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147 résultat(s) recherche sur le tag 'Écologie|Développement durable|Industrie'
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L'essor de l'écologie industrielle. Une avancée vers le développement durable / ADOUE Cyril in Futuribles, 291 (novembre 2003)
[article]
Titre : L'essor de l'écologie industrielle. Une avancée vers le développement durable Type de document : texte imprimé Auteurs : ADOUE Cyril, Auteur Année de publication : 2003 Article en page(s) : pp. 51-68 Langues : Français (fre)
in Futuribles > 291 (novembre 2003) . - pp. 51-68Tags : Écologie|Développement durable|Industrie Résumé : Après avoir défini et rappelé la genèse (récente) de ce concept, Cyril Adoue et Arnaud Ansart présentent ici, exemples à l'appui, l'intérêt de l'écologie industrielle. Partant de cas concrets de parcs éco-industriels (en Europe, Amérique ou Asie), ils montrent comment peut s'établir une " symbiose industrielle " entre entreprises d'une même région, les déchets des unes devenant les matériaux de production des autres. Pour parvenir à de telles synergies, l'outil essentiel est, selon eux, l'analyse du " métabolisme industriel ", qui repose sur le principe de conservation de la matière au sein du système observé. C'est là un instrument majeur d'aide à la décision pour la mise en oeuvre d'un développement véritablement durable.
Mais l'écologie industrielle, insistent les auteurs, peut aller bien au-delà de la simple (mais encore trop rare) symbiose industrielle, en intégrant la minimisation des émissions dissipatives, la dématérialisation de certaines activités économiques, la décarbonisation de l'énergie, l'éco-efficacité...
Enfin, quoique conscients de la part minime occupée par l'écologie industrielle dans les systèmes économiques contemporains, Cyril Adoue et Arnaud Ansart insistent sur le rôle crucial qui pourrait être le sien dans les années à venir, à supposer que les gouvernants se décident à développer les incitations législatives et économiques indispensables. Autrement dit, à passer des grandes déclarations aux actes s'agissant du développement durable.En ligne : http://www.futuribles.com [article] L'essor de l'écologie industrielle. Une avancée vers le développement durable [texte imprimé] / ADOUE Cyril, Auteur . - 2003 . - pp. 51-68.
Langues : Français (fre)
in Futuribles > 291 (novembre 2003) . - pp. 51-68Tags : Écologie|Développement durable|Industrie Résumé : Après avoir défini et rappelé la genèse (récente) de ce concept, Cyril Adoue et Arnaud Ansart présentent ici, exemples à l'appui, l'intérêt de l'écologie industrielle. Partant de cas concrets de parcs éco-industriels (en Europe, Amérique ou Asie), ils montrent comment peut s'établir une " symbiose industrielle " entre entreprises d'une même région, les déchets des unes devenant les matériaux de production des autres. Pour parvenir à de telles synergies, l'outil essentiel est, selon eux, l'analyse du " métabolisme industriel ", qui repose sur le principe de conservation de la matière au sein du système observé. C'est là un instrument majeur d'aide à la décision pour la mise en oeuvre d'un développement véritablement durable.
Mais l'écologie industrielle, insistent les auteurs, peut aller bien au-delà de la simple (mais encore trop rare) symbiose industrielle, en intégrant la minimisation des émissions dissipatives, la dématérialisation de certaines activités économiques, la décarbonisation de l'énergie, l'éco-efficacité...
Enfin, quoique conscients de la part minime occupée par l'écologie industrielle dans les systèmes économiques contemporains, Cyril Adoue et Arnaud Ansart insistent sur le rôle crucial qui pourrait être le sien dans les années à venir, à supposer que les gouvernants se décident à développer les incitations législatives et économiques indispensables. Autrement dit, à passer des grandes déclarations aux actes s'agissant du développement durable.En ligne : http://www.futuribles.com Réservation
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Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité P133 HUG Periodique HEM Casa Documentaires Disponible Innovation “responsable†et développement durable / JOLY Pierre-Benoît in Futuribles, 383 (mars 2012)
[article]
Titre : Innovation “responsable†et développement durable Type de document : texte imprimé Auteurs : JOLY Pierre-Benoît, Auteur Année de publication : 2012 Article en page(s) : pp. 89-110 Langues : Français (fre)
in Futuribles > 383 (mars 2012) . - pp. 89-110Tags : Biotechnologie|Aspects politiques|Système de valeurs|Développement durable|Innovations|Industrie Résumé : Les organismes génétiquement modifiés (OGM) sont au cœur de controverses importantes dans le monde scientifique. Mais les enjeux vont bien au-delà , comme le montre ici Pierre-Benoit Joly : ils renvoient à des questions plus politiques telles que la vision du monde que l’on souhaite voir prévaloir à l’avenir, dans le domaine agricole mais aussi, plus largement, en matière de développement durable pour notre planète.
Rappelant d’abord comment ont évolué, au fil du temps, les régimes d’innovation dans le monde végétal, l’auteur souligne que l’on est passé de pratiques et savoir-faire traditionnels à un premier régime d’innovation reposant sur des agronomes d’État et des entreprises semencières, qui a lui-même évolué vers un régime d’innovation « moléculaire, privé et mondialisé », largement favorisé par l’autorisation, dans les années 1980, de breveter la matière vivante. Ceci a conduit à une forte concentration des marchés agronomiques autour de quelques entreprises majeures, et à une focalisation de la recherche sur quelques espèces et sur les OGM. Mais cet engagement pour les OGM a suscité de nombreuses critiques, plaçant les leaders de l’« oligopole biotech » face à une crise de légitimité. D’où les efforts produits par ces acteurs, depuis quelques années, pour légitimer, économiquement et politiquement, leur ferveur pour les OGM.
C’est à ce travail « technopolitique » de légitimation que s’intéresse, dans un second temps, Pierre-Benoit Joly. Grâce à la privatisation de l’innovation et à la mondialisation des activités, les grands groupes biotech font peu à peu prévaloir leur vision du monde, au moyen notamment d’une coproduction de la réglementation des risques inhérents aux innovations (émergence d’une soft law baissant le niveau de contrainte obligatoire des États), d’un lobbying intensif au sein des institutions publiques, de la mise en place de « communautés épistémiques » (réseaux visant à faire évoluer le droit international en leur sens)… Il montre enfin comment ces acteurs — et en particulier Monsanto qu’il étudie plus spécifiquement ici — privatisent la notion de développement durable en agriculture (via des chartes éthiques, par exemple), de manière à ce que leurs activités finissent par constituer un point de passage obligé pour y parvenir. Un travail d’enrôlement très bien décrit ici et qu’il est encore possible de contrer dès lors qu’on en a compris les rouages.
En ligne : http://www.futuribles.com [article] Innovation “responsable†et développement durable [texte imprimé] / JOLY Pierre-Benoît, Auteur . - 2012 . - pp. 89-110.
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in Futuribles > 383 (mars 2012) . - pp. 89-110Tags : Biotechnologie|Aspects politiques|Système de valeurs|Développement durable|Innovations|Industrie Résumé : Les organismes génétiquement modifiés (OGM) sont au cœur de controverses importantes dans le monde scientifique. Mais les enjeux vont bien au-delà , comme le montre ici Pierre-Benoit Joly : ils renvoient à des questions plus politiques telles que la vision du monde que l’on souhaite voir prévaloir à l’avenir, dans le domaine agricole mais aussi, plus largement, en matière de développement durable pour notre planète.
Rappelant d’abord comment ont évolué, au fil du temps, les régimes d’innovation dans le monde végétal, l’auteur souligne que l’on est passé de pratiques et savoir-faire traditionnels à un premier régime d’innovation reposant sur des agronomes d’État et des entreprises semencières, qui a lui-même évolué vers un régime d’innovation « moléculaire, privé et mondialisé », largement favorisé par l’autorisation, dans les années 1980, de breveter la matière vivante. Ceci a conduit à une forte concentration des marchés agronomiques autour de quelques entreprises majeures, et à une focalisation de la recherche sur quelques espèces et sur les OGM. Mais cet engagement pour les OGM a suscité de nombreuses critiques, plaçant les leaders de l’« oligopole biotech » face à une crise de légitimité. D’où les efforts produits par ces acteurs, depuis quelques années, pour légitimer, économiquement et politiquement, leur ferveur pour les OGM.
C’est à ce travail « technopolitique » de légitimation que s’intéresse, dans un second temps, Pierre-Benoit Joly. Grâce à la privatisation de l’innovation et à la mondialisation des activités, les grands groupes biotech font peu à peu prévaloir leur vision du monde, au moyen notamment d’une coproduction de la réglementation des risques inhérents aux innovations (émergence d’une soft law baissant le niveau de contrainte obligatoire des États), d’un lobbying intensif au sein des institutions publiques, de la mise en place de « communautés épistémiques » (réseaux visant à faire évoluer le droit international en leur sens)… Il montre enfin comment ces acteurs — et en particulier Monsanto qu’il étudie plus spécifiquement ici — privatisent la notion de développement durable en agriculture (via des chartes éthiques, par exemple), de manière à ce que leurs activités finissent par constituer un point de passage obligé pour y parvenir. Un travail d’enrôlement très bien décrit ici et qu’il est encore possible de contrer dès lors qu’on en a compris les rouages.
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Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité P1588 HUG Periodique HEM Casa Documentaires Disponible Achever le capitalisme ou mourir. À propos du livre de Bernard Perret, Le Capitalisme est-il durable ? / VAL Jean-Claude in Futuribles, 355 (septembre 2009)
[article]
Titre : Achever le capitalisme ou mourir. À propos du livre de Bernard Perret, Le Capitalisme est-il durable ? Type de document : texte imprimé Auteurs : VAL Jean-Claude, Auteur Année de publication : 2009 Article en page(s) : pp. 49-56 Langues : Français (fre)
in Futuribles > 355 (septembre 2009) . - pp. 49-56Tags : Systèmes économiques|Capitalisme|Développement durable|Entreprises Résumé : Préexistant à la crise économique en cours, la crise écologique qui frappe les sociétés modernes signe probablement l’arrêt de mort du système capitaliste productiviste. Telle est, en substance, l’idée développée par Bernard Perret dans un récent ouvrage intitulé Le Capitalisme est-il durable ? Ce que l’on appelle croissance économique, selon l’auteur, repose sur l’énergie bon marché, l’accumulation de biens matériels et la destruction des écosystèmes naturels. Si l’on ne met pas un terme à cette fuite en avant, la société court à sa destruction ; il est donc, selon Bernard Perret, devenu indispensable de mettre le développement durable au cœur du système économique pour rendre à l’économie son sens premier, à savoir économiser. Et cela passe, selon lui, par un retour à la planification orchestrée par les pouvoirs publics en ce sens : il s’agit d’être plus performants en consommant moins, de fixer un cap aux acteurs économiques et, surtout, de faire prévaloir la survie de l’humanité sur la logique marchande.
Jean-Claude Val a lu cet ouvrage de Bernard Perret pour Futuribles. Il en recense ici les principales idées. La situation est grave mais — peut-être — pas désespérée…
*PERRET Bernard. Le Capitalisme est-il durable ? Paris : Carnets Nord, 2008, 210 p.En ligne : http://www.futuribles.com [article] Achever le capitalisme ou mourir. À propos du livre de Bernard Perret, Le Capitalisme est-il durable ? [texte imprimé] / VAL Jean-Claude, Auteur . - 2009 . - pp. 49-56.
Langues : Français (fre)
in Futuribles > 355 (septembre 2009) . - pp. 49-56Tags : Systèmes économiques|Capitalisme|Développement durable|Entreprises Résumé : Préexistant à la crise économique en cours, la crise écologique qui frappe les sociétés modernes signe probablement l’arrêt de mort du système capitaliste productiviste. Telle est, en substance, l’idée développée par Bernard Perret dans un récent ouvrage intitulé Le Capitalisme est-il durable ? Ce que l’on appelle croissance économique, selon l’auteur, repose sur l’énergie bon marché, l’accumulation de biens matériels et la destruction des écosystèmes naturels. Si l’on ne met pas un terme à cette fuite en avant, la société court à sa destruction ; il est donc, selon Bernard Perret, devenu indispensable de mettre le développement durable au cœur du système économique pour rendre à l’économie son sens premier, à savoir économiser. Et cela passe, selon lui, par un retour à la planification orchestrée par les pouvoirs publics en ce sens : il s’agit d’être plus performants en consommant moins, de fixer un cap aux acteurs économiques et, surtout, de faire prévaloir la survie de l’humanité sur la logique marchande.
Jean-Claude Val a lu cet ouvrage de Bernard Perret pour Futuribles. Il en recense ici les principales idées. La situation est grave mais — peut-être — pas désespérée…
*PERRET Bernard. Le Capitalisme est-il durable ? Paris : Carnets Nord, 2008, 210 p.En ligne : http://www.futuribles.com Réservation
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Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité P1404 HUG Periodique HEM Casa Documentaires Disponible Les actions locales dans la transition postcarbone. Une simulation des effets macroéconomiques / HOURCADE Jean-Charles in Futuribles, 392 (janvier-février 2013)
[article]
Titre : Les actions locales dans la transition postcarbone. Une simulation des effets macroéconomiques Type de document : texte imprimé Auteurs : HOURCADE Jean-Charles, Auteur Année de publication : 2013 Article en page(s) : pp. 61-76 Langues : Français (fre)
in Futuribles > 392 (janvier-février 2013) . - pp. 61-76Tags : Modèles économétriques|Villes|Développement durable Résumé : En 2009 a été lancé, en France, un programme copiloté par la Mission prospective du ministère de l’Écologie et l’ADEME : « Repenser les villes dans une société postcarbone », dont les travaux sont encore en cours en vue d’un rapport final prévu en 2013. L’idée d’une transition vers une société « postcarbone » comprend quatre objectifs principaux : une division par quatre d’ici à 2050, par rapport à 1990, des émissions de gaz à effet de serre, une quasi-autonomie à l’égard des énergies carbonées (pétrole, gaz, charbon), une capacité suffisante d’adaptation aux changements climatiques et, enfin, une attention plus grande aux situations de précarité énergétique.
Dans le cadre du dossier que Futuribles consacre, ce mois-ci, à ce programme, Cédric Allio, Henri Waisman et Jean-Charles Hourcade présentent l’étude menée par le CIRED sur le rôle des actions locales dans la transition postcarbone. Les auteurs rappellent dans un premier temps le poids du secteur des transports dans l’augmentation de la demande d’énergie et les émissions de gaz à effet de serre, et la nécessité de susciter des changements importants dans les comportements de mobilité des individus en vue d’une transition postcarbone d’ampleur substantielle. Pour ce faire, les actions locales pourraient être décisives, en raison de leur rôle dans l’organisation spatiale des territoires, et compléter les mesures mises en place à des échelles plus globales (nationale, européenne ou mondiale). C’est ce que permet d’apprécier le modèle développé par le CIRED pour étudier les interactions entre échelles locale et globale dans la transition postcarbone, et fournir un cadrage macroéconomique des scénarios envisagés dans le programme « Villes postcarbone ». Les auteurs proposent ainsi une comparaison de deux scénarios permettant une baisse de moitié des émissions de gaz à effet de serre d’ici 2050, mais selon des trajectoires de transition très différentes, et montrent comment s’articulent, dans ces deux contextes, les actions locales et globales, et combien cette articulation et un bon échelonnement temporel des actions sont décisifs pour mener à bien une transition postcarbone.
En ligne : http://www.futuribles.com [article] Les actions locales dans la transition postcarbone. Une simulation des effets macroéconomiques [texte imprimé] / HOURCADE Jean-Charles, Auteur . - 2013 . - pp. 61-76.
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in Futuribles > 392 (janvier-février 2013) . - pp. 61-76Tags : Modèles économétriques|Villes|Développement durable Résumé : En 2009 a été lancé, en France, un programme copiloté par la Mission prospective du ministère de l’Écologie et l’ADEME : « Repenser les villes dans une société postcarbone », dont les travaux sont encore en cours en vue d’un rapport final prévu en 2013. L’idée d’une transition vers une société « postcarbone » comprend quatre objectifs principaux : une division par quatre d’ici à 2050, par rapport à 1990, des émissions de gaz à effet de serre, une quasi-autonomie à l’égard des énergies carbonées (pétrole, gaz, charbon), une capacité suffisante d’adaptation aux changements climatiques et, enfin, une attention plus grande aux situations de précarité énergétique.
Dans le cadre du dossier que Futuribles consacre, ce mois-ci, à ce programme, Cédric Allio, Henri Waisman et Jean-Charles Hourcade présentent l’étude menée par le CIRED sur le rôle des actions locales dans la transition postcarbone. Les auteurs rappellent dans un premier temps le poids du secteur des transports dans l’augmentation de la demande d’énergie et les émissions de gaz à effet de serre, et la nécessité de susciter des changements importants dans les comportements de mobilité des individus en vue d’une transition postcarbone d’ampleur substantielle. Pour ce faire, les actions locales pourraient être décisives, en raison de leur rôle dans l’organisation spatiale des territoires, et compléter les mesures mises en place à des échelles plus globales (nationale, européenne ou mondiale). C’est ce que permet d’apprécier le modèle développé par le CIRED pour étudier les interactions entre échelles locale et globale dans la transition postcarbone, et fournir un cadrage macroéconomique des scénarios envisagés dans le programme « Villes postcarbone ». Les auteurs proposent ainsi une comparaison de deux scénarios permettant une baisse de moitié des émissions de gaz à effet de serre d’ici 2050, mais selon des trajectoires de transition très différentes, et montrent comment s’articulent, dans ces deux contextes, les actions locales et globales, et combien cette articulation et un bon échelonnement temporel des actions sont décisifs pour mener à bien une transition postcarbone.
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Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité P1633 HUG Periodique HEM Casa Documentaires Disponible L' âge de la connaissance / Idriss Jamil Aberkane
Titre : L' âge de la connaissance : traité d'écologie positive Type de document : texte imprimé Auteurs : Idriss Jamil Aberkane (1986-..), Auteur Editeur : Paris : Robert Laffont Année de publication : DL 2018 Collection : Réponses Importance : 1 vol.(363 p., dont 8 p. de bd) Présentation : ill. en noir et en coul., couv. ill. en coul Format : 24 cm ISBN/ISSN/EAN : 978-2-221-20203-6 Prix : 21 EUR Langues : Français (fre) Tags : Économie du savoir Développement durable Résumé : La 4è de couverture indique :"Comme la connerie, notre connaissance est infinie. Tout le contraire de notre système actuel fondé qur les hydrocarbures, dont la source finira inexorablement par se tarir. Ainsi, l'économie de la connaissance nous assure un développement durable. Une révolution! Une économie qui ne ressemble pas à l'économie. Du moins pas à celle, vorace, que le monde a développée depuis la révolution industrielle. Mieux, elle en défie toutes les lois : sa matière première est inépuisable, elle favorise le partage, et son pouvoir d'achat dépend de chacun d'entre nous. Elle trouve déjà des prolongements majeurs grâce au biomimétisme : cet oeuf d'oiseau qui inspire les satellites, cette peau de requin qui a changé l'industrie aéronautique, ce coquillage qui a bouleversé notre regard sur le cerveau, etc. C'est donc un enjeu capital pour l'écologie, notre gestion des déchets ou encore la lutte contre la pauvreté...Il doit aujourd'hui guider toutes nos politiques." L' âge de la connaissance : traité d'écologie positive [texte imprimé] / Idriss Jamil Aberkane (1986-..), Auteur . - Robert Laffont, DL 2018 . - 1 vol.(363 p., dont 8 p. de bd) : ill. en noir et en coul., couv. ill. en coul ; 24 cm. - (Réponses) .
ISBN : 978-2-221-20203-6 : 21 EUR
Langues : Français (fre)
Tags : Économie du savoir Développement durable Résumé : La 4è de couverture indique :"Comme la connerie, notre connaissance est infinie. Tout le contraire de notre système actuel fondé qur les hydrocarbures, dont la source finira inexorablement par se tarir. Ainsi, l'économie de la connaissance nous assure un développement durable. Une révolution! Une économie qui ne ressemble pas à l'économie. Du moins pas à celle, vorace, que le monde a développée depuis la révolution industrielle. Mieux, elle en défie toutes les lois : sa matière première est inépuisable, elle favorise le partage, et son pouvoir d'achat dépend de chacun d'entre nous. Elle trouve déjà des prolongements majeurs grâce au biomimétisme : cet oeuf d'oiseau qui inspire les satellites, cette peau de requin qui a changé l'industrie aéronautique, ce coquillage qui a bouleversé notre regard sur le cerveau, etc. C'est donc un enjeu capital pour l'écologie, notre gestion des déchets ou encore la lutte contre la pauvreté...Il doit aujourd'hui guider toutes nos politiques." Réservation
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Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 4854 338.470 / ABE Livre HEM Casa Documentaires Disponible 4855 338.470 / ABE Livre HEM Casa Documentaires Disponible F623 338.470 / ABE Livre HEM Fes Documentaires Disponible F624 338.470 / ABE Livre HEM Fes Documentaires Sorti jusqu'au 21/05/2019 M1076 338.470 / ABE Livre HEM Marrakech Documentaires Disponible M1075 338.470 / ABE Livre HEM Marrakech Documentaires Disponible R2516 338.470 / ABE Livre HEM Rabat Documentaires Disponible R2517 338.470 / ABE Livre HEM Rabat Documentaires Disponible T659 338.470 / ABE Livre HEM Tanger Documentaires Disponible T660 338.470 / ABE Livre HEM Tanger Documentaires Disponible Consommation et développement durable : vers une segmentation des sensibilités et des comportements / Anne-Sophie Binninger in La Revue des Sciences de Gestion, 229 (janvier-février 2008)
[article]
Titre : Consommation et développement durable : vers une segmentation des sensibilités et des comportements Type de document : texte imprimé Auteurs : Anne-Sophie Binninger, Auteur Année de publication : 2008 Article en page(s) : p. 51 Langues : Français (fre)
in La Revue des Sciences de Gestion > 229 (janvier-février 2008) . - p. 51Catégories : MARKETING Tags : Développement durable, comportement du consommateur, consommation socialement responsable, éthique. Résumé : Cet article propose de mieux comprendre la diffusion du concept de développement durable chez les consommateurs et sa traduction en matière de comportements. Partant d'une analyse des courants de littérature sur les nouvelles formes de consommation, il repose sur une recherche qualitative organisée dans la sphère familiale, puis quantitative dans un contexte plus classique de questionnaires en face-à -face. Il met en lumière plusieurs dimensions qui qualifient plus précisément le citoyen-consommateur "sensibilisé au développement durable". Il propose aussi de mesurer la nature des relations existant entre cette sensibilité et des pratiques comportementales citoyennes ou plus marchandes ainsi recensées. Les apports de ces analyses montrent que pour mieux accompagner ou anticiper les évolutions des comportements, des approches plus segmentées des consommateurs s'avèrent nécessaires. Elles pourront s'appuyer sur les représentations du concept de développement durable ainsi que sur les orientations d'action qui en découlent. Mots-clés : Développement durable, comportement du consommateur, consommation socialement responsable, éthique. [article] Consommation et développement durable : vers une segmentation des sensibilités et des comportements [texte imprimé] / Anne-Sophie Binninger, Auteur . - 2008 . - p. 51.
Langues : Français (fre)
in La Revue des Sciences de Gestion > 229 (janvier-février 2008) . - p. 51Catégories : MARKETING Tags : Développement durable, comportement du consommateur, consommation socialement responsable, éthique. Résumé : Cet article propose de mieux comprendre la diffusion du concept de développement durable chez les consommateurs et sa traduction en matière de comportements. Partant d'une analyse des courants de littérature sur les nouvelles formes de consommation, il repose sur une recherche qualitative organisée dans la sphère familiale, puis quantitative dans un contexte plus classique de questionnaires en face-à -face. Il met en lumière plusieurs dimensions qui qualifient plus précisément le citoyen-consommateur "sensibilisé au développement durable". Il propose aussi de mesurer la nature des relations existant entre cette sensibilité et des pratiques comportementales citoyennes ou plus marchandes ainsi recensées. Les apports de ces analyses montrent que pour mieux accompagner ou anticiper les évolutions des comportements, des approches plus segmentées des consommateurs s'avèrent nécessaires. Elles pourront s'appuyer sur les représentations du concept de développement durable ainsi que sur les orientations d'action qui en découlent. Mots-clés : Développement durable, comportement du consommateur, consommation socialement responsable, éthique. Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité p1288 PHI Periodique HEM Casa Documentaires Exclu du prêt Croissance verte : des intentions aux actions / PERTHUIS Christian in Futuribles, 392 (janvier-février 2013)
[article]
Titre : Croissance verte : des intentions aux actions Type de document : texte imprimé Auteurs : PERTHUIS Christian, Auteur Année de publication : 2013 Article en page(s) : pp. 103-120 Langues : Français (fre)
in Futuribles > 392 (janvier-février 2013) . - pp. 103-120Tags : Croissance économique|Développement durable|Théorie économique Résumé : Dans le contexte de plus en plus pressant de changement climatique, d’épuisement des ressources énergétiques fossiles et de crise économique durablement installée, un concept fait peu à peu son chemin, celui de la « croissance verte », visant à promouvoir un développement économique respectueux de l’environnement. « Verdir » la croissance économique, c’est développer les éco-activités, investir dans les énergies renouvelables, dans l’amélioration du rendement d’utilisation de l’énergie et des matières, etc. Mais de l’affichage politique de telles ambitions à leur concrétisation, il y a un pas qui, pour l’heure, n’a guère été franchi de manière convaincante, en particulier en Europe. Pour cela, encore faudrait-il avoir une vision solide du modèle économique pertinent en matière de « croissance verte ».
Pierre-André Jouvet et Christian de Perthuis se sont penchés sur le sujet et présentent ici leur analyse économique de la croissance verte. Ils soulignent, dans un premier temps, que nous sommes passés d’un « mur de la rareté » des ressources à un « mur environnemental », autrement dit d’une limite physique liée à un stock à une limite liée à l’altération des capacités humaines de régulation du système naturel ; de fait, il devient indispensable d’intégrer le capital naturel dans les facteurs de production (au même titre que le capital et le travail). Cela implique alors que l’on peut investir afin d’améliorer ce facteur de production ; cela implique aussi qu’il entre en ligne de compte dans la répartition des richesses entre facteurs de production.
Or, selon les auteurs, la plupart des actions mises en œuvre au nom de la croissance verte sont, pour le moment, de complaisance et n’introduisent pas véritablement l’environnement dans le système productif ; elles ont donc peu de chances d’insuffler une dynamique économique nouvelle. Le véritable changement ne peut venir que de la rémunération du capital naturel par réaffectation des revenus à la fois du travail et du capital, au prorata de leurs contributions initiales à la pollution environnementale. Dans cette optique, les auteurs proposent des pistes d’action (élargissement de la notion d’efficacité, transition écologique, intégration de l’équité dans les choix écologiques…) et présentent les leviers de financement mobilisables en faveur d’une telle croissance verte.
En ligne : http://www.futuribles.com [article] Croissance verte : des intentions aux actions [texte imprimé] / PERTHUIS Christian, Auteur . - 2013 . - pp. 103-120.
Langues : Français (fre)
in Futuribles > 392 (janvier-février 2013) . - pp. 103-120Tags : Croissance économique|Développement durable|Théorie économique Résumé : Dans le contexte de plus en plus pressant de changement climatique, d’épuisement des ressources énergétiques fossiles et de crise économique durablement installée, un concept fait peu à peu son chemin, celui de la « croissance verte », visant à promouvoir un développement économique respectueux de l’environnement. « Verdir » la croissance économique, c’est développer les éco-activités, investir dans les énergies renouvelables, dans l’amélioration du rendement d’utilisation de l’énergie et des matières, etc. Mais de l’affichage politique de telles ambitions à leur concrétisation, il y a un pas qui, pour l’heure, n’a guère été franchi de manière convaincante, en particulier en Europe. Pour cela, encore faudrait-il avoir une vision solide du modèle économique pertinent en matière de « croissance verte ».
Pierre-André Jouvet et Christian de Perthuis se sont penchés sur le sujet et présentent ici leur analyse économique de la croissance verte. Ils soulignent, dans un premier temps, que nous sommes passés d’un « mur de la rareté » des ressources à un « mur environnemental », autrement dit d’une limite physique liée à un stock à une limite liée à l’altération des capacités humaines de régulation du système naturel ; de fait, il devient indispensable d’intégrer le capital naturel dans les facteurs de production (au même titre que le capital et le travail). Cela implique alors que l’on peut investir afin d’améliorer ce facteur de production ; cela implique aussi qu’il entre en ligne de compte dans la répartition des richesses entre facteurs de production.
Or, selon les auteurs, la plupart des actions mises en œuvre au nom de la croissance verte sont, pour le moment, de complaisance et n’introduisent pas véritablement l’environnement dans le système productif ; elles ont donc peu de chances d’insuffler une dynamique économique nouvelle. Le véritable changement ne peut venir que de la rémunération du capital naturel par réaffectation des revenus à la fois du travail et du capital, au prorata de leurs contributions initiales à la pollution environnementale. Dans cette optique, les auteurs proposent des pistes d’action (élargissement de la notion d’efficacité, transition écologique, intégration de l’équité dans les choix écologiques…) et présentent les leviers de financement mobilisables en faveur d’une telle croissance verte.
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Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité P1633 HUG Periodique HEM Casa Documentaires Disponible Débat démocratique et développement durable. Avis n° 2003-11 (mai 2003) de la CFDD in Futuribles, 289 (septembre 2003)
[article]
Titre : Débat démocratique et développement durable. Avis n° 2003-11 (mai 2003) de la CFDD Type de document : texte imprimé Année de publication : 2003 Article en page(s) : pp. 39-44 Langues : Français (fre)
in Futuribles > 289 (septembre 2003) . - pp. 39-44Tags : Démocratie|Politique gouvernementale|France|Développement durable Résumé : " Contrairement à d'autres comités, nous ne sommes pas un groupe d'experts dont le rôle serait de participer à la politique gouvernementale mais nous constituons un laboratoire d'idées indépendant et attentif, au service du développement durable et de la démocratie. Constatant la mise en cause de cette autonomie, de notre liberté de réflexion et d'action, la plupart des membres actifs de la CFDD considèrent aussi qu'ils n'ont pas d'autre choix que de mettre fin à leur mandat. " C'est en ces termes que Jacques Testart, dans une lettre de mai 2003 au Premier ministre français Jean-Pierre Raffarin, explique sa démission de la présidence de la CFDD, ainsi que celle de la majorité de ses membres actifs.
Comment donc cette autonomie, cette liberté de réflexion et d'action furent-elles mises en cause ? C'est ce que relate cet avis accablant, qui nous montre à quel point les débats nécessaires à toute politique de développement durable sont systématiquement escamotés. À sa lecture, on constate qu'il est plus que jamais difficile, en France, de promouvoir des lieux indépendants de débat démocratique sur les questions essentielles qui engagent l'avenir, alors même que " le développement durable n'a de sens que par l'invention de formes nouvelles de démocratie ".[article] Débat démocratique et développement durable. Avis n° 2003-11 (mai 2003) de la CFDD [texte imprimé] . - 2003 . - pp. 39-44.
Langues : Français (fre)
in Futuribles > 289 (septembre 2003) . - pp. 39-44Tags : Démocratie|Politique gouvernementale|France|Développement durable Résumé : " Contrairement à d'autres comités, nous ne sommes pas un groupe d'experts dont le rôle serait de participer à la politique gouvernementale mais nous constituons un laboratoire d'idées indépendant et attentif, au service du développement durable et de la démocratie. Constatant la mise en cause de cette autonomie, de notre liberté de réflexion et d'action, la plupart des membres actifs de la CFDD considèrent aussi qu'ils n'ont pas d'autre choix que de mettre fin à leur mandat. " C'est en ces termes que Jacques Testart, dans une lettre de mai 2003 au Premier ministre français Jean-Pierre Raffarin, explique sa démission de la présidence de la CFDD, ainsi que celle de la majorité de ses membres actifs.
Comment donc cette autonomie, cette liberté de réflexion et d'action furent-elles mises en cause ? C'est ce que relate cet avis accablant, qui nous montre à quel point les débats nécessaires à toute politique de développement durable sont systématiquement escamotés. À sa lecture, on constate qu'il est plus que jamais difficile, en France, de promouvoir des lieux indépendants de débat démocratique sur les questions essentielles qui engagent l'avenir, alors même que " le développement durable n'a de sens que par l'invention de formes nouvelles de démocratie ".Réservation
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Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité P131 HUG Periodique HEM Casa Documentaires Disponible Le débat sur la taxe carbone. Les économistes au chevet du climat / PERTHUIS Christian in Futuribles, 356 (octobre 2009)
[article]
Titre : Le débat sur la taxe carbone. Les économistes au chevet du climat Type de document : texte imprimé Auteurs : PERTHUIS Christian, Auteur Année de publication : 2009 Article en page(s) : pp. 5-12 Langues : Français (fre)
in Futuribles > 356 (octobre 2009) . - pp. 5-12Tags : France|Développement durable|Politique fiscale|Climat Résumé : Dans la lignée du Grenelle de l’environnement tenu en 2007, dont la concrétisation politique (les « lois Grenelle ») se poursuit, un débat est en cours en France concernant la mise en place possible d’une contribution « climat et énergie ». En effet, la France a pris l’engagement de diviser par quatre ses émissions de gaz à effet de serre entre 1990 et 2050, et l’instauration d’une telle contribution — plus couramment qualifiée de « taxe carbone » — fait partie de la palette d’instruments dont elle dispose pour y parvenir.
Christian de Perthuis, qui connaît parfaitement ces questions, présente ici ce débat, qui a pris une tournure nouvelle avec la tenue, en juillet 2009, d’une conférence d’experts suivie d’une table ronde « de haut niveau » présidée par Michel Rocard, qui en a tiré un rapport assez complet sur les tenants et aboutissants d’une contribution climat et énergie en France. Après un rappel de la place de la taxe carbone dans le contexte des régulations internationales (notamment par rapport au marché des droits d’émission de carbone), il montre quelles sont les possibilités en la matière : assiette et taux d’une telle contribution, conditions d’acceptabilité sociale… L’objectif, rappelle l’auteur, est bien de mettre en place une contribution visant à infléchir les comportements des citoyens, de telle sorte qu’à long terme, la taxe ne se justifie plus ; et à l’échelle internationale, une telle taxe carbone ne serait en rien exclusive d’un système de marché de permis d’émission. En somme, à quelques semaines de la conférence de Copenhague, destinée à donner une suite au protocole de Kyoto de lutte contre le changement climatique, le débat bat son plein.
En ligne : http://www.futuribles.com [article] Le débat sur la taxe carbone. Les économistes au chevet du climat [texte imprimé] / PERTHUIS Christian, Auteur . - 2009 . - pp. 5-12.
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in Futuribles > 356 (octobre 2009) . - pp. 5-12Tags : France|Développement durable|Politique fiscale|Climat Résumé : Dans la lignée du Grenelle de l’environnement tenu en 2007, dont la concrétisation politique (les « lois Grenelle ») se poursuit, un débat est en cours en France concernant la mise en place possible d’une contribution « climat et énergie ». En effet, la France a pris l’engagement de diviser par quatre ses émissions de gaz à effet de serre entre 1990 et 2050, et l’instauration d’une telle contribution — plus couramment qualifiée de « taxe carbone » — fait partie de la palette d’instruments dont elle dispose pour y parvenir.
Christian de Perthuis, qui connaît parfaitement ces questions, présente ici ce débat, qui a pris une tournure nouvelle avec la tenue, en juillet 2009, d’une conférence d’experts suivie d’une table ronde « de haut niveau » présidée par Michel Rocard, qui en a tiré un rapport assez complet sur les tenants et aboutissants d’une contribution climat et énergie en France. Après un rappel de la place de la taxe carbone dans le contexte des régulations internationales (notamment par rapport au marché des droits d’émission de carbone), il montre quelles sont les possibilités en la matière : assiette et taux d’une telle contribution, conditions d’acceptabilité sociale… L’objectif, rappelle l’auteur, est bien de mettre en place une contribution visant à infléchir les comportements des citoyens, de telle sorte qu’à long terme, la taxe ne se justifie plus ; et à l’échelle internationale, une telle taxe carbone ne serait en rien exclusive d’un système de marché de permis d’émission. En somme, à quelques semaines de la conférence de Copenhague, destinée à donner une suite au protocole de Kyoto de lutte contre le changement climatique, le débat bat son plein.
En ligne : http://www.futuribles.com Réservation
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Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité P1409 HUG Periodique HEM Casa Documentaires Disponible
[article]
Titre : Développement durable et démocratie Titre original : Le nécessaire renouvellement des institutions publiques Type de document : texte imprimé Auteurs : BOUTAUD Aurélien, Auteur Année de publication : 2007 Article en page(s) : pp. 5-14 Langues : Français (fre)
in Futuribles > 329 (avril 2007) . - pp. 5-14Tags : Démocratie|État|Développement durable Résumé : Aurélien Boutaud s'inquiète ici de l'incapacité des élus à prendre réellement en compte les enjeux écologiques et tente de l'expliquer. Si, en effet, tout le monde se réfère à tort et à travers au " développement durable ", aucun des élus (ou des candidats à l'élection présidentielle) n'a sans doute vraiment pris conscience que ledit développement durable remettait fondamentalement en cause le concept même d'intérêt général qui, au fil du temps, s'est vu assimilé " à l'ensemble des intérêts particuliers qui se trouvent communs au plus grand nombre de votants ".
Or, justement, le développement durable, outre qu'il implique de revenir au concept médiéval de " bien commun ", implique que celui-ci soit appréhendé dans une perspective à long terme pour tenir compte des générations à venir et dans une perspective planétaire débordant largement l'espace étroit de l'État-nation. Et personne, aujourd'hui, dans les démocraties dites représentatives, ne tient compte de l'intérêt ni de l'humanité tout entière, ni a fortiori des générations futures. Ainsi, les élus (ou candidats à l'élection présidentielle) ne prennent en considération que les électeurs actuels qui, fondamentalement, demeurent indifférents aux grandes questions afférentes à la durabilité de l'écosystème.
Ayant ainsi dressé un sinistre mais bien réaliste constat, l'auteur explore de quelle manière, au travers de quelles instances et procédures nouvelles de consultation, l'intérêt collectif à long terme et élargi à la planète pourrait être mieux pris en considération. En attendant l'avènement d'une hypothétique démocratie planétaire, l'auteur examine quelle peut être la contribution des conférences de citoyens et quelle forme pourrait prendre le principe de subsidiarité interactive.
En bref, cet article pose une question majeure : celle de la capacité des régimes démocratiques - là où ils existent - à prendre en compte les intérêts de toutes les parties prenantes qui n'ont pas la chance de pouvoir participer aux élections.En ligne : http://www.futuribles.com [article] Développement durable et démocratie = Le nécessaire renouvellement des institutions publiques [texte imprimé] / BOUTAUD Aurélien, Auteur . - 2007 . - pp. 5-14.
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in Futuribles > 329 (avril 2007) . - pp. 5-14Tags : Démocratie|État|Développement durable Résumé : Aurélien Boutaud s'inquiète ici de l'incapacité des élus à prendre réellement en compte les enjeux écologiques et tente de l'expliquer. Si, en effet, tout le monde se réfère à tort et à travers au " développement durable ", aucun des élus (ou des candidats à l'élection présidentielle) n'a sans doute vraiment pris conscience que ledit développement durable remettait fondamentalement en cause le concept même d'intérêt général qui, au fil du temps, s'est vu assimilé " à l'ensemble des intérêts particuliers qui se trouvent communs au plus grand nombre de votants ".
Or, justement, le développement durable, outre qu'il implique de revenir au concept médiéval de " bien commun ", implique que celui-ci soit appréhendé dans une perspective à long terme pour tenir compte des générations à venir et dans une perspective planétaire débordant largement l'espace étroit de l'État-nation. Et personne, aujourd'hui, dans les démocraties dites représentatives, ne tient compte de l'intérêt ni de l'humanité tout entière, ni a fortiori des générations futures. Ainsi, les élus (ou candidats à l'élection présidentielle) ne prennent en considération que les électeurs actuels qui, fondamentalement, demeurent indifférents aux grandes questions afférentes à la durabilité de l'écosystème.
Ayant ainsi dressé un sinistre mais bien réaliste constat, l'auteur explore de quelle manière, au travers de quelles instances et procédures nouvelles de consultation, l'intérêt collectif à long terme et élargi à la planète pourrait être mieux pris en considération. En attendant l'avènement d'une hypothétique démocratie planétaire, l'auteur examine quelle peut être la contribution des conférences de citoyens et quelle forme pourrait prendre le principe de subsidiarité interactive.
En bref, cet article pose une question majeure : celle de la capacité des régimes démocratiques - là où ils existent - à prendre en compte les intérêts de toutes les parties prenantes qui n'ont pas la chance de pouvoir participer aux élections.En ligne : http://www.futuribles.com Réservation
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