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Auteur BLANCHET Didier
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Faire une suggestion Affiner la recherche Interroger des sources externesComptabilité nationale et mesure de l’économie numérique. Faut-il revoir les outils ? / BLANCHET Didier in Futuribles, 418 (mai-juin 2017)
[article]
Titre : Comptabilité nationale et mesure de l’économie numérique. Faut-il revoir les outils ? Type de document : texte imprimé Auteurs : BLANCHET Didier, Auteur Année de publication : 2017 Article en page(s) : pp. 35-44 Langues : Français (fre)
in Futuribles > 418 (mai-juin 2017) . - pp. 35-44Résumé : Futuribles a engagé, dans son précédent numéro (n° 417, mars-avril 2017), une réflexion sur la question du ralentissement des gains de productivité et ses conséquences dans les pays concernés. Après ce premier volet consistant à faire le point sur l’évolution de la productivité sur longue période dans les pays développés, sur le rôle du progrès technique et des facteurs immatériels, nous poursuivons la réflexion en nous penchant sur les indicateurs : la baisse des gains de productivité est-elle réelle ou résulte-t-elle du fait que les indicateurs statistiques sont inadaptés pour les mesurer correctement ?
Didier Blanchet montre ici comment la comptabilité nationale évalue l’économie en France, via le produit intérieur brut (PIB), et comment celui-ci intègre la diffusion du numérique. Les nombreuses innovations issues de la révolution des technologies de l’information et de la communication sont-elles mesurées à la hauteur de leurs apports effectifs à l’économie et au bien-être des consommateurs ? Pour aborder cette question d’un éventuel « mismeasurement », Didier Blanchet examine trois points qui lui paraissent essentiels dans ce débat. Le premier concerne le périmètre du PIB : qu’a-t-il vocation à mesurer et pourquoi ? Le deuxième point porte sur les problèmes de partage volume-prix des biens : comment faire en sorte de mesurer l’évolution des prix à qualité constante dans le contexte actuel de transformation marquée de certaines activités économiques sous l’effet du numérique ? Enfin, l’auteur évoque la question de la prise en compte du bien-être dans les indicateurs économiques, soulignant son importance mais rappelant que la comptabilité nationale ne prétend pas mesurer le bien-être : le débat relatif à cette prise en compte du bien-être dépasse celui relatif au PIB et à l’intégration du numérique dans celui-ci ; c’est un chantier autrement plus complexe dont les comptes nationaux ne sont qu’un élément (certes essentiel) parmi d’autres.[article] Comptabilité nationale et mesure de l’économie numérique. Faut-il revoir les outils ? [texte imprimé] / BLANCHET Didier, Auteur . - 2017 . - pp. 35-44.
Langues : Français (fre)
in Futuribles > 418 (mai-juin 2017) . - pp. 35-44Résumé : Futuribles a engagé, dans son précédent numéro (n° 417, mars-avril 2017), une réflexion sur la question du ralentissement des gains de productivité et ses conséquences dans les pays concernés. Après ce premier volet consistant à faire le point sur l’évolution de la productivité sur longue période dans les pays développés, sur le rôle du progrès technique et des facteurs immatériels, nous poursuivons la réflexion en nous penchant sur les indicateurs : la baisse des gains de productivité est-elle réelle ou résulte-t-elle du fait que les indicateurs statistiques sont inadaptés pour les mesurer correctement ?
Didier Blanchet montre ici comment la comptabilité nationale évalue l’économie en France, via le produit intérieur brut (PIB), et comment celui-ci intègre la diffusion du numérique. Les nombreuses innovations issues de la révolution des technologies de l’information et de la communication sont-elles mesurées à la hauteur de leurs apports effectifs à l’économie et au bien-être des consommateurs ? Pour aborder cette question d’un éventuel « mismeasurement », Didier Blanchet examine trois points qui lui paraissent essentiels dans ce débat. Le premier concerne le périmètre du PIB : qu’a-t-il vocation à mesurer et pourquoi ? Le deuxième point porte sur les problèmes de partage volume-prix des biens : comment faire en sorte de mesurer l’évolution des prix à qualité constante dans le contexte actuel de transformation marquée de certaines activités économiques sous l’effet du numérique ? Enfin, l’auteur évoque la question de la prise en compte du bien-être dans les indicateurs économiques, soulignant son importance mais rappelant que la comptabilité nationale ne prétend pas mesurer le bien-être : le débat relatif à cette prise en compte du bien-être dépasse celui relatif au PIB et à l’intégration du numérique dans celui-ci ; c’est un chantier autrement plus complexe dont les comptes nationaux ne sont qu’un élément (certes essentiel) parmi d’autres.Réservation
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Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité P1825 HUG Periodique HEM Casa Documentaires Disponible
[article]
Titre : Retraites : retours sur le constat Type de document : texte imprimé Auteurs : BLANCHET Didier, Auteur Année de publication : 2010 Article en page(s) : pp. 23-36 Langues : Français (fre)
in Futuribles > 365 (juillet-aoĂ»t 2010) . - pp. 23-36RĂ©sumĂ© : En introduction Ă son article, Didier Blanchet rappelle, tout d’abord, deux donnĂ©es essentielles : celle relative Ă l’accroissement prĂ©visible des effectifs de personnes âgĂ©es de 60 ans et plus, tandis que se staÂbiliserait la population des personnes d’âge actif (pour autant que l’on raisonne toujours sur les 20-59 ans) ; et celle de l’accroissement corrĂ©latif des dĂ©penses de retraite rapportĂ©es au produit intĂ©rieur brut (13 % aujourd’hui), augmentation qui risque de se poursuivre, surtout dès lors que la croissance Ă©conomique est faible (et Ă supposer que les pensions de retraite demeurent Ă un niveau stable, le taux de remplacement actuel se situant aux alentours de 65 %).
Ensuite, l’auteur rappelle les diffĂ©rentes simulations faites pour la France par le Conseil d’orientation des retraites (COR) depuis le dĂ©but des annĂ©es 2000, puis l’impact des rĂ©formes introduites en 1993 et en 2003, montrant ce qui serait advenu si elles n’avaient pas Ă©tĂ© adoptĂ©es, d’abord dans l’hypothèse d’une conjoncture Ă©conomique favorable, ensuite dans le contexte beaucoup plus prĂ©occupant rĂ©sulÂtant de la crise et des perspectives Ă©conomiques mĂ©diocres des prochaines annĂ©es. Ainsi montre-t-il en substance les consĂ©quences importantes de cette crise et la dĂ©gradation très rapide du ratio retraites / PIB (produit intĂ©rieur brut). Il met ainsi en Ă©vidence le rĂ´le dĂ©terminant de trois variables : le montant des pensions, le taux de croissance du PIB et l’âge auquel les Français liquident leur retraite.
Ayant posé cette équation et montré combien le revenu des retraités serait amputé ou combien le prélèvement devrait être augmenté si rien n’était fait, Didier Blanchet — s’appuyant toujours sur les plus récentes publications du COR — souligne la nécessité de jouer sur l’âge de la retraite au travers de deux mesures dont les effets n’interviennent pas aux mêmes horizons temporels : d’une part, repousser l’âge légal de la retraite ; d’autre part, accroître le nombre d’années de cotisation nécessaires pour bénéficier d’une retraite à taux plein.En ligne : http://www.futuribles.com [article] Retraites : retours sur le constat [texte imprimé] / BLANCHET Didier, Auteur . - 2010 . - pp. 23-36.
Langues : Français (fre)
in Futuribles > 365 (juillet-aoĂ»t 2010) . - pp. 23-36RĂ©sumĂ© : En introduction Ă son article, Didier Blanchet rappelle, tout d’abord, deux donnĂ©es essentielles : celle relative Ă l’accroissement prĂ©visible des effectifs de personnes âgĂ©es de 60 ans et plus, tandis que se staÂbiliserait la population des personnes d’âge actif (pour autant que l’on raisonne toujours sur les 20-59 ans) ; et celle de l’accroissement corrĂ©latif des dĂ©penses de retraite rapportĂ©es au produit intĂ©rieur brut (13 % aujourd’hui), augmentation qui risque de se poursuivre, surtout dès lors que la croissance Ă©conomique est faible (et Ă supposer que les pensions de retraite demeurent Ă un niveau stable, le taux de remplacement actuel se situant aux alentours de 65 %).
Ensuite, l’auteur rappelle les diffĂ©rentes simulations faites pour la France par le Conseil d’orientation des retraites (COR) depuis le dĂ©but des annĂ©es 2000, puis l’impact des rĂ©formes introduites en 1993 et en 2003, montrant ce qui serait advenu si elles n’avaient pas Ă©tĂ© adoptĂ©es, d’abord dans l’hypothèse d’une conjoncture Ă©conomique favorable, ensuite dans le contexte beaucoup plus prĂ©occupant rĂ©sulÂtant de la crise et des perspectives Ă©conomiques mĂ©diocres des prochaines annĂ©es. Ainsi montre-t-il en substance les consĂ©quences importantes de cette crise et la dĂ©gradation très rapide du ratio retraites / PIB (produit intĂ©rieur brut). Il met ainsi en Ă©vidence le rĂ´le dĂ©terminant de trois variables : le montant des pensions, le taux de croissance du PIB et l’âge auquel les Français liquident leur retraite.
Ayant posé cette équation et montré combien le revenu des retraités serait amputé ou combien le prélèvement devrait être augmenté si rien n’était fait, Didier Blanchet — s’appuyant toujours sur les plus récentes publications du COR — souligne la nécessité de jouer sur l’âge de la retraite au travers de deux mesures dont les effets n’interviennent pas aux mêmes horizons temporels : d’une part, repousser l’âge légal de la retraite ; d’autre part, accroître le nombre d’années de cotisation nécessaires pour bénéficier d’une retraite à taux plein.En ligne : http://www.futuribles.com Réservation
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