district lorsque les liens de proximité seront remplacés par des réseaux télématiques ? Pourra-t-on concilier mondialisation, compétitivité, commerce électronique, avec des entités socioculturelles localisées fondées sur l'intégration sociale ? Le district saura-t-il s'ouvrir à l'univers virtuel et devenir un noeud essentiel des réseaux mondiaux ? L'auteur, en conclusion, esquisse plusieurs scénarios.En ligne : http://www.futuribles.com [article] Les districts italiens. Un modèle de développement local exemplaire [texte imprimé] / VIDAL Florence, Auteur . - 2000 . - pp. 5-22.
Langues : Français (fre)
in Futuribles > 256 (septembre 2000) . - pp. 5-22Tags : Développement régional|Italie|Management Résumé : Les districts industriels italiens, ces grappes de petites et moyennes entreprises, regroupées en des systèmes locaux organisés, sont un bel exemple. Remarquables pour leur compétitivité, leur esprit entrepreneurial, leur capacité à innover et leur faculté d'adaptation au marché, ces microentreprises, le plus souvent héritières de l'artisanat traditionnel italien, ont développé une organisation en réseau, les districts, qui les rend particulièrement efficaces.
Comme le montre fort bien Florence Vidal, ces districts italiens sont florissants et contribuent largement au gage d'excellence du Made in Italy. Leurs résultats très positifs (200 districts industriels en 1998, 2 200 000 employés, 42,5 % de l'emploi manufacturier) en font des acteurs essentiels de l'économie italienne. Spécialisés dans la production d'un seul produit, selon un schéma souple de quasi-intégration verticale, ils bénéficient d'économies d'échelle importantes et sont renommés pour leur sens du design, leur créativité et leur efficacité.
Systèmes complexes, les districts font appel à des coordinateurs de filière qui assurent leur interface avec les marchés nationaux et internationaux, et financent des projets. Ils coopèrent également en consorzi sur tel ou tel projet, et bénéficient ainsi de partages de coûts importants, tout en s'appuyant sur de nombreuses institutions locales qui favorisent leur développement, défendent leurs intérêts en encourageant la cohésion sociale, l'esprit d'entreprise, la spécialisation productive, la flexibilité de la main-d'oeuvre et une gouvernance interactive.
Florence Vidal pose clairement la question de savoir si ce concept vertueux est transférable. Concentrés en Italie du Centre et du Nord, les districts vont-ils continuer à s'affirmer et gagner le Sud, voire d'autres pays européens ? Des efforts vont dans ce sens, apportant des réponses inégales.
Quant à l'avenir, qu'adviendra le district lorsque les liens de proximité seront remplacés par des réseaux télématiques ? Pourra-t-on concilier mondialisation, compétitivité, commerce électronique, avec des entités socioculturelles localisées fondées sur l'intégration sociale ? Le district saura-t-il s'ouvrir à l'univers virtuel et devenir un noeud essentiel des réseaux mondiaux ? L'auteur, en conclusion, esquisse plusieurs scénarios.En ligne : http://www.futuribles.com Réservation
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Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité P97 HUG Periodique HEM Casa Documentaires Disponible
Titre : Les multiples visages du modèle turc Type de document : texte imprimé Auteurs : MARCOU Jean, Auteur Année de publication : 2011 Article en page(s) : pp. 5-22 Langues : Français (fre)
in Futuribles > 379 (novembre 2011) . - pp. 5-22Tags : Démocratie|Développement régional|Turquie|Relations internationales|Islam Résumé : La réélection en juin 2011 du Premier ministre Recep Tayyip Erdo?an à la tête de la Turquie, a confirmé l’ancrage dans la société turque de l’AKP, le parti islamique majoritaire dans le pays depuis 2002. Dans ce contexte, force est de constater que le « modèle turc » si souvent mis en avant par les pays occidentaux, au cours du XXe siècle, a fortement évolué et suscite une attention croissante de la part des voisins arabes de la Turquie. Compte tenu des bouleversements géopolitiques qui affectent l’Afrique du Nord et le Moyen-Orient depuis près d’un an, ce pays frontière entre Orient et Occident, fort d’un État laïque et démocratique dirigé par un parti islamique plébiscité par son peuple, et non arabe, peut-il devenir une source d’inspiration régionale ?
Dans le cadre de la saga Méditerranée qu’a lancée Futuribles en 2011, Jean Marcou se penche sur cette question. Il commence par rappeler combien l’image de la Turquie a changé en moins d’un siècle, le « modèle turc » évoluant de celui de pays musulman laïque modernisé, devenu allié de l’Occident malgré une démocratie très relative et une armée dominant le champ politique, à celui de démocratie assumant son identité musulmane et exerçant une diplomatie indépendante. Une évolution qui fait désormais de ce pays non plus un « frère ennemi » pour ses voisins arabes, mais un exemple dont pourraient s’inspirer ceux qui viennent de s’émanciper du joug des dictatures, et une puissance redevenue autonome vis-à-vis des Occidentaux. Il reste bien évidemment un certain nombre de difficultés et d’ambiguïtés internes en Turquie, comme le rappelle Jean Marcou, à commencer par la question kurde, mais l’ancien « homme malade de l’Europe » est sans aucun doute redevenu un acteur incontournable dans cette région au carrefour de l’Afrique, de l’Europe et de l’Asie.En ligne : http://www.futuribles.com [article] Les multiples visages du modèle turc [texte imprimé] / MARCOU Jean, Auteur . - 2011 . - pp. 5-22.
Langues : Français (fre)
in Futuribles > 379 (novembre 2011) . - pp. 5-22Tags : Démocratie|Développement régional|Turquie|Relations internationales|Islam Résumé : La réélection en juin 2011 du Premier ministre Recep Tayyip Erdo?an à la tête de la Turquie, a confirmé l’ancrage dans la société turque de l’AKP, le parti islamique majoritaire dans le pays depuis 2002. Dans ce contexte, force est de constater que le « modèle turc » si souvent mis en avant par les pays occidentaux, au cours du XXe siècle, a fortement évolué et suscite une attention croissante de la part des voisins arabes de la Turquie. Compte tenu des bouleversements géopolitiques qui affectent l’Afrique du Nord et le Moyen-Orient depuis près d’un an, ce pays frontière entre Orient et Occident, fort d’un État laïque et démocratique dirigé par un parti islamique plébiscité par son peuple, et non arabe, peut-il devenir une source d’inspiration régionale ?
Dans le cadre de la saga Méditerranée qu’a lancée Futuribles en 2011, Jean Marcou se penche sur cette question. Il commence par rappeler combien l’image de la Turquie a changé en moins d’un siècle, le « modèle turc » évoluant de celui de pays musulman laïque modernisé, devenu allié de l’Occident malgré une démocratie très relative et une armée dominant le champ politique, à celui de démocratie assumant son identité musulmane et exerçant une diplomatie indépendante. Une évolution qui fait désormais de ce pays non plus un « frère ennemi » pour ses voisins arabes, mais un exemple dont pourraient s’inspirer ceux qui viennent de s’émanciper du joug des dictatures, et une puissance redevenue autonome vis-à-vis des Occidentaux. Il reste bien évidemment un certain nombre de difficultés et d’ambiguïtés internes en Turquie, comme le rappelle Jean Marcou, à commencer par la question kurde, mais l’ancien « homme malade de l’Europe » est sans aucun doute redevenu un acteur incontournable dans cette région au carrefour de l’Afrique, de l’Europe et de l’Asie.En ligne : http://www.futuribles.com Réservation
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Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité P1567 HUG Periodique HEM Casa Documentaires Disponible
Titre : Le NEPAD peut-il sauver l'Afrique ? La difficile prise en compte de la dimension territoriale du développement Type de document : texte imprimé Auteurs : ALVERGNE Christel, Auteur Année de publication : 2003 Article en page(s) : pp. 45-64 Langues : Français (fre)
in Futuribles > 289 (septembre 2003) . - pp. 45-64Tags : Développement économique|Afrique|Aménagement du territoire Résumé : Force est de constater que les nombreux plans adoptés, non sans controverses, pour sortir le continent africain de son sous-développement se sont soldés jusqu'à présent par un échec. Le NEPAD (New Partnership for African Development), élaboré à partir de différentes propositions de leaders africains et adopté par la nouvelle " union africaine " à Durban en juillet 2002, entend être désormais l'instrument qui permettra d'inverser la tendance et d'assurer le développement du continent.
Christel Alvergne et Daniel Latouche exposent ici quelle est la teneur de ce plan qui vise essentiellement à enclencher une nouvelle dynamique de développement en s'appuyant sur des investissements importants dans des infrastructures (transports, énergie, eau, assainissement, télécommunications), le pari étant que celles-ci exerceront un puissant effet d'entraînement.
Les auteurs décrivent quels sont les projets ainsi conçus dans le cadre du NEPAD et montrent les bénéfices que pourrait en tirer le continent africain. Mais ils soulignent en même temps que la création d'infrastructures devrait être replacée dans le cadre d'une politique générale d'aménagement du territoire qui, pour l'instant, fait défaut. Le NEPAD, écrivent-ils, a permis à l'Afrique de redécouvrir son territoire. Mais il lui manque toujours un projet pour l'aménager, un projet qui prenne appui sur de véritables dynamiques territoriales.[article] Le NEPAD peut-il sauver l'Afrique ? La difficile prise en compte de la dimension territoriale du développement [texte imprimé] / ALVERGNE Christel, Auteur . - 2003 . - pp. 45-64.
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in Futuribles > 289 (septembre 2003) . - pp. 45-64Tags : Développement économique|Afrique|Aménagement du territoire Résumé : Force est de constater que les nombreux plans adoptés, non sans controverses, pour sortir le continent africain de son sous-développement se sont soldés jusqu'à présent par un échec. Le NEPAD (New Partnership for African Development), élaboré à partir de différentes propositions de leaders africains et adopté par la nouvelle " union africaine " à Durban en juillet 2002, entend être désormais l'instrument qui permettra d'inverser la tendance et d'assurer le développement du continent.
Christel Alvergne et Daniel Latouche exposent ici quelle est la teneur de ce plan qui vise essentiellement à enclencher une nouvelle dynamique de développement en s'appuyant sur des investissements importants dans des infrastructures (transports, énergie, eau, assainissement, télécommunications), le pari étant que celles-ci exerceront un puissant effet d'entraînement.
Les auteurs décrivent quels sont les projets ainsi conçus dans le cadre du NEPAD et montrent les bénéfices que pourrait en tirer le continent africain. Mais ils soulignent en même temps que la création d'infrastructures devrait être replacée dans le cadre d'une politique générale d'aménagement du territoire qui, pour l'instant, fait défaut. Le NEPAD, écrivent-ils, a permis à l'Afrique de redécouvrir son territoire. Mais il lui manque toujours un projet pour l'aménager, un projet qui prenne appui sur de véritables dynamiques territoriales.Réservation
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Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité P131 HUG Periodique HEM Casa Documentaires Disponible
Titre : Une nouvelle vision de la métropole parisienne Type de document : texte imprimé Auteurs : Jean-Claude Prager, Auteur Année de publication : 2014 Article en page(s) : pp. 53-68 Langues : Français (fre)
in Futuribles > 401 (juillet-août 2014) . - pp. 53-68Tags : Développement économique | Développement régional | Ile-de-France | Infrastructure des transports Résumé : Faisant suite à l’article de Mario Polèse ouvrant le dossier consacré au « Grand Paris », Jean-Claude Prager montre ici en quoi la région parisienne, qui peine depuis quelques années sur le plan économique, à l’instar de la France elle-même, doit et peut rebondir dans l’économie de la connaissance.
Après avoir rappelé les insuffisances que connaît l’Île-de-France en termes d’emploi et de croissance économique, il souligne ses lacunes en matière d’innovation, critère déterminant dans le positionnement international des grandes métropoles concurrentes de Paris (Londres, Tokyo, New York…). Jean-Claude Prager insiste également sur le rôle essentiel du capital humain parmi les facteurs clefs en matière d’innovation et d’attractivité économique, d’où la nécessité de renforcer le système d’éducation et de recherche, régional mais aussi national. Enfin, redynamiser le tissu entrepreneurial français implique aussi des formes nouvelles d’intervention et d’incitation de l’État en faveur de la création d’entreprise, et de la consolidation des petites et moyennes entreprises ; un terrain sur lequel l’Île-de-France pourrait servir de test local avant diffusion nationale. Et dans une telle optique, la perspective de développement d’une entité comme le Grand Paris constitue, selon Jean-Claude Prager, une véritable opportunité pour l’Île-de-France.
En ligne : http://www.futuribles.com [article] Une nouvelle vision de la métropole parisienne [texte imprimé] / Jean-Claude Prager, Auteur . - 2014 . - pp. 53-68.
Langues : Français (fre)
in Futuribles > 401 (juillet-août 2014) . - pp. 53-68Tags : Développement économique | Développement régional | Ile-de-France | Infrastructure des transports Résumé : Faisant suite à l’article de Mario Polèse ouvrant le dossier consacré au « Grand Paris », Jean-Claude Prager montre ici en quoi la région parisienne, qui peine depuis quelques années sur le plan économique, à l’instar de la France elle-même, doit et peut rebondir dans l’économie de la connaissance.
Après avoir rappelé les insuffisances que connaît l’Île-de-France en termes d’emploi et de croissance économique, il souligne ses lacunes en matière d’innovation, critère déterminant dans le positionnement international des grandes métropoles concurrentes de Paris (Londres, Tokyo, New York…). Jean-Claude Prager insiste également sur le rôle essentiel du capital humain parmi les facteurs clefs en matière d’innovation et d’attractivité économique, d’où la nécessité de renforcer le système d’éducation et de recherche, régional mais aussi national. Enfin, redynamiser le tissu entrepreneurial français implique aussi des formes nouvelles d’intervention et d’incitation de l’État en faveur de la création d’entreprise, et de la consolidation des petites et moyennes entreprises ; un terrain sur lequel l’Île-de-France pourrait servir de test local avant diffusion nationale. Et dans une telle optique, la perspective de développement d’une entité comme le Grand Paris constitue, selon Jean-Claude Prager, une véritable opportunité pour l’Île-de-France.
En ligne : http://www.futuribles.com Réservation
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Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité P1719 HUG Periodique HEM Casa Documentaires Disponible
Titre : Paris et le mal français : À propos de l’indissociabilité des économies urbaines et nationales Type de document : texte imprimé Auteurs : POLÈSE Mario, Auteur Année de publication : 2014 Article en page(s) : pp. 41-52 Langues : Français (fre)
in Futuribles > 401 (juillet-août 2014) . - pp. 41-52Tags : Développement économique | Développement régional | Ile-de-France Résumé : En ouverture du dossier sur le Grand Paris publié dans ce numéro, le professeur canadien Mario Polèse propose un regard extérieur sur la place de Paris parmi les grandes villes mondiales d’envergure. S’étonnant que Paris ne soit pas la capitale économique de l’Europe compte tenu de sa position géographique et de ses atouts, il propose divers éléments d’explication d’ordre linguistique, mais aussi et surtout d’ordre économique et réglementaire. S’interrogeant sur le rôle que pourrait jouer le Grand Paris dans le renforcement de la place de la capitale française dans la nouvelle économie, il insiste sur les rigidités qui dissuadent aujourd’hui l’implantation de start-ups dans la capitale (en particulier dans le domaine de l’immobilier), alors même que de nombreuses ressources en matière de recherche scientifique et technologique existent en Île-de-France (à l’instar du plateau de Saclay). In fine, il propose deux scénarios d’évolution pour la région capitale à l’horizon 2030, dans le contexte du Grand Paris, selon que de véritables changements structurels seront ou non opérés en matière économique en France, pour attirer et maintenir les talents. En ligne : http://www.futuribles.com [article] Paris et le mal français : À propos de l’indissociabilité des économies urbaines et nationales [texte imprimé] / POLÈSE Mario, Auteur . - 2014 . - pp. 41-52.
Langues : Français (fre)
in Futuribles > 401 (juillet-août 2014) . - pp. 41-52Tags : Développement économique | Développement régional | Ile-de-France Résumé : En ouverture du dossier sur le Grand Paris publié dans ce numéro, le professeur canadien Mario Polèse propose un regard extérieur sur la place de Paris parmi les grandes villes mondiales d’envergure. S’étonnant que Paris ne soit pas la capitale économique de l’Europe compte tenu de sa position géographique et de ses atouts, il propose divers éléments d’explication d’ordre linguistique, mais aussi et surtout d’ordre économique et réglementaire. S’interrogeant sur le rôle que pourrait jouer le Grand Paris dans le renforcement de la place de la capitale française dans la nouvelle économie, il insiste sur les rigidités qui dissuadent aujourd’hui l’implantation de start-ups dans la capitale (en particulier dans le domaine de l’immobilier), alors même que de nombreuses ressources en matière de recherche scientifique et technologique existent en Île-de-France (à l’instar du plateau de Saclay). In fine, il propose deux scénarios d’évolution pour la région capitale à l’horizon 2030, dans le contexte du Grand Paris, selon que de véritables changements structurels seront ou non opérés en matière économique en France, pour attirer et maintenir les talents. En ligne : http://www.futuribles.com Réservation
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Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité P1719 HUG Periodique HEM Casa Documentaires Disponible
Titre : La politique européenne de cohésion. De la cohésion économique et sociale à la cohésion territoriale Type de document : texte imprimé Auteurs : DREVET Jean-François, Auteur Année de publication : 2010 Article en page(s) : pp. 79-84 Langues : Français (fre)
in Futuribles > 364 (juin 2010) . - pp. 79-84Tags : Développement régional|Union européenne|Aménagement du territoire Résumé : Quelles sont les perspectives de la politique de cohésion territoriale en tant qu’objectif complémentaire à la politique de cohésion économique et sociale ? s’interroge ici Jean-François Drevet. L’auteur présente, tout d’abord, les actions et outils d’analyse du territoire européen, créés dans le cadre de la politique régionale communautaire — FEDER, Interreg, Livre vert, etc. — , puis réfléchit, au regard de ce qui existe déjà, à la mise en œuvre possible du nouvel objectif de cohésion territoriale, qui apparaît à ses yeux comme prioritaire. Cet objectif « introduit un souci d’équilibre qui vise à apporter aux territoires, et donc aux populations, des garanties d’accessibilité aux infrastructures et aux services sociaux qui sont une des bases de la démocratie et de l’efficacité économique », conclut-il. En ligne : http://www.futuribles.com [article] La politique européenne de cohésion. De la cohésion économique et sociale à la cohésion territoriale [texte imprimé] / DREVET Jean-François, Auteur . - 2010 . - pp. 79-84.
Langues : Français (fre)
in Futuribles > 364 (juin 2010) . - pp. 79-84Tags : Développement régional|Union européenne|Aménagement du territoire Résumé : Quelles sont les perspectives de la politique de cohésion territoriale en tant qu’objectif complémentaire à la politique de cohésion économique et sociale ? s’interroge ici Jean-François Drevet. L’auteur présente, tout d’abord, les actions et outils d’analyse du territoire européen, créés dans le cadre de la politique régionale communautaire — FEDER, Interreg, Livre vert, etc. — , puis réfléchit, au regard de ce qui existe déjà, à la mise en œuvre possible du nouvel objectif de cohésion territoriale, qui apparaît à ses yeux comme prioritaire. Cet objectif « introduit un souci d’équilibre qui vise à apporter aux territoires, et donc aux populations, des garanties d’accessibilité aux infrastructures et aux services sociaux qui sont une des bases de la démocratie et de l’efficacité économique », conclut-il. En ligne : http://www.futuribles.com Réservation
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Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité P1466 HUG Periodique HEM Casa Documentaires Disponible
Titre : Que veut le Maghreb ? Type de document : texte imprimé Auteurs : SAFIR Nadji, Auteur Année de publication : 2014 Article en page(s) : pp. 57-70 Langues : Français (fre)
in Futuribles > 398 (janvier-février 2014) . - pp. 57-70Tags : Développement régional | Maghreb | Relations internationales Résumé : À la une de la presse internationale depuis plus de trois ans en raison des révolutions qui secouent la région (le fameux « printemps arabe »), le Maghreb se trouve aujourd’hui à la croisée des chemins. D’une part, les pays de la région (Algérie, Libye, Maroc, Mauritanie et Tunisie) peinent à retrouver un équilibre politique ; d’autre part, ils ne parviennent pas non plus à relever les défis socio-économiques qui se posent à eux dans le contexte d’internationalisation des échanges et de vive concurrence des pays asiatiques. Pourtant, la région dispose de nombreux atouts qui, sous réserve d’un véritable effort d’intégration régionale, pourraient lui permettre de trouver sa place dans l’économie mondiale.
C’est ce que montre ici Nadji Safir, soulignant dans un premier temps les limites des politiques de développement menées au Maghreb et les déficits qui y prévalent en matière de « maîtrise sociale de la connaissance », avant de présenter les sept grands ensembles d’enjeux et contraintes déterminants pour l’avenir de la région : en matière idéologique et culturelle, politique et sécuritaire, éducative et scientifique, sociale et économique, écologique et territoriale, humanitaire et sécuritaire, politique et géostratégique. Partant de là et des atouts dont disposent les pays du Maghreb, Nadji Safir insiste sur le préalable indispensable que représente l’intégration économique régionale pour faire de cette zone un véritable pôle de croissance —?et non de crise — régional, mais aussi potentiellement international.
[article] Que veut le Maghreb ? [texte imprimé] / SAFIR Nadji, Auteur . - 2014 . - pp. 57-70.
Langues : Français (fre)
in Futuribles > 398 (janvier-février 2014) . - pp. 57-70Tags : Développement régional | Maghreb | Relations internationales Résumé : À la une de la presse internationale depuis plus de trois ans en raison des révolutions qui secouent la région (le fameux « printemps arabe »), le Maghreb se trouve aujourd’hui à la croisée des chemins. D’une part, les pays de la région (Algérie, Libye, Maroc, Mauritanie et Tunisie) peinent à retrouver un équilibre politique ; d’autre part, ils ne parviennent pas non plus à relever les défis socio-économiques qui se posent à eux dans le contexte d’internationalisation des échanges et de vive concurrence des pays asiatiques. Pourtant, la région dispose de nombreux atouts qui, sous réserve d’un véritable effort d’intégration régionale, pourraient lui permettre de trouver sa place dans l’économie mondiale.
C’est ce que montre ici Nadji Safir, soulignant dans un premier temps les limites des politiques de développement menées au Maghreb et les déficits qui y prévalent en matière de « maîtrise sociale de la connaissance », avant de présenter les sept grands ensembles d’enjeux et contraintes déterminants pour l’avenir de la région : en matière idéologique et culturelle, politique et sécuritaire, éducative et scientifique, sociale et économique, écologique et territoriale, humanitaire et sécuritaire, politique et géostratégique. Partant de là et des atouts dont disposent les pays du Maghreb, Nadji Safir insiste sur le préalable indispensable que représente l’intégration économique régionale pour faire de cette zone un véritable pôle de croissance —?et non de crise — régional, mais aussi potentiellement international.
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Titre : La santé sociale des territoires. Un indicateur de santé sociale pour les régions françaises Type de document : texte imprimé Auteurs : JANY-CATRICE Florence, Auteur Année de publication : 2009 Article en page(s) : pp. 65-88 Langues : Français (fre)
in Futuribles > 350 (mars 2009) . - pp. 65-88Tags : Développement régional|Indicateurs Résumé : Le choix des indicateurs qui nous permettent de comprendre le monde, la société, etc., et d'agir en conséquence, a toujours été au centre des préoccupations de la revue Futuribles. À cet égard, il a souvent été dénoncé dans ces colonnes les limites de l'appareil statistique français (par exemple pour mesurer les flux migratoires ou l'intégration des populations d'origine étrangère) ou des indicateurs de développement humain, tels ceux des Nations unies, qui ne prennent pas suffisamment en compte les aspects sociaux et environnementaux.
Dans cet article, Florence Jany-Catrice et Rabih Zotti prolongent le débat et présentent un indicateur de santé sociale (ISS), applicable aux régions françaises, inspiré de celui expérimenté récemment par la région Nord-Pas-de-Calais (baromètre d'inégalités et de pauvreté). Tenant compte des multiples dimensions qui participent à la santé sociale des territoires (éducation, justice, emploi, logement, revenus, santé, liens sociaux), cet ISS a été appliqué aux différentes régions françaises pour 2004 et éclaire sous un jour nouveau leurs performances sociales. Ce sont ainsi surtout les régions urbanisées qui enregistrent les moins bonnes performances alors que d'autres comme le Limousin ressortent comme socialement performantes. Quelques régions restent en bas de classement quel que soit l'indicateur retenu, comme le Nord-Pas-de-Calais et le Languedoc-Roussillon, parmi les derniers en termes tant de revenu par habitant que de santé sociale. Mais de manière générale, on constate que bonne santé économique et bonne santé sociale ne vont pas systématiquement de pair.En ligne : http://www.futuribles.com [article] La santé sociale des territoires. Un indicateur de santé sociale pour les régions françaises [texte imprimé] / JANY-CATRICE Florence, Auteur . - 2009 . - pp. 65-88.
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in Futuribles > 350 (mars 2009) . - pp. 65-88Tags : Développement régional|Indicateurs Résumé : Le choix des indicateurs qui nous permettent de comprendre le monde, la société, etc., et d'agir en conséquence, a toujours été au centre des préoccupations de la revue Futuribles. À cet égard, il a souvent été dénoncé dans ces colonnes les limites de l'appareil statistique français (par exemple pour mesurer les flux migratoires ou l'intégration des populations d'origine étrangère) ou des indicateurs de développement humain, tels ceux des Nations unies, qui ne prennent pas suffisamment en compte les aspects sociaux et environnementaux.
Dans cet article, Florence Jany-Catrice et Rabih Zotti prolongent le débat et présentent un indicateur de santé sociale (ISS), applicable aux régions françaises, inspiré de celui expérimenté récemment par la région Nord-Pas-de-Calais (baromètre d'inégalités et de pauvreté). Tenant compte des multiples dimensions qui participent à la santé sociale des territoires (éducation, justice, emploi, logement, revenus, santé, liens sociaux), cet ISS a été appliqué aux différentes régions françaises pour 2004 et éclaire sous un jour nouveau leurs performances sociales. Ce sont ainsi surtout les régions urbanisées qui enregistrent les moins bonnes performances alors que d'autres comme le Limousin ressortent comme socialement performantes. Quelques régions restent en bas de classement quel que soit l'indicateur retenu, comme le Nord-Pas-de-Calais et le Languedoc-Roussillon, parmi les derniers en termes tant de revenu par habitant que de santé sociale. Mais de manière générale, on constate que bonne santé économique et bonne santé sociale ne vont pas systématiquement de pair.En ligne : http://www.futuribles.com Réservation
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