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Futuribles / Hugues de Jouvenel . 426L'INTELLIGENCE ARTIFICIELLEMention de date : septembre-octobre 2018 Paru le : 27/09/2018 ISBN/ISSN/EAN : 978-2-84387-439-0 |
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Ajouter le résultat dans votre panierIntelligence artificielle : opportunités et risques / PORTNOFF André-Yves in Futuribles, 426 (septembre-octobre 2018)
[article]
Titre : Intelligence artificielle : opportunités et risques Type de document : texte imprimé Auteurs : PORTNOFF André-Yves, Auteur Année de publication : 2018 Article en page(s) : pp. 5-26 Langues : Français (fre)
in Futuribles > 426 (septembre-octobre 2018) . - pp. 5-26Résumé : L’intelligence artificielle (IA) bénéficie depuis quelque temps d’une attention sans précédent. Pourquoi ? Parce qu’elle accomplit un véritable bond en avant sous l’effet combiné de quatre facteurs : l’essor des communications permettant désormais, à l’échelle planétaire et à la vitesse de la lumière, de transporter toutes les formes d’expression, la puissance de calcul (qui se mesure en millions de milliards d’opérations par seconde), l’explosion des données disponibles et le progrès des algorithmes apprenants. Ainsi, affirment André-Yves Portnoff et Jean-François Soupizet, émerge tout un écosystème nouveau. [article] Intelligence artificielle : opportunités et risques [texte imprimé] / PORTNOFF André-Yves, Auteur . - 2018 . - pp. 5-26.
Langues : Français (fre)
in Futuribles > 426 (septembre-octobre 2018) . - pp. 5-26Résumé : L’intelligence artificielle (IA) bénéficie depuis quelque temps d’une attention sans précédent. Pourquoi ? Parce qu’elle accomplit un véritable bond en avant sous l’effet combiné de quatre facteurs : l’essor des communications permettant désormais, à l’échelle planétaire et à la vitesse de la lumière, de transporter toutes les formes d’expression, la puissance de calcul (qui se mesure en millions de milliards d’opérations par seconde), l’explosion des données disponibles et le progrès des algorithmes apprenants. Ainsi, affirment André-Yves Portnoff et Jean-François Soupizet, émerge tout un écosystème nouveau. Réservation
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Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité P1875 HUG Periodique HEM Casa Documentaires Disponible L’entreprise et la fabrique du bien commun / LA TAILLE-RIVERO MARTHE (DE) in Futuribles, 426 (septembre-octobre 2018)
[article]
Titre : L’entreprise et la fabrique du bien commun Type de document : texte imprimé Auteurs : LA TAILLE-RIVERO MARTHE (DE), Auteur Année de publication : 2018 Article en page(s) : pp. 27-40 Langues : Français (fre)
in Futuribles > 426 (septembre-octobre 2018) . - pp. 27-40Résumé : En dépit des « œuvres sociales » développées dès le XIXe siècle par des entrepreneurs, taxés plus tard de « paternalisme », il fut longtemps considéré en France que le rôle des entreprises consistait quasi uniquement à faire des profits au bénéfice essentiel de leurs actionnaires, que tout ce qui relevait de l’intérêt collectif était du ressort presque exclusif de l’État. Mais cette répartition des rôles est peut-être en train de voler en éclats sous l’effet d’une multitude de facteurs. D’un côté, l’entreprise ne peut en effet plus ignorer les aspirations de son personnel à œuvrer au profit de finalités ayant un sens, ni les préoccupations de ses clients concernant les aspects éthiques, ni le fait qu’elle-même puise dans le bien commun (les ressources naturelles) et que ses activités peuvent être destructrices d’un écosystème dont la fragilité devient évidente… D’un autre côté, l’État, dont les ressources sont limitées, ne peut pas tout et n’a peut-être pas vocation à être le seul à prétendre incarner le bien commun. Ces observations nous amènent à lancer, sous la conduite de Marthe de La Taille-Rivero, une série d’articles publiés dans plusieurs numéros de Futuribles sur « l’entreprise et la fabrique du bien commun ». [article] L’entreprise et la fabrique du bien commun [texte imprimé] / LA TAILLE-RIVERO MARTHE (DE), Auteur . - 2018 . - pp. 27-40.
Langues : Français (fre)
in Futuribles > 426 (septembre-octobre 2018) . - pp. 27-40Résumé : En dépit des « œuvres sociales » développées dès le XIXe siècle par des entrepreneurs, taxés plus tard de « paternalisme », il fut longtemps considéré en France que le rôle des entreprises consistait quasi uniquement à faire des profits au bénéfice essentiel de leurs actionnaires, que tout ce qui relevait de l’intérêt collectif était du ressort presque exclusif de l’État. Mais cette répartition des rôles est peut-être en train de voler en éclats sous l’effet d’une multitude de facteurs. D’un côté, l’entreprise ne peut en effet plus ignorer les aspirations de son personnel à œuvrer au profit de finalités ayant un sens, ni les préoccupations de ses clients concernant les aspects éthiques, ni le fait qu’elle-même puise dans le bien commun (les ressources naturelles) et que ses activités peuvent être destructrices d’un écosystème dont la fragilité devient évidente… D’un autre côté, l’État, dont les ressources sont limitées, ne peut pas tout et n’a peut-être pas vocation à être le seul à prétendre incarner le bien commun. Ces observations nous amènent à lancer, sous la conduite de Marthe de La Taille-Rivero, une série d’articles publiés dans plusieurs numéros de Futuribles sur « l’entreprise et la fabrique du bien commun ». Réservation
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Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité P1875 HUG Periodique HEM Casa Documentaires Disponible Pour une réforme de l’entreprise. Création de valeur actionnariale et création de valeur globale / LANDIER, Hubert in Futuribles, 426 (septembre-octobre 2018)
[article]
Titre : Pour une réforme de l’entreprise. Création de valeur actionnariale et création de valeur globale Type de document : texte imprimé Auteurs : LANDIER, Hubert, Auteur Année de publication : 2018 Article en page(s) : pp. 41-54 Langues : Français (fre)
in Futuribles > 426 (septembre-octobre 2018) . - pp. 41-54Résumé : L’entreprise n’a pas véritablement de statut juridique en France ; son statut est, le plus souvent, celui d’une société commerciale qui ne lui assigne qu’une seule finalité, celle de faire du profit au bénéfice de ses actionnaires. Ce phénomène résulte, explique Hubert Landier, de la préoccupation dominante accordée au XVIIIe siècle à la propriété et à la liberté du commerce, à l’existence à l’époque essentiellement de petits ateliers développés sur des bases familiales. Pourtant, l’entreprise représente une somme de compétences, de savoir-faire, de métiers développés grâce à ses collaborateurs (salariés ou non), prestataires, sous-traitants, clients, dont le rôle essentiel mérite considération. D’où l’essor de la responsabilité sociale de l’entreprise (RSE) et, plus récemment, du « dialogue social ». [article] Pour une réforme de l’entreprise. Création de valeur actionnariale et création de valeur globale [texte imprimé] / LANDIER, Hubert, Auteur . - 2018 . - pp. 41-54.
Langues : Français (fre)
in Futuribles > 426 (septembre-octobre 2018) . - pp. 41-54Résumé : L’entreprise n’a pas véritablement de statut juridique en France ; son statut est, le plus souvent, celui d’une société commerciale qui ne lui assigne qu’une seule finalité, celle de faire du profit au bénéfice de ses actionnaires. Ce phénomène résulte, explique Hubert Landier, de la préoccupation dominante accordée au XVIIIe siècle à la propriété et à la liberté du commerce, à l’existence à l’époque essentiellement de petits ateliers développés sur des bases familiales. Pourtant, l’entreprise représente une somme de compétences, de savoir-faire, de métiers développés grâce à ses collaborateurs (salariés ou non), prestataires, sous-traitants, clients, dont le rôle essentiel mérite considération. D’où l’essor de la responsabilité sociale de l’entreprise (RSE) et, plus récemment, du « dialogue social ». Réservation
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Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité P1875 HUG Periodique HEM Casa Documentaires Disponible L’essor des populismes. Origines et particularités des mouvements populistes : leur succès politique / WALLARD HENRI in Futuribles, 426 (septembre-octobre 2018)
[article]
Titre : L’essor des populismes. Origines et particularités des mouvements populistes : leur succès politique Type de document : texte imprimé Auteurs : WALLARD HENRI, Auteur Année de publication : 2018 Article en page(s) : pp. 55-74 Langues : Français (fre)
in Futuribles > 426 (septembre-octobre 2018) . - pp. 55-74Résumé : L’essor des mouvements populistes, notamment dans les pays occidentaux supposés incarner l’idéal démocratique, voire l’arrivée au pouvoir de certains de leurs leaders suscitent légitimement une vive inquiétude et bien des questions : comment expliquer ce phénomène ? Quelles sont les caractéristiques communes à ces mouvements et, inversement, qu’est-ce qui fait leur spécificité dans les différents pays ? Tel est le premier thème retenu pour faire suite à l’accord de coopération établi à l’initiative de Najat Vallaud-Belkacem entre Ipsos, dont elle est directrice générale déléguée « Études internationales et innovation sociale », et la revue Futuribles. [article] L’essor des populismes. Origines et particularités des mouvements populistes : leur succès politique [texte imprimé] / WALLARD HENRI, Auteur . - 2018 . - pp. 55-74.
Langues : Français (fre)
in Futuribles > 426 (septembre-octobre 2018) . - pp. 55-74Résumé : L’essor des mouvements populistes, notamment dans les pays occidentaux supposés incarner l’idéal démocratique, voire l’arrivée au pouvoir de certains de leurs leaders suscitent légitimement une vive inquiétude et bien des questions : comment expliquer ce phénomène ? Quelles sont les caractéristiques communes à ces mouvements et, inversement, qu’est-ce qui fait leur spécificité dans les différents pays ? Tel est le premier thème retenu pour faire suite à l’accord de coopération établi à l’initiative de Najat Vallaud-Belkacem entre Ipsos, dont elle est directrice générale déléguée « Études internationales et innovation sociale », et la revue Futuribles. Réservation
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Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité P1875 HUG Periodique HEM Casa Documentaires Disponible L’utopie marxienne de la société communiste / CAILLEBA PATRICE in Futuribles, 426 (septembre-octobre 2018)
[article]
Titre : L’utopie marxienne de la société communiste Type de document : texte imprimé Auteurs : CAILLEBA PATRICE, Auteur Année de publication : 2018 Article en page(s) : pp. 75-84 Langues : Français (fre)
in Futuribles > 426 (septembre-octobre 2018) . - pp. 75-84Résumé : Qui a écrit que « personne n’est enfermé dans un cercle exclusif d’activités et [que] chacun peut se former dans n’importe quelle branche de son choix » ? « Que c’est la société qui règle la production générale et qui me permet ainsi de faire aujourd’hui telle chose, demain une autre, de chasser le matin, de pêcher l’après-midi, de m’occuper d’élevage le soir et de m’adonner à la critique après le repas » ? Il s’agit de Karl Marx dont nous célébrons cette année le bicentenaire de la naissance, un auteur dont l’œuvre imposante décrivit si pertinemment les combats à mener sans finalement, souligne Patrice Cailleba, fournir beaucoup d’indications sur sa représentation d’une société souhaitable, qui reproche d’ailleurs aux socialistes de l’époque leurs « peintures imaginatives de la société future » en les qualifiant d’utopiques, sinon de réactionnaires. [article] L’utopie marxienne de la société communiste [texte imprimé] / CAILLEBA PATRICE, Auteur . - 2018 . - pp. 75-84.
Langues : Français (fre)
in Futuribles > 426 (septembre-octobre 2018) . - pp. 75-84Résumé : Qui a écrit que « personne n’est enfermé dans un cercle exclusif d’activités et [que] chacun peut se former dans n’importe quelle branche de son choix » ? « Que c’est la société qui règle la production générale et qui me permet ainsi de faire aujourd’hui telle chose, demain une autre, de chasser le matin, de pêcher l’après-midi, de m’occuper d’élevage le soir et de m’adonner à la critique après le repas » ? Il s’agit de Karl Marx dont nous célébrons cette année le bicentenaire de la naissance, un auteur dont l’œuvre imposante décrivit si pertinemment les combats à mener sans finalement, souligne Patrice Cailleba, fournir beaucoup d’indications sur sa représentation d’une société souhaitable, qui reproche d’ailleurs aux socialistes de l’époque leurs « peintures imaginatives de la société future » en les qualifiant d’utopiques, sinon de réactionnaires. Réservation
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Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité P1875 HUG Periodique HEM Casa Documentaires Disponible L’Europe malade de ses États membres / DREVET Jean-François in Futuribles, 426 (septembre-octobre 2018)
[article]
Titre : L’Europe malade de ses États membres Type de document : texte imprimé Auteurs : DREVET Jean-François, Auteur Année de publication : 2018 Article en page(s) : pp. 85-92 Langues : Français (fre)
in Futuribles > 426 (septembre-octobre 2018) . - pp. 85-92Note de contenu : Dans le contexte de montée des populismes en Europe (que les élections italiennes ont récemment illustrée) et de désengagement du Royaume-Uni de l’Union européenne, l’édifice européen est mis à rude épreuve, ce en dépit des efforts de relance engagés par la France et le président de la Commission européenne fin 2017. Pourtant, dans bien des cas, les institutions européennes sont nettement plus qualifiées et potentiellement plus efficaces que les gouvernements nationaux pour résoudre les problèmes ou faire progresser les sociétés européennes. C’est ce que montre cette tribune qui souligne combien l’attitude de « cavalier seul » de certains États membres peut se révéler dommageable, y compris pour ceux qui la pratiquent. Jean-François Drevet s’appuie ici sur trois dossiers emblématiques : la lutte contre le dumping fiscal, la prise en charge de l’immigration illégale et le protectionnisme économique. Dans ces trois cas, il est manifeste, selon lui, que l’Union européenne est bien davantage la solution que la source des problèmes, mais les États membres peuvent-ils l’entendre ?
[article] L’Europe malade de ses États membres [texte imprimé] / DREVET Jean-François, Auteur . - 2018 . - pp. 85-92.
Langues : Français (fre)
in Futuribles > 426 (septembre-octobre 2018) . - pp. 85-92Note de contenu : Dans le contexte de montée des populismes en Europe (que les élections italiennes ont récemment illustrée) et de désengagement du Royaume-Uni de l’Union européenne, l’édifice européen est mis à rude épreuve, ce en dépit des efforts de relance engagés par la France et le président de la Commission européenne fin 2017. Pourtant, dans bien des cas, les institutions européennes sont nettement plus qualifiées et potentiellement plus efficaces que les gouvernements nationaux pour résoudre les problèmes ou faire progresser les sociétés européennes. C’est ce que montre cette tribune qui souligne combien l’attitude de « cavalier seul » de certains États membres peut se révéler dommageable, y compris pour ceux qui la pratiquent. Jean-François Drevet s’appuie ici sur trois dossiers emblématiques : la lutte contre le dumping fiscal, la prise en charge de l’immigration illégale et le protectionnisme économique. Dans ces trois cas, il est manifeste, selon lui, que l’Union européenne est bien davantage la solution que la source des problèmes, mais les États membres peuvent-ils l’entendre ?
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