[article] 
inLa Revue des Sciences de Gestion > 239-240 (septembre-décembre 2009) . - p. 115

Titre :	Éthique et gouvernance : un regard criminologique
Type de document :	texte imprimé
Auteurs :	Daniel Pelletier, Auteur
Année de publication :	2009
Article en page(s) :	p. 115
Langues :	Français (fre)
Résumé :	Résumé Peut-on mettre à contribution certains éléments d’analyse criminologique afin de jeter un regard différent sur l’éthique gouvernementale ? Au plan fonctionnel, l’éthique gouvernementale n’est qu’une autre forme de norme sociale pouvant donner lieu à des comportements marqués par la conformité ou la transgression. À ce titre, elle constitue un objet pertinent d’analyse criminologique. La documentation recensée à cet égard indique que le passage à l’acte dans le cas de transgressions manifestes peut être expliqué par plusieurs construits criminologiques mais que leur gestion formelle, informelle, pénale ou administrative obéit à des impératifs politiques incontournables. Mots clés : criminologie, éthique, gouvernance.

[article] Ã‰thique et gouvernance : un regard criminologique [texte imprimé] / Daniel Pelletier, Auteur . - 2009 . - p. 115.
Langues : Français (fre)
inLa Revue des Sciences de Gestion > 239-240 (septembre-décembre 2009) . - p. 115

Résumé :

Résumé Peut-on mettre à contribution certains éléments d’analyse criminologique afin de jeter un regard différent sur l’éthique gouvernementale ? Au plan fonctionnel, l’éthique gouvernementale n’est qu’une autre forme de norme sociale pouvant donner lieu à des comportements marqués par la conformité ou la transgression. À ce titre, elle constitue un objet pertinent d’analyse criminologique. La documentation recensée à cet égard indique que le passage à l’acte dans le cas de transgressions manifestes peut être expliqué par plusieurs construits criminologiques mais que leur gestion formelle, informelle, pénale ou administrative obéit à des impératifs politiques incontournables. Mots clés : criminologie, éthique, gouvernance.

[article] 
inLa Revue des Sciences de Gestion > 239-240 (septembre-décembre 2009) . - p. 107

Titre :	Intégration : Facteur de développement durable
Type de document :	texte imprimé
Auteurs :	Serge Raynal, Auteur
Année de publication :	2009
Article en page(s) :	p. 107
Langues :	Français (fre)
Résumé :	Pour un pays, dans un climat de concurrence internationale accrue et dans un contexte de mondialisation, il est capital d’anticiper l’impact de l’ensemble des cultures sur les stratégies à conduire pour gérer au mieux l’économie, le climat social et la vie au quotidien pour mener au mieux les destinées d’une nation. En effet, les cultures n’influencent pas seulement nos comportements individuels mais surtout les conceptions d’une nation, de sa stratégie, de sa gestion, du droit, de la finance… C’est pourquoi dans le nouveau cadre multiculturel de la mondialisation nous avons fait un parallèle entre la composition d’un propergol composite et celle d’un pays pour mieux comprendre les enjeux et le fonctionnement d’une nation pour la propulser dans le xxie siècle. Mots clés : Intégration, culture, mondialisation, organisation, stratégies, alchimie.

[article] Intégration : Facteur de développement durable [texte imprimé] / Serge Raynal, Auteur . - 2009 . - p. 107.
Langues : Français (fre)
inLa Revue des Sciences de Gestion > 239-240 (septembre-décembre 2009) . - p. 107

Résumé :

Pour un pays, dans un climat de concurrence internationale accrue et dans un contexte de mondialisation, il est capital d’anticiper l’impact de l’ensemble des cultures sur les stratégies à conduire pour gérer au mieux l’économie, le climat social et la vie au quotidien pour mener au mieux les destinées d’une nation. En effet, les cultures n’influencent pas seulement nos comportements individuels mais surtout les conceptions d’une nation, de sa stratégie, de sa gestion, du droit, de la finance… C’est pourquoi dans le nouveau cadre multiculturel de la mondialisation nous avons fait un parallèle entre la composition d’un propergol composite et celle d’un pays pour mieux comprendre les enjeux et le fonctionnement d’une nation pour la propulser dans le xxie siècle. Mots clés : Intégration, culture, mondialisation, organisation, stratégies, alchimie.

[article] 
inLa Revue des Sciences de Gestion > 239-240 (septembre-décembre 2009) . - p. 97

Titre :	Kairos Management : Nouveaux outils pour le management des opportunités et un développement durable
Type de document :	texte imprimé
Auteurs :	Alain Le Méhauté, Auteur
Année de publication :	2009
Article en page(s) :	p. 97
Langues :	Français (fre)
Résumé :	Cet article se propose d’analyser les problématiques soulevées par le concept de projet dans une économie apprenante. Il est montré qu’une telle économie est caractérisée par un substrat -sur lequel se greffe l’organisation socialequ’il faut qualifier d’hyperbolique (voir glossaire), c’est-à-dire constitué d’un ensemble de singularités. Le caractère égotiste de notre société est une expression de cette caractéristique nouvelle. Cette situation modifie de manière radicale les pratiques de management par projet car elle introduit un facteur structurel d’incertitudes et de radicalité de l’innovation que tendent à gommer les stratégies « projet » inscrites dans des démarches habituellement rationalisantes. L’ensemble de l’analyse conduit à modéliser l’organisation apprenante comme une structure neuronale particulière par son instabilité. Ce statut conduit à se poser de multiples questions sur la viabilité sociale d’un tel type de projet tant la maturité imposée aux acteurs reste hypothétique. Mots-clés : organisation, projet, innovation, management.

[article] Kairos Management : Nouveaux outils pour le management des opportunités et un développement durable [texte imprimé] / Alain Le Méhauté, Auteur . - 2009 . - p. 97.
Langues : Français (fre)
inLa Revue des Sciences de Gestion > 239-240 (septembre-décembre 2009) . - p. 97

Résumé :

Cet article se propose d’analyser les problématiques soulevées par le concept de projet dans une économie apprenante. Il est montré qu’une telle économie est caractérisée par un substrat -sur lequel se greffe l’organisation socialequ’il faut qualifier d’hyperbolique (voir glossaire), c’est-à-dire constitué d’un ensemble de singularités. Le caractère égotiste de notre société est une expression de cette caractéristique nouvelle. Cette situation modifie de manière radicale les pratiques de management par projet car elle introduit un facteur structurel d’incertitudes et de radicalité de l’innovation que tendent à gommer les stratégies « projet » inscrites dans des démarches habituellement rationalisantes. L’ensemble de l’analyse conduit à modéliser l’organisation apprenante comme une structure neuronale particulière par son instabilité. Ce statut conduit à se poser de multiples questions sur la viabilité sociale d’un tel type de projet tant la maturité imposée aux acteurs reste hypothétique. Mots-clés : organisation, projet, innovation, management.

[article] 
inLa Revue des Sciences de Gestion > 239-240 (septembre-décembre 2009) . - p. 87

Titre :	L’altruisme et le modèle coopératif
Type de document :	texte imprimé
Auteurs :	Michelle Harbour, Auteur
Année de publication :	2009
Article en page(s) :	p. 87
Langues :	Français (fre)
Résumé :	L’altruisme est un comportement volontaire ayant pour but d’aider différentes parties prenantes dans un contexte organisationnel. Considéré comme un comportement prosocial, l’altruisme retient l’attention des praticiens et des chercheurs préoccupés du bien-être des parties prenantes de l’organisation. L’altruisme a été essentiellement étudié par le biais d’un niveau d’analyse centré sur l’individu ce qui a permis de cerner les trois grands déterminants qui lui sont associés ; une culture collectiviste, la réciprocité entre les acteurs et le sens des responsabilités. Il a rarement fait l’objet d’études dont le niveau d’analyse est l’entreprise. Cet article, par une exploration théorique, a pour objectif de voir en quoi la structure coopérative peut avoir un impact sur l’altruisme. Grâce à la dualité de la structure telle que proposée par A. Giddens (1984), nous présentons un modèle qui met en relief que le modèle coopératif met en place des conditions structurelles favorisant l’apparition de ce comportement civique organisationnel. Mots clés : Altruisme, coopération, structuralisme.

[article] L’altruisme et le modèle coopératif [texte imprimé] / Michelle Harbour, Auteur . - 2009 . - p. 87.
Langues : Français (fre)
inLa Revue des Sciences de Gestion > 239-240 (septembre-décembre 2009) . - p. 87

Résumé :

L’altruisme est un comportement volontaire ayant pour but d’aider différentes parties prenantes dans un contexte organisationnel. Considéré comme un comportement prosocial, l’altruisme retient l’attention des praticiens et des chercheurs préoccupés du bien-être des parties prenantes de l’organisation. L’altruisme a été essentiellement étudié par le biais d’un niveau d’analyse centré sur l’individu ce qui a permis de cerner les trois grands déterminants qui lui sont associés ; une culture collectiviste, la réciprocité entre les acteurs et le sens des responsabilités. Il a rarement fait l’objet d’études dont le niveau d’analyse est l’entreprise. Cet article, par une exploration théorique, a pour objectif de voir en quoi la structure coopérative peut avoir un impact sur l’altruisme. Grâce à la dualité de la structure telle que proposée par A. Giddens (1984), nous présentons un modèle qui met en relief que le modèle coopératif met en place des conditions structurelles favorisant l’apparition de ce comportement civique organisationnel. Mots clés : Altruisme, coopération, structuralisme.

[article] 
inLa Revue des Sciences de Gestion > 239-240 (septembre-décembre 2009) . - p. 79

Titre :	L’engagement de Postes Canada dans la RSE, Vecteur d’hybridation identitaire ?
Type de document :	texte imprimé
Auteurs :	Michèle Charbonneau, Auteur
Année de publication :	2009
Article en page(s) :	p. 79
Langues :	Français (fre)
Résumé :	L’objectif de cet article est de comprendre comment l’entreprise publique se saisit du concept de responsabilité sociale de l’entreprise (RSE) à l’ère de la nouvelle gestion publique (NGP) marquée par un intérêt croissant pour la gouvernance. À partir d’une analyse du discours de Postes Canada sur sa responsabilité sociale, cet article révèle le cas d’une entreprise publique qui se saisit paradoxalement de la RSE pour renforcer la logique de la NGP, tout en valorisant, dans certaines circonstances, les préceptes bureaucratiques. L’engagement dans la RSE pourrait dès lors ouvrir la voie à une nouvelle forme d’hybridation des identités publique et commerciale de l’entreprise publique opérant ce qui pourrait être vécu comme une montée en exigences à l’endroit tant de l’organisation que de ses parties prenantes. Mots Clés : Responsabilité sociale, entreprise publique, nouvelle gestion publique, gouvernance, Postes Canada.

[article] L’engagement de Postes Canada dans la RSE, Vecteur d’hybridation identitaire ? [texte imprimé] / Michèle Charbonneau, Auteur . - 2009 . - p. 79.
Langues : Français (fre)
inLa Revue des Sciences de Gestion > 239-240 (septembre-décembre 2009) . - p. 79

Résumé :

L’objectif de cet article est de comprendre comment l’entreprise publique se saisit du concept de responsabilité sociale de l’entreprise (RSE) à l’ère de la nouvelle gestion publique (NGP) marquée par un intérêt croissant pour la gouvernance. À partir d’une analyse du discours de Postes Canada sur sa responsabilité sociale, cet article révèle le cas d’une entreprise publique qui se saisit paradoxalement de la RSE pour renforcer la logique de la NGP, tout en valorisant, dans certaines circonstances, les préceptes bureaucratiques. L’engagement dans la RSE pourrait dès lors ouvrir la voie à une nouvelle forme d’hybridation des identités publique et commerciale de l’entreprise publique opérant ce qui pourrait être vécu comme une montée en exigences à l’endroit tant de l’organisation que de ses parties prenantes. Mots Clés : Responsabilité sociale, entreprise publique, nouvelle gestion publique, gouvernance, Postes Canada.

[article] 
inLa Revue des Sciences de Gestion > 239-240 (septembre-décembre 2009) . - p. 69

Titre :	Gouvernance et développement : Les approches législatives canadienne et québécoise
Type de document :	texte imprimé
Auteurs :	Jeanne Simard, Auteur
Année de publication :	2009
Article en page(s) :	p. 69
Langues :	Français (fre)
Résumé :	Cet article vise à mettre en situation le concept de gouvernance dans la réalité évolutive des actions politiques ou juridiques, à le replacer dans son véritable horizon de responsabilité. Cette analyse critique est d’autant plus nécessaire que le langage courant, celui de la pratique ou du sens commun, dénature constamment tout ce qui faisait à cet égard consensus chez les scientifiques et les praticiens expérimentés, en matière de développement. Il faut rappeler ces définitions des concepts de production, de travail, d’investissement, d’expansion économique, de croissance, de développement, car ceuxci sont depuis 50 ans assujettis à une interprétation mercantile qui en a fait autant de substituts l’un de l’autre, les réduisant à une métrique unidimensionnelle (le profit) de l’activité commune. Les auteurs décrivent les avancées canadiennes et québécoises dans ce nouveau dialogue que l’on peut voir émerger dans les législations, dans diverses décisions politiques ou juridiques, en regard précisément des définitions posées auparavant. La matérialité historique d’une gouvernance « fiduciaire » se fera alors mieux apprécier. Mots-clés : Gouvernance fiduciaire, développement, démocratie, Cour Suprême du Canada, Institutions canadiennes et québécoises.

[article] Gouvernance et développement : Les approches législatives canadienne et québécoise [texte imprimé] / Jeanne Simard, Auteur . - 2009 . - p. 69.
Langues : Français (fre)
inLa Revue des Sciences de Gestion > 239-240 (septembre-décembre 2009) . - p. 69

Résumé :

Cet article vise à mettre en situation le concept de gouvernance dans la réalité évolutive des actions politiques ou juridiques, à le replacer dans son véritable horizon de responsabilité. Cette analyse critique est d’autant plus nécessaire que le langage courant, celui de la pratique ou du sens commun, dénature constamment tout ce qui faisait à cet égard consensus chez les scientifiques et les praticiens expérimentés, en matière de développement. Il faut rappeler ces définitions des concepts de production, de travail, d’investissement, d’expansion économique, de croissance, de développement, car ceuxci sont depuis 50 ans assujettis à une interprétation mercantile qui en a fait autant de substituts l’un de l’autre, les réduisant à une métrique unidimensionnelle (le profit) de l’activité commune. Les auteurs décrivent les avancées canadiennes et québécoises dans ce nouveau dialogue que l’on peut voir émerger dans les législations, dans diverses décisions politiques ou juridiques, en regard précisément des définitions posées auparavant. La matérialité historique d’une gouvernance « fiduciaire » se fera alors mieux apprécier. Mots-clés : Gouvernance fiduciaire, développement, démocratie, Cour Suprême du Canada, Institutions canadiennes et québécoises.

[article] 
inLa Revue des Sciences de Gestion > 239-240 (septembre-décembre 2009) . - p. 61

Titre :	Gouvernance et complexité : Typologies du leadership et modèles de fonctionnement cérébral
Type de document :	texte imprimé
Année de publication :	2009
Article en page(s) :	p. 61
Langues :	Français (fre)
Résumé :	Cet article se propose d’analyser sous l’éclairage du modèle de Ned Herrmann (1992) les compétences souhaitées pour des leaders d’entreprises selon les points de vue de plusieurs auteurs en management. En appui sur le modèle de Ned Herrmann, il sera montré que ces leaders doivent, dans le monde complexe actuel, développer des compétences dites du « cerveau droit » que l’on opposera aux compétences des gestionnaires et des hommes d’appareils dont les préférences sont davantage centrées sur les qualités du « cerveau gauche ». Ces résultats avaient été anticipés de façon intuitive par H. Mintzberg (1976). Le modèle de Ned Herrmann permet de consolider les premières conclusions et, en introduisant le modèle du neurobiologiste américain Paul D. Mac Lean, améliore l’analyse en distinguant le cerveau limbique et le cerveau cortical. Nous montrerons que ce sont particulièrement les compétences du cerveau cortical droit adossées à celles du cerveau limbique droit qui sont efficacement à l’oeuvre lorsque les leaders sont mis en situation de management en environnement complexe. Mots clés : modèles de fonctionnement cérébral, leadership.

[article] Gouvernance et complexité : Typologies du leadership et modèles de fonctionnement cérébral [texte imprimé] . - 2009 . - p. 61.
Langues : Français (fre)
inLa Revue des Sciences de Gestion > 239-240 (septembre-décembre 2009) . - p. 61

Résumé :

Cet article se propose d’analyser sous l’éclairage du modèle de Ned Herrmann (1992) les compétences souhaitées pour des leaders d’entreprises selon les points de vue de plusieurs auteurs en management. En appui sur le modèle de Ned Herrmann, il sera montré que ces leaders doivent, dans le monde complexe actuel, développer des compétences dites du « cerveau droit » que l’on opposera aux compétences des gestionnaires et des hommes d’appareils dont les préférences sont davantage centrées sur les qualités du « cerveau gauche ». Ces résultats avaient été anticipés de façon intuitive par H. Mintzberg (1976). Le modèle de Ned Herrmann permet de consolider les premières conclusions et, en introduisant le modèle du neurobiologiste américain Paul D. Mac Lean, améliore l’analyse en distinguant le cerveau limbique et le cerveau cortical. Nous montrerons que ce sont particulièrement les compétences du cerveau cortical droit adossées à celles du cerveau limbique droit qui sont efficacement à l’oeuvre lorsque les leaders sont mis en situation de management en environnement complexe. Mots clés : modèles de fonctionnement cérébral, leadership.

[article] 
inLa Revue des Sciences de Gestion > 239-240 (septembre-décembre 2009) . - p. 49

Titre :	Le champ de forces du marché et son évolution au cours de son cycle de vie : le cas du PC
Type de document :	texte imprimé
Auteurs :	Jean-Paul Paquin, Auteur
Année de publication :	2009
Article en page(s) :	p. 49
Langues :	Français (fre)
Résumé :	Dans cet article, l’auteur propose une approche dynamique au positionnement stratégique d’une population de firmes au sein d’un marché ainsi qu’à leur évolution au sein d’un champ de force dynamique. On retient l’axiome que la position stratégique de toute entreprise aura tendance à se détériorer dans un champ dynamique concurrentiel dans l’hypothèse où elle adopte une stratégie du statu quo. Une telle dérive stratégique s’explique par l’effet combiné de la force concurrentielle et de la force de régression stratégique. Ces forces déterminent l’intensité et la forme du champ de forces caractérisant un marché spécifique. On démontre qu’avec l’adoption d’une stratégie du statu quo, l’entreprise s’engagera dans une trajectoire menant à un vortex dont l’issue finale sera un trou noir. Ce champ de forces variera progressivement d’une phase à une autre du cycle de vie du marché alors que les firmes auront tendance à la fois de se différencier les unes des autres et que l’intensité de la dépendance entre le potentiel de marché et la mobilisation des ressources aura aussi tendance à s’accroître tout au long des phases du cycle de vie du marché. Ce modèle de champ de forces, testé avec le marché du PC, permet alors de comprendre l’évolution d’un marché et des firmes qui le peuplent, sans pour autant indiquer ce qu’il adviendra de chacune des firmes. Mots clés : Champ de force ; force concurrentielle, force de régression stratégique ; vortex et trou noir. Cycle de vie du marché : introduction, croissance, maturité et déclin.

[article] Le champ de forces du marché et son évolution au cours de son cycle de vie : le cas du PC [texte imprimé] / Jean-Paul Paquin, Auteur . - 2009 . - p. 49.
Langues : Français (fre)
inLa Revue des Sciences de Gestion > 239-240 (septembre-décembre 2009) . - p. 49

Résumé :

Dans cet article, l’auteur propose une approche dynamique au positionnement stratégique d’une population de firmes au sein d’un marché ainsi qu’à leur évolution au sein d’un champ de force dynamique. On retient l’axiome que la position stratégique de toute entreprise aura tendance à se détériorer dans un champ dynamique concurrentiel dans l’hypothèse où elle adopte une stratégie du statu quo. Une telle dérive stratégique s’explique par l’effet combiné de la force concurrentielle et de la force de régression stratégique. Ces forces déterminent l’intensité et la forme du champ de forces caractérisant un marché spécifique. On démontre qu’avec l’adoption d’une stratégie du statu quo, l’entreprise s’engagera dans une trajectoire menant à un vortex dont l’issue finale sera un trou noir. Ce champ de forces variera progressivement d’une phase à une autre du cycle de vie du marché alors que les firmes auront tendance à la fois de se différencier les unes des autres et que l’intensité de la dépendance entre le potentiel de marché et la mobilisation des ressources aura aussi tendance à s’accroître tout au long des phases du cycle de vie du marché. Ce modèle de champ de forces, testé avec le marché du PC, permet alors de comprendre l’évolution d’un marché et des firmes qui le peuplent, sans pour autant indiquer ce qu’il adviendra de chacune des firmes. Mots clés : Champ de force ; force concurrentielle, force de régression stratégique ; vortex et trou noir. Cycle de vie du marché : introduction, croissance, maturité et déclin.

[article] 
inLa Revue des Sciences de Gestion > 239-240 (septembre-décembre 2009) . - p. 37

Titre :	Gouvernance et pouvoir
Type de document :	texte imprimé
Auteurs :	Serge Raynal, Auteur
Année de publication :	2009
Article en page(s) :	p. 37
Langues :	Français (fre)
Résumé :	La notion de pouvoir a toujours constitué un problème difficile pour la sociologie des organisations. Les rapports humains qui s’établissent à l’occasion des phénomènes de pouvoir n’ont pas en effet la simplicité et la prévisibilité des schémas behavioristes du type stimulus. La personnalité, le cadre environnemental et la formation des dirigeants qui exercent ce pouvoir, seront déterminants pour la façon de vivre, nos relations avec les autres mais également avec la nature. C’est un véritable changement qui doit s’opérer pour assurer une durabilité à notre vie et à la planète pour les générations futures. Mots clés : pouvoir, organisation, environnement, personnalité durabilité.

[article] Gouvernance et pouvoir [texte imprimé] / Serge Raynal, Auteur . - 2009 . - p. 37.
Langues : Français (fre)
inLa Revue des Sciences de Gestion > 239-240 (septembre-décembre 2009) . - p. 37

Résumé :

La notion de pouvoir a toujours constitué un problème difficile pour la sociologie des organisations. Les rapports humains qui s’établissent à l’occasion des phénomènes de pouvoir n’ont pas en effet la simplicité et la prévisibilité des schémas behavioristes du type stimulus. La personnalité, le cadre environnemental et la formation des dirigeants qui exercent ce pouvoir, seront déterminants pour la façon de vivre, nos relations avec les autres mais également avec la nature. C’est un véritable changement qui doit s’opérer pour assurer une durabilité à notre vie et à la planète pour les générations futures. Mots clés : pouvoir, organisation, environnement, personnalité durabilité.

[article] 
inLa Revue des Sciences de Gestion > 239-240 (septembre-décembre 2009) . - p. 29

Titre :	Quel projet pour une économie apprenante et un développement durable ?
Type de document :	texte imprimé
Auteurs :	Alain Le Méhauté, Auteur
Année de publication :	2009
Article en page(s) :	p. 29
Langues :	Français (fre)
Résumé :	Cet article se propose d’analyser les problématiques soulevées par le concept de projet dans une économie apprenante. Il est montré qu’une telle économie est caractérisée par un substrat -sur lequel se greffe l’organisation sociale- qu’il faut qualifier d’hyperbolique (voir glossaire), c’est-à-dire constitué d’un ensemble de singularités. Le caractère égotiste de notre société est une expression sociale de cette caractéristique nouvelle. Cette situation modifie de manière radicale les pratiques de management par projet car elle introduit un facteur structurel d’incertitudes et de radicalité de l’innovation que tendent à gommer les stratégies « projet » inscrites dans des démarches rationalisantes de manière traditionnelle. L’ensemble de l’analyse conduit à modéliser l’organisation apprenante comme une structure neuronale particulière par son instabilité. Le management de projet sur une telle structure serait l’expression achevée de ce que l’on appelle le management par projet. Toutefois, cet achèvement n’est qu’un horizon. Ce statut conduit à se poser de multiples questions sur la viabilité sociale d’un tel type de projet tant la maturité imposée aux acteurs reste hypothétique. Mots clés : organisation, projet, innovation, management.

[article] Quel projet pour une économie apprenante et un développement durable ? [texte imprimé] / Alain Le Méhauté, Auteur . - 2009 . - p. 29.
Langues : Français (fre)
inLa Revue des Sciences de Gestion > 239-240 (septembre-décembre 2009) . - p. 29

Résumé :

Cet article se propose d’analyser les problématiques soulevées par le concept de projet dans une économie apprenante. Il est montré qu’une telle économie est caractérisée par un substrat -sur lequel se greffe l’organisation sociale- qu’il faut qualifier d’hyperbolique (voir glossaire), c’est-à-dire constitué d’un ensemble de singularités. Le caractère égotiste de notre société est une expression sociale de cette caractéristique nouvelle. Cette situation modifie de manière radicale les pratiques de management par projet car elle introduit un facteur structurel d’incertitudes et de radicalité de l’innovation que tendent à gommer les stratégies « projet » inscrites dans des démarches rationalisantes de manière traditionnelle. L’ensemble de l’analyse conduit à modéliser l’organisation apprenante comme une structure neuronale particulière par son instabilité. Le management de projet sur une telle structure serait l’expression achevée de ce que l’on appelle le management par projet. Toutefois, cet achèvement n’est qu’un horizon. Ce statut conduit à se poser de multiples questions sur la viabilité sociale d’un tel type de projet tant la maturité imposée aux acteurs reste hypothétique. Mots clés : organisation, projet, innovation, management.

[article] 
inLa Revue des Sciences de Gestion > 239-240 (septembre-décembre 2009) . - p. 17

Titre :	Gouvernance et développement durable
Type de document :	texte imprimé
Auteurs :	Serge Raynal, Auteur
Année de publication :	2009
Article en page(s) :	p. 17
Langues :	Français (fre)
Résumé :	La gouvernance est d’abord une manière de voir. C’est un angle de vision qui souligne et fait ressortir l’importance de la coordination et de la collaboration. Une personne ou un groupe quelconque peut prétendre avoir le monopole de la connaissance, du pouvoir et des ressources nécessaires et imposer un dirigisme efficace de haut en bas. L’accélération du changement technique, la mondialisation et la turbulence accrue de l’environnement ont montré, depuis un certain temps les limites du marché et des États comme grands mécanismes de gouvernance pour assurer un développement durable. Mots clés : gouvernance, mondialisation, économie, environnement, social.

[article] Gouvernance et développement durable [texte imprimé] / Serge Raynal, Auteur . - 2009 . - p. 17.
Langues : Français (fre)
inLa Revue des Sciences de Gestion > 239-240 (septembre-décembre 2009) . - p. 17

Résumé :

La gouvernance est d’abord une manière de voir. C’est un angle de vision qui souligne et fait ressortir l’importance de la coordination et de la collaboration. Une personne ou un groupe quelconque peut prétendre avoir le monopole de la connaissance, du pouvoir et des ressources nécessaires et imposer un dirigisme efficace de haut en bas. L’accélération du changement technique, la mondialisation et la turbulence accrue de l’environnement ont montré, depuis un certain temps les limites du marché et des États comme grands mécanismes de gouvernance pour assurer un développement durable. Mots clés : gouvernance, mondialisation, économie, environnement, social.

[article] 
inLa Revue des Sciences de Gestion > 239-240 (septembre-décembre 2009) . - p. 15

Titre :	Une collaboration transatlantique en ingénierie de la connaissance : Introduction au Dossier franco-québecquois : Gouvernance et développement durable
Type de document :	texte imprimé
Auteurs :	Alain Le Méauté, Auteur
Année de publication :	2009
Article en page(s) :	p. 15
Langues :	Français (fre)
Résumé :	C’est au cours des festivités marquant les quatre-cents ans de la Ville de Québec à l’été 2008 que l’Institut International Franco-québécois des Hautes Etudes en Management et Innovation (IFQ) a été créé en vue d’institutionnaliser le partenariat qui lie depuis une dizaine d’années l’ISMANS, École d’Ingénieur française, membre de la Conférence des Grandes Écoles et l’Université du Québec dans plusieurs de ses composantes que sont l’Université du Québec en Outaouais (Gatineau), l’Université du Québec à Chicoutimi (Saguenay-Lac Saint-Jean) et l’ÉNAP (ville de Québec). L’IFQ affirme les intérêts partagés par les deux entités dans les secteurs du Management de Projet, du Management des Organisations pour l’innovation, de l’Ingénierie d’Affaires, de l’Administration Publique et des Sciences politiques et sert la visibilité de l’action internationale commune entre la France et le Québec. De nombreuses questions ont été abordées au sein de l’IFQ sur un monde aujourd’hui caractérisé par la vitesse, l’instabilité et l’incertitude. La tentation est grande de répondre à la précipitation par des mesures éphémères, de rendre coup pour coup au temps qui passe et nous dépasse. Le Québec est souvent présenté comme le modèle vers lequel nous devrions tendre en termes de gouvernance. C’est ainsi que la directeur de La Revue des Sciences de Gestion a été séduit par la proposition de l’IFQ afin de prendre en charge la rédaction d’un numéro spécial sur la « Gouvernance et le Développement Durable », afin de confronter de part et d’autre de l’Atlantique nos visions sur ces sujets cruciaux. Il est commun de parler de notre époque comme d’une période de grandes mutations. Tout aussi commun de formuler pour l’avenir des hypothèses révolutionnaires en matière de forces socioéconomiques, technologiques, démographiques et d’emploi. Mais qu’en sera-t-il des entreprises ? Comment vont-elles évoluer ? De nouvelles formes d’organisation vont-elles apparaître ? Comment vivrons-nous ? Quelles seront les nouvelles formes de gouvernance ? Quel monde sera le nôtre demain ? Voilà autant de questions pour lesquelles nous avons tenté d’apporter notre contribution avec notre vision de chercheurs Français et Québécois dans tous les secteurs de la vie économique publique et privée.

[article] Une collaboration transatlantique en ingénierie de la connaissance : Introduction au Dossier franco-québecquois : Gouvernance et développement durable [texte imprimé] / Alain Le Méauté, Auteur . - 2009 . - p. 15.
Langues : Français (fre)
inLa Revue des Sciences de Gestion > 239-240 (septembre-décembre 2009) . - p. 15

Résumé :

C’est au cours des festivités marquant les quatre-cents ans de la Ville de Québec à l’été 2008 que l’Institut International Franco-québécois des Hautes Etudes en Management et Innovation (IFQ) a été créé en vue d’institutionnaliser le partenariat qui lie depuis une dizaine d’années l’ISMANS, École d’Ingénieur française, membre de la Conférence des Grandes Écoles et l’Université du Québec dans plusieurs de ses composantes que sont l’Université du Québec en Outaouais (Gatineau), l’Université du Québec à Chicoutimi (Saguenay-Lac Saint-Jean) et l’ÉNAP (ville de Québec). L’IFQ affirme les intérêts partagés par les deux entités dans les secteurs du Management de Projet, du Management des Organisations pour l’innovation, de l’Ingénierie d’Affaires, de l’Administration Publique et des Sciences politiques et sert la visibilité de l’action internationale commune entre la France et le Québec. De nombreuses questions ont été abordées au sein de l’IFQ sur un monde aujourd’hui caractérisé par la vitesse, l’instabilité et l’incertitude. La tentation est grande de répondre à la précipitation par des mesures éphémères, de rendre coup pour coup au temps qui passe et nous dépasse. Le Québec est souvent présenté comme le modèle vers lequel nous devrions tendre en termes de gouvernance. C’est ainsi que la directeur de La Revue des Sciences de Gestion a été séduit par la proposition de l’IFQ afin de prendre en charge la rédaction d’un numéro spécial sur la « Gouvernance et le Développement Durable », afin de confronter de part et d’autre de l’Atlantique nos visions sur ces sujets cruciaux. Il est commun de parler de notre époque comme d’une période de grandes mutations. Tout aussi commun de formuler pour l’avenir des hypothèses révolutionnaires en matière de forces socioéconomiques, technologiques, démographiques et d’emploi. Mais qu’en sera-t-il des entreprises ? Comment vont-elles évoluer ? De nouvelles formes d’organisation vont-elles apparaître ? Comment vivrons-nous ? Quelles seront les nouvelles formes de gouvernance ? Quel monde sera le nôtre demain ? Voilà autant de questions pour lesquelles nous avons tenté d’apporter notre contribution avec notre vision de chercheurs Français et Québécois dans tous les secteurs de la vie économique publique et privée.