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Auteur ALLEMAND Frédéric
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Faire une suggestion Affiner la recherche Interroger des sources externesCrise de la zone euro : modernité du plan Werner (1970) / ALLEMAND Frédéric in Futuribles, 382 (février 2012)
[article]
Titre : Crise de la zone euro : modernité du plan Werner (1970) Type de document : texte imprimé Auteurs : ALLEMAND Frédéric, Auteur Année de publication : 2012 Article en page(s) : pp. 63-72 Langues : Français (fre)
in Futuribles > 382 (février 2012) . - pp. 63-72Tags : Union européenne|Politique monétaire|Politique économique Résumé : Voilà plusieurs mois que l’Union européenne se trouve face à une crise économique et financière qui met ses États membres au défi de trouver les moyens de renforcer la gouvernance économique de la zone euro, faute de quoi l’union monétaire en place depuis une dizaine d’années pourrait tourner court. Les sommets européens et autres rencontres franco-allemandes visant à trouver une issue à la crise grecque et, plus loin, à la déstabilisation générale du système financier européen, se multiplient, mais au final, comme le montre ici Frédéric Allemand, ils ne proposent guère plus que ce qu’avait préconisé, en 1970, le rapport Werner. Celui-ci avait en effet établi un « plan de réalisation par étapes de l’Union économique et monétaire » européenne particulièrement clairvoyant mais qui, faute d’un véritable soutien politique à l’époque, n’alla pas à son terme.
L’Union économique et monétaire fut certes mise en place par le traité de Maastricht dans les années 1990, mais dans une version a minima et sans suivre les recommandations proposées par le rapport Werner que rappelle ici Frédéric Allemand. Résultat, il manquait à l’intégration monétaire l’intégration économique, et en particulier la mise en place d’un « Centre de décision pour la politique économique », responsable devant le Parlement européen et assurant un contrôle strict des politiques budgétaires nationales. Les faits ayant cruellement démontré les carences issues de l’omission d’une telle structure centrale, peut-être les gouvernants européens finiront-ils par revenir aux fondamentaux et, consciemment ou non, par suivre les étapes du plan Werner…
En ligne : http://www.futuribles.com [article] Crise de la zone euro : modernité du plan Werner (1970) [texte imprimé] / ALLEMAND Frédéric, Auteur . - 2012 . - pp. 63-72.
Langues : Français (fre)
in Futuribles > 382 (février 2012) . - pp. 63-72Tags : Union européenne|Politique monétaire|Politique économique Résumé : Voilà plusieurs mois que l’Union européenne se trouve face à une crise économique et financière qui met ses États membres au défi de trouver les moyens de renforcer la gouvernance économique de la zone euro, faute de quoi l’union monétaire en place depuis une dizaine d’années pourrait tourner court. Les sommets européens et autres rencontres franco-allemandes visant à trouver une issue à la crise grecque et, plus loin, à la déstabilisation générale du système financier européen, se multiplient, mais au final, comme le montre ici Frédéric Allemand, ils ne proposent guère plus que ce qu’avait préconisé, en 1970, le rapport Werner. Celui-ci avait en effet établi un « plan de réalisation par étapes de l’Union économique et monétaire » européenne particulièrement clairvoyant mais qui, faute d’un véritable soutien politique à l’époque, n’alla pas à son terme.
L’Union économique et monétaire fut certes mise en place par le traité de Maastricht dans les années 1990, mais dans une version a minima et sans suivre les recommandations proposées par le rapport Werner que rappelle ici Frédéric Allemand. Résultat, il manquait à l’intégration monétaire l’intégration économique, et en particulier la mise en place d’un « Centre de décision pour la politique économique », responsable devant le Parlement européen et assurant un contrôle strict des politiques budgétaires nationales. Les faits ayant cruellement démontré les carences issues de l’omission d’une telle structure centrale, peut-être les gouvernants européens finiront-ils par revenir aux fondamentaux et, consciemment ou non, par suivre les étapes du plan Werner…
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Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité P1587 HUG Periodique HEM Casa Documentaires Disponible
[article]
Titre : Les Européens face à la mondialisation Type de document : texte imprimé Auteurs : ALLEMAND Frédéric, Auteur Année de publication : 2008 Article en page(s) : pp. 35-48 Langues : Français (fre)
in Futuribles > 337 (janvier 2008) . - pp. 35-48Résumé : Le phénomène de mondialisation (des échanges, des valeurs, etc.) n'est pas récent, mais la référence au terme même s'est fortement développée ces 15 dernières années, avec des connotations plus ou moins positives selon les pays et les commentateurs. Qu'en est-il en Europe, région particulière puisque intégrée dans les domaines économique et - au moins partiellement - politique ?
Elvire Fabry et Frédéric Allemand, s'appuyant sur les résultats d'une enquête récente, présentent ici la façon dont les Européens appréhendent la mondialisation, de manière globale, selon le pays dont ils ressortissent, mais aussi selon leur âge. Ils montrent ainsi que les Européens ont une perception assez semblable de ce phénomène : synonyme d'amplification des relations commerciales entre États membres et de mobilité accrue au sein de l'Union. Ils ne notent pas de différence majeure dans l'appréciation de la mondialisation selon la classe d'âge considérée - simplement, les jeunes se révèlent un peu plus optimistes que leurs aînés. Ils analysent également la place de la mondialisation dans le débat public (clivage gauche / droite, influence de la société civile), mentionnant la position particulière de la France et l'Allemagne, pays où le sujet est nettement plus présent qu'ailleurs. Enfin, ils développent un trait dominant en Europe à l'égard de la mondialisation : la demande de régulation sur fond de renforcement des solidarités régionales, et non de protectionnisme.En ligne : http://www.futuribles.com [article] Les Européens face à la mondialisation [texte imprimé] / ALLEMAND Frédéric, Auteur . - 2008 . - pp. 35-48.
Langues : Français (fre)
in Futuribles > 337 (janvier 2008) . - pp. 35-48Résumé : Le phénomène de mondialisation (des échanges, des valeurs, etc.) n'est pas récent, mais la référence au terme même s'est fortement développée ces 15 dernières années, avec des connotations plus ou moins positives selon les pays et les commentateurs. Qu'en est-il en Europe, région particulière puisque intégrée dans les domaines économique et - au moins partiellement - politique ?
Elvire Fabry et Frédéric Allemand, s'appuyant sur les résultats d'une enquête récente, présentent ici la façon dont les Européens appréhendent la mondialisation, de manière globale, selon le pays dont ils ressortissent, mais aussi selon leur âge. Ils montrent ainsi que les Européens ont une perception assez semblable de ce phénomène : synonyme d'amplification des relations commerciales entre États membres et de mobilité accrue au sein de l'Union. Ils ne notent pas de différence majeure dans l'appréciation de la mondialisation selon la classe d'âge considérée - simplement, les jeunes se révèlent un peu plus optimistes que leurs aînés. Ils analysent également la place de la mondialisation dans le débat public (clivage gauche / droite, influence de la société civile), mentionnant la position particulière de la France et l'Allemagne, pays où le sujet est nettement plus présent qu'ailleurs. Enfin, ils développent un trait dominant en Europe à l'égard de la mondialisation : la demande de régulation sur fond de renforcement des solidarités régionales, et non de protectionnisme.En ligne : http://www.futuribles.com Réservation
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Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité P1267 HUG Periodique HEM Casa Documentaires Disponible
[article]
Titre : Le poids de la Turquie en Europe Titre original : Le dynamisme démographique de la Turquie permettrait-il à ce pays de diriger l'Union européenne ? Type de document : texte imprimé Auteurs : ALLEMAND Frédéric, Auteur Année de publication : 2006 Article en page(s) : pp. 13-30 Langues : Français (fre)
in Futuribles > 318 (avril 2006) . - pp. 13-30Tags : Union européenne|Turquie|Démographie Résumé : La question de l'entrée éventuelle de la Turquie dans l'Union européenne a défrayé la chronique en 2005, s'insinuant dans le débat relatif à la Constitution européenne alors même qu'elle n'avait pas lieu d'y figurer. Indépendamment du débat politique relatif à la légitimité d'une entrée de la Turquie dans l'Union, Frédéric Allemand analyse quelles pourraient être les répercussions de son éventuelle intégration sur le fonctionnement institutionnel européen, du simple fait de son poids démographique.
S'appuyant sur différentes projections démographiques (Nations unies, Eurostat...) existant pour les différents États membres de l'Union, les futurs entrants " attendus " (Bulgarie, Roumanie, États balkaniques, etc.) et la Turquie, à l'horizon 2025, Frédéric Allemand évalue quel serait le poids de la Turquie, en nombre de votes, au Conseil des ministres, au Parlement européen et dans diverses autres instances, dans le contexte d'une Europe très élargie et dans l'hypothèse d'un maintien des dispositions régissant actuellement les processus de décision.
Comme il le souligne, la Turquie aurait effectivement le poids décisionnel d'un grand pays (le plus grand), à l'instar des quatre " grands " États membres actuels (Allemagne, France, Italie, Royaume-Uni) qui, eux, verraient alors leur poids relatif diminuer. Mais d'une part, cette baisse de poids relatif des quatre grands actuels s'inscrirait dans la tendance générale à l'oeuvre depuis une trentaine d'années. D'autre part, le poids important de la Turquie ne préjugerait pas de son influence réelle sur le processus de décision, l'expérience montrant que les grands pays suscitent une certaine méfiance qui se traduit souvent par des mises en minorité.En ligne : http://www.futuribles.com [article] Le poids de la Turquie en Europe = Le dynamisme démographique de la Turquie permettrait-il à ce pays de diriger l'Union européenne ? [texte imprimé] / ALLEMAND Frédéric, Auteur . - 2006 . - pp. 13-30.
Langues : Français (fre)
in Futuribles > 318 (avril 2006) . - pp. 13-30Tags : Union européenne|Turquie|Démographie Résumé : La question de l'entrée éventuelle de la Turquie dans l'Union européenne a défrayé la chronique en 2005, s'insinuant dans le débat relatif à la Constitution européenne alors même qu'elle n'avait pas lieu d'y figurer. Indépendamment du débat politique relatif à la légitimité d'une entrée de la Turquie dans l'Union, Frédéric Allemand analyse quelles pourraient être les répercussions de son éventuelle intégration sur le fonctionnement institutionnel européen, du simple fait de son poids démographique.
S'appuyant sur différentes projections démographiques (Nations unies, Eurostat...) existant pour les différents États membres de l'Union, les futurs entrants " attendus " (Bulgarie, Roumanie, États balkaniques, etc.) et la Turquie, à l'horizon 2025, Frédéric Allemand évalue quel serait le poids de la Turquie, en nombre de votes, au Conseil des ministres, au Parlement européen et dans diverses autres instances, dans le contexte d'une Europe très élargie et dans l'hypothèse d'un maintien des dispositions régissant actuellement les processus de décision.
Comme il le souligne, la Turquie aurait effectivement le poids décisionnel d'un grand pays (le plus grand), à l'instar des quatre " grands " États membres actuels (Allemagne, France, Italie, Royaume-Uni) qui, eux, verraient alors leur poids relatif diminuer. Mais d'une part, cette baisse de poids relatif des quatre grands actuels s'inscrirait dans la tendance générale à l'oeuvre depuis une trentaine d'années. D'autre part, le poids important de la Turquie ne préjugerait pas de son influence réelle sur le processus de décision, l'expérience montrant que les grands pays suscitent une certaine méfiance qui se traduit souvent par des mises en minorité.En ligne : http://www.futuribles.com Réservation
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Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité P1111 HUG Periodique HEM Casa Documentaires Disponible La stratégie de Lisbonne à mi-parcours. L'Europe se donne-t-elle les moyens de ses ambitions ? / ALLEMAND Frédéric in Futuribles, 310 (juillet-août 2005)
[article]
Titre : La stratégie de Lisbonne à mi-parcours. L'Europe se donne-t-elle les moyens de ses ambitions ? Type de document : texte imprimé Auteurs : ALLEMAND Frédéric, Auteur Année de publication : 2005 Article en page(s) : pp. 31-39 Langues : Français (fre)
in Futuribles > 310 (juillet-août 2005) . - pp. 31-39Résumé : Les questions européennes ont défrayé la chronique en France ces derniers mois, dans le cadre du débat portant sur la Constitution européenne soumise à référendum. Rarement, l'opinion publique s'était autant investie dans les discussions précédant une échéance électorale. Mais si cela est un signe encourageant s'agissant de la capacité des citoyens à réinvestir la " chose publique ", on peut regretter que les débats aient trop souvent éludé les questions de fond tel l'axe général que s'est fixé l'Union européenne en matière de politique économique et sociale à l'horizon 2010.
En effet, en mars 2000, lors du conseil européen de Lisbonne, les chefs d'État et de gouvernement ont adopté un large programme politique fixant des objectifs ambitieux pour l'Union à l'horizon 2010. Ce programme, rapidement baptisé " stratégie de Lisbonne ", vise à faire de l'Union européenne " l'économie de la connaissance la plus compétitive et la plus dynamique du monde " à cet horizon, au travers de multiples objectifs, chiffrés ou non, dans les domaines aussi variés que l'économie, l'emploi, l'environnement, la cohésion sociale, etc.
À mi-parcours, en 2005, où en est-on ? Les objectifs sont-ils en passe d'être réalisés ? Quelles sont les perspectives de l'Union en la matière ?
Pour répondre à ces interrogations, Futuribles a demandé à divers acteurs ou spécialistes des questions européennes de dresser un bilan à mi-parcours de la stratégie de Lisbonne. Après un rappel de la stratégie et des objectifs généraux qu'elle fixe aux États membres par Elvire Fabry et Gilbert Cette, Frédéric Allemand fait un état des lieux comparatif de la situation des différents États membres (dont la France) vis-à -vis des objectifs chiffrés de la stratégie. Comme il le souligne, le bilan se révèle mitigé pour le moment. Jean Pisani-Ferry revient quant à lui sur l'assouplissement des critères de Maastricht accordé aux États réalisant un effort notable en matière de réformes structurelles ou d'investissement dans la recherche-développement. Enfin, Marjorie Jouen montre quelles sont les perspectives budgétaires de l'Union pour 2007-2013, et en quoi elles pourraient favoriser le dynamisme économique et social de l'Union, l'aidant ainsi à réaliser les objectifs de Lisbonne.En ligne : http://www.futuribles.com [article] La stratégie de Lisbonne à mi-parcours. L'Europe se donne-t-elle les moyens de ses ambitions ? [texte imprimé] / ALLEMAND Frédéric, Auteur . - 2005 . - pp. 31-39.
Langues : Français (fre)
in Futuribles > 310 (juillet-août 2005) . - pp. 31-39Résumé : Les questions européennes ont défrayé la chronique en France ces derniers mois, dans le cadre du débat portant sur la Constitution européenne soumise à référendum. Rarement, l'opinion publique s'était autant investie dans les discussions précédant une échéance électorale. Mais si cela est un signe encourageant s'agissant de la capacité des citoyens à réinvestir la " chose publique ", on peut regretter que les débats aient trop souvent éludé les questions de fond tel l'axe général que s'est fixé l'Union européenne en matière de politique économique et sociale à l'horizon 2010.
En effet, en mars 2000, lors du conseil européen de Lisbonne, les chefs d'État et de gouvernement ont adopté un large programme politique fixant des objectifs ambitieux pour l'Union à l'horizon 2010. Ce programme, rapidement baptisé " stratégie de Lisbonne ", vise à faire de l'Union européenne " l'économie de la connaissance la plus compétitive et la plus dynamique du monde " à cet horizon, au travers de multiples objectifs, chiffrés ou non, dans les domaines aussi variés que l'économie, l'emploi, l'environnement, la cohésion sociale, etc.
À mi-parcours, en 2005, où en est-on ? Les objectifs sont-ils en passe d'être réalisés ? Quelles sont les perspectives de l'Union en la matière ?
Pour répondre à ces interrogations, Futuribles a demandé à divers acteurs ou spécialistes des questions européennes de dresser un bilan à mi-parcours de la stratégie de Lisbonne. Après un rappel de la stratégie et des objectifs généraux qu'elle fixe aux États membres par Elvire Fabry et Gilbert Cette, Frédéric Allemand fait un état des lieux comparatif de la situation des différents États membres (dont la France) vis-à -vis des objectifs chiffrés de la stratégie. Comme il le souligne, le bilan se révèle mitigé pour le moment. Jean Pisani-Ferry revient quant à lui sur l'assouplissement des critères de Maastricht accordé aux États réalisant un effort notable en matière de réformes structurelles ou d'investissement dans la recherche-développement. Enfin, Marjorie Jouen montre quelles sont les perspectives budgétaires de l'Union pour 2007-2013, et en quoi elles pourraient favoriser le dynamisme économique et social de l'Union, l'aidant ainsi à réaliser les objectifs de Lisbonne.En ligne : http://www.futuribles.com Réservation
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Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité P152 HUG Periodique HEM Casa Documentaires Disponible La stratégie de Lisbonne à mi-parcours. La France face à la stratégie de Lisbonne : un bilan mitigé / ALLEMAND Frédéric in Futuribles, 310 (juillet-août 2005)
[article]
Titre : La stratégie de Lisbonne à mi-parcours. La France face à la stratégie de Lisbonne : un bilan mitigé Type de document : texte imprimé Auteurs : ALLEMAND Frédéric, Auteur Année de publication : 2005 Article en page(s) : pp. 40-50 Langues : Français (fre)
in Futuribles > 310 (juillet-août 2005) . - pp. 40-50Résumé : Les questions européennes ont défrayé la chronique en France ces derniers mois, dans le cadre du débat portant sur la Constitution européenne soumise à référendum. Rarement, l'opinion publique s'était autant investie dans les discussions précédant une échéance électorale. Mais si cela est un signe encourageant s'agissant de la capacité des citoyens à réinvestir la " chose publique ", on peut regretter que les débats aient trop souvent éludé les questions de fond tel l'axe général que s'est fixé l'Union européenne en matière de politique économique et sociale à l'horizon 2010.
En effet, en mars 2000, lors du conseil européen de Lisbonne, les chefs d'État et de gouvernement ont adopté un large programme politique fixant des objectifs ambitieux pour l'Union à l'horizon 2010. Ce programme, rapidement baptisé " stratégie de Lisbonne ", vise à faire de l'Union européenne " l'économie de la connaissance la plus compétitive et la plus dynamique du monde " à cet horizon, au travers de multiples objectifs, chiffrés ou non, dans les domaines aussi variés que l'économie, l'emploi, l'environnement, la cohésion sociale, etc.
À mi-parcours, en 2005, où en est-on ? Les objectifs sont-ils en passe d'être réalisés ? Quelles sont les perspectives de l'Union en la matière ?
Pour répondre à ces interrogations, Futuribles a demandé à divers acteurs ou spécialistes des questions européennes de dresser un bilan à mi-parcours de la stratégie de Lisbonne. Après un rappel de la stratégie et des objectifs généraux qu'elle fixe aux États membres par Elvire Fabry et Gilbert Cette, Frédéric Allemand fait un état des lieux comparatif de la situation des différents États membres (dont la France) vis-à -vis des objectifs chiffrés de la stratégie. Comme il le souligne, le bilan se révèle mitigé pour le moment. Jean Pisani-Ferry revient quant à lui sur l'assouplissement des critères de Maastricht accordé aux États réalisant un effort notable en matière de réformes structurelles ou d'investissement dans la recherche-développement. Enfin, Marjorie Jouen montre quelles sont les perspectives budgétaires de l'Union pour 2007-2013, et en quoi elles pourraient favoriser le dynamisme économique et social de l'Union, l'aidant ainsi à réaliser les objectifs de Lisbonne.En ligne : http://www.futuribles.com [article] La stratégie de Lisbonne à mi-parcours. La France face à la stratégie de Lisbonne : un bilan mitigé [texte imprimé] / ALLEMAND Frédéric, Auteur . - 2005 . - pp. 40-50.
Langues : Français (fre)
in Futuribles > 310 (juillet-août 2005) . - pp. 40-50Résumé : Les questions européennes ont défrayé la chronique en France ces derniers mois, dans le cadre du débat portant sur la Constitution européenne soumise à référendum. Rarement, l'opinion publique s'était autant investie dans les discussions précédant une échéance électorale. Mais si cela est un signe encourageant s'agissant de la capacité des citoyens à réinvestir la " chose publique ", on peut regretter que les débats aient trop souvent éludé les questions de fond tel l'axe général que s'est fixé l'Union européenne en matière de politique économique et sociale à l'horizon 2010.
En effet, en mars 2000, lors du conseil européen de Lisbonne, les chefs d'État et de gouvernement ont adopté un large programme politique fixant des objectifs ambitieux pour l'Union à l'horizon 2010. Ce programme, rapidement baptisé " stratégie de Lisbonne ", vise à faire de l'Union européenne " l'économie de la connaissance la plus compétitive et la plus dynamique du monde " à cet horizon, au travers de multiples objectifs, chiffrés ou non, dans les domaines aussi variés que l'économie, l'emploi, l'environnement, la cohésion sociale, etc.
À mi-parcours, en 2005, où en est-on ? Les objectifs sont-ils en passe d'être réalisés ? Quelles sont les perspectives de l'Union en la matière ?
Pour répondre à ces interrogations, Futuribles a demandé à divers acteurs ou spécialistes des questions européennes de dresser un bilan à mi-parcours de la stratégie de Lisbonne. Après un rappel de la stratégie et des objectifs généraux qu'elle fixe aux États membres par Elvire Fabry et Gilbert Cette, Frédéric Allemand fait un état des lieux comparatif de la situation des différents États membres (dont la France) vis-à -vis des objectifs chiffrés de la stratégie. Comme il le souligne, le bilan se révèle mitigé pour le moment. Jean Pisani-Ferry revient quant à lui sur l'assouplissement des critères de Maastricht accordé aux États réalisant un effort notable en matière de réformes structurelles ou d'investissement dans la recherche-développement. Enfin, Marjorie Jouen montre quelles sont les perspectives budgétaires de l'Union pour 2007-2013, et en quoi elles pourraient favoriser le dynamisme économique et social de l'Union, l'aidant ainsi à réaliser les objectifs de Lisbonne.En ligne : http://www.futuribles.com Réservation
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