[article] 
inMaghreb-Machrek > 213 (automne 2012) . - pp. 117-136

Titre :	Méditerranée : culture à la dérive, cultures sur les deux rives ou culture des deux rives
Type de document :	texte imprimé
Auteurs :	Soufyane Frimousse, Auteur
Année de publication :	2012
Article en page(s) :	pp. 117-136
Langues :	Français (fre)
Résumé :	Cette communication invite à penser la Méditerranée des deux rives en décentrant nos regards et en interrogeant nos certitudes. Une incitation à découvrir ou à redécouvrir la Méditerranée telle qu’elle est. La Méditerranée englobe un héritage commun mais fracturé par de nombreux conflits à travers les siècles. Les rencontres soudent mais elles séparent également ! Assimiler cette complexité dans les études des relations entre les deux rives permet de mieux discerner leurs évolutions et leurs mutations. Par-delà les peurs, les angoisses, les rejets et les inquiétudes, n’existe-t-il pas un nouvel horizon culturel en Méditerranée ? Quelle forme d’organisation managériale est possible en regard des références culturelles et du substrat de valeurs de la Méditerranée ? Notre réflexion s’appuie sur les dimensions culturelles, intellectuelles, économiques et managériales dans le monde méditerranéen en l’insérant dans un cadre historique, géo-stratégique et socio-politique.
Note de contenu :	Introduction Les cultures entre les rives de la Méditerranée Un mythe unitaire : de la scène illuminée du dialogue interculturel… … aux réalités : des cultures éloignées, traumatisées et divisées Malgré ces failles… un éthos culturel méditerranéen Un « air de famille » Des barrières poreuses L’hypermodernité : une demande de Méditerranée ? De la modernité à la hypermodernité L’hybridation : rendre sa dimension humaine à l’homme Conclusion

[article] Méditerranée : culture à la dérive, cultures sur les deux rives ou culture des deux rives [texte imprimé] / Soufyane Frimousse, Auteur . - 2012 . - pp. 117-136.
Langues : Français (fre)
inMaghreb-Machrek > 213 (automne 2012) . - pp. 117-136

Résumé :

Cette communication invite à penser la Méditerranée des deux rives en décentrant nos regards et en interrogeant nos certitudes. Une incitation à découvrir ou à redécouvrir la Méditerranée telle qu’elle est. La Méditerranée englobe un héritage commun mais fracturé par de nombreux conflits à travers les siècles. Les rencontres soudent mais elles séparent également ! Assimiler cette complexité dans les études des relations entre les deux rives permet de mieux discerner leurs évolutions et leurs mutations. Par-delà les peurs, les angoisses, les rejets et les inquiétudes, n’existe-t-il pas un nouvel horizon culturel en Méditerranée ? Quelle forme d’organisation managériale est possible en regard des références culturelles et du substrat de valeurs de la Méditerranée ? Notre réflexion s’appuie sur les dimensions culturelles, intellectuelles, économiques et managériales dans le monde méditerranéen en l’insérant dans un cadre historique, géo-stratégique et socio-politique.

Note de contenu :

Introduction Les cultures entre les rives de la Méditerranée Un mythe unitaire : de la scène illuminée du dialogue interculturel… … aux réalités : des cultures éloignées, traumatisées et divisées Malgré ces failles… un éthos culturel méditerranéen Un « air de famille » Des barrières poreuses L’hypermodernité : une demande de Méditerranée ? De la modernité à la hypermodernité L’hybridation : rendre sa dimension humaine à l’homme Conclusion

[article] 
inMaghreb-Machrek > 213 (automne 2012) . - pp. 99-116

Titre :	Le moment électoral de 1954 en Irak et en Syrie
Type de document :	texte imprimé
Auteurs :	Matthieu Rey, Auteur
Année de publication :	2012
Article en page(s) :	pp. 99-116
Langues :	Français (fre)
Résumé :	Au cours de l’année 1954, l’Irak et la Syrie connaissent toutes deux des élections législatives, saluées pour le climat de liberté, auxquelles de nombreuses composantes politiques adverses participent. Pour la première fois, campagnes électorales et scrutins se déroulent selon les règles du pluralisme. Pour comprendre ces élections, il est nécessaire de restituer un « moment » électoral. Plutôt que de limiter l’analyse à un décompte des participations et des scores obtenus, ces deux élections sont l’occasion de rendre compte de l’institutionnalisation et de l’acquisition progressives de pratiques spécifiques à l’égard du vote depuis la fin de l’empire Ottoman. En outre, le contexte de ces deux scrutins démontre une demande d’élections, dans le sens où, de manière convergente, les différents protagonistes politiques, ministres, membres de l’exécutif, parlementaires, groupes d’opposition, réclament la tenue d’élection perçue comme le moyen de départager des forces concurrentes. Enfin, après le décompte des résultats, le sens du scrutin se construit dans la concurrence des différentes forces en présence, modifiant, de manière plus ou moins importante, les conséquences électorales. Obtenir la majorité des voix ne signifie pas remporter l’élection. Il est nécessaire de construire une victoire dans les institutions.

[article] Le moment électoral de 1954 en Irak et en Syrie [texte imprimé] / Matthieu Rey, Auteur . - 2012 . - pp. 99-116.
Langues : Français (fre)
inMaghreb-Machrek > 213 (automne 2012) . - pp. 99-116

Résumé :

Au cours de l’année 1954, l’Irak et la Syrie connaissent toutes deux des élections législatives, saluées pour le climat de liberté, auxquelles de nombreuses composantes politiques adverses participent. Pour la première fois, campagnes électorales et scrutins se déroulent selon les règles du pluralisme. Pour comprendre ces élections, il est nécessaire de restituer un « moment » électoral. Plutôt que de limiter l’analyse à un décompte des participations et des scores obtenus, ces deux élections sont l’occasion de rendre compte de l’institutionnalisation et de l’acquisition progressives de pratiques spécifiques à l’égard du vote depuis la fin de l’empire Ottoman. En outre, le contexte de ces deux scrutins démontre une demande d’élections, dans le sens où, de manière convergente, les différents protagonistes politiques, ministres, membres de l’exécutif, parlementaires, groupes d’opposition, réclament la tenue d’élection perçue comme le moyen de départager des forces concurrentes. Enfin, après le décompte des résultats, le sens du scrutin se construit dans la concurrence des différentes forces en présence, modifiant, de manière plus ou moins importante, les conséquences électorales. Obtenir la majorité des voix ne signifie pas remporter l’élection. Il est nécessaire de construire une victoire dans les institutions.

[article] 
inMaghreb-Machrek > 213 (automne 2012) . - pp. 83-98

Titre :	La construction d’un territoire kurde en Syrie : un processus en cours
Type de document :	texte imprimé
Auteurs :	Cyril Roussel, Auteur
Année de publication :	2012
Article en page(s) :	pp. 83-98
Langues :	Français (fre)
Résumé :	Cet article cherche à montrer pourquoi les Kurdes se sont désolidarisés du mouvement de contestation qui demande, sans projet précis et donc sans garantie pour les minorités pour l’après Bachar el-Assad, la chute du régime. Et pourtant, les Kurdes ont longtemps constitué l’opposition la plus active au régime. Si les raisons peuvent s’expliquer par un calcul stratégique, l’effet sur l’espace syrien est immédiat : conquête et contrôle par les Kurdes d’un territoire – certes encore mal délimité mais en construction ; refus de l’ALS sur leur territoire et donc prise de distance avec l’opposition du CNS ; garantie de protection par rapport aux représailles du régime. Une des conséquences de cette dynamique de construction d’un territoire communautaire kurde dans le Nord de la Syrie demeure la mise en marche d’un processus de fragmentation du pays sur des lignes communautaires.
Note de contenu :	Introduction Les Kurdes de Syrie : une minorité non-arabe longtemps marginalisée dans l’absence d’un référent territorial La révolte de 2011 et la création du CNKS : un projet politico-communautaire sur un territoire encore flou Le PYD ou la stratégie de contrôle du territoire kurde en Syrie Alliance CNKS-PYD : un acte fondateur dans le processus de contrôle politique du territoire Conclusion

[article] La construction d’un territoire kurde en Syrie : un processus en cours [texte imprimé] / Cyril Roussel, Auteur . - 2012 . - pp. 83-98.
Langues : Français (fre)
inMaghreb-Machrek > 213 (automne 2012) . - pp. 83-98

Résumé :

Cet article cherche à montrer pourquoi les Kurdes se sont désolidarisés du mouvement de contestation qui demande, sans projet précis et donc sans garantie pour les minorités pour l’après Bachar el-Assad, la chute du régime. Et pourtant, les Kurdes ont longtemps constitué l’opposition la plus active au régime. Si les raisons peuvent s’expliquer par un calcul stratégique, l’effet sur l’espace syrien est immédiat : conquête et contrôle par les Kurdes d’un territoire – certes encore mal délimité mais en construction ; refus de l’ALS sur leur territoire et donc prise de distance avec l’opposition du CNS ; garantie de protection par rapport aux représailles du régime. Une des conséquences de cette dynamique de construction d’un territoire communautaire kurde dans le Nord de la Syrie demeure la mise en marche d’un processus de fragmentation du pays sur des lignes communautaires.

Note de contenu :

Introduction Les Kurdes de Syrie : une minorité non-arabe longtemps marginalisée dans l’absence d’un référent territorial La révolte de 2011 et la création du CNKS : un projet politico-communautaire sur un territoire encore flou Le PYD ou la stratégie de contrôle du territoire kurde en Syrie Alliance CNKS-PYD : un acte fondateur dans le processus de contrôle politique du territoire Conclusion

[article] 
inMaghreb-Machrek > 213 (automne 2012) . - pp. 65-81

Titre :	Révolution et violence en Syrie : l’héritage des Frères musulmans
Type de document :	texte imprimé
Auteurs :	Raphaël Lefèvre, Auteur
Année de publication :	2012
Article en page(s) :	pp. 65-81
Langues :	Français (fre)
Résumé :	Cet article vise à éclairer l’actuelle stratégie des Frères musulmans a l’égard du régime syrien et ce à la lumière de l’opposition violente qui l’anima envers le Baas au cours des années 1970 et 1980. Depuis que le massacre de Hama, en février 1982, a décimé ses rangs et envoyé en exil le restant de ses membres, la confrérie a toujours lutté, et ce parfois douloureusement, pour garder une mesure d’importance dans le jeu politique syrien. La crise actuelle lui offre une opportunité unique de revenir sur le devant de la scène. Mais les Frères syriens devront aussi compter sur un lourd passé qu’il leur faudra bien un jour expliquer ainsi que sur de puissants clivages internes résultant d’une histoire parfois turbulente. En s’appuyant sur les témoignages exclusifs des dirigeants de la confrérie ainsi que sur des archives et les mémoires d’anciens djihadistes, l’auteur entreprend de faire la lumière sur la trajectoire suivie depuis les années 1980 par une organisation souvent citée comme représentant l’alternative la plus crédible au régime de Bashar al-Assad mais dont l’histoire récente demeure cependant fort peu étudiée dans le champ de la recherche universitaire en France comme à l’étranger.
Note de contenu :	La radicalisation islamiste des années 1970 L’échec du djihad contre Hafez al-Assad Une longue traversée du désert Le retour des Frères en Syrie ?

[article] Révolution et violence en Syrie : l’héritage des Frères musulmans [texte imprimé] / Raphaël Lefèvre, Auteur . - 2012 . - pp. 65-81.
Langues : Français (fre)
inMaghreb-Machrek > 213 (automne 2012) . - pp. 65-81

Résumé :

Cet article vise à éclairer l’actuelle stratégie des Frères musulmans a l’égard du régime syrien et ce à la lumière de l’opposition violente qui l’anima envers le Baas au cours des années 1970 et 1980. Depuis que le massacre de Hama, en février 1982, a décimé ses rangs et envoyé en exil le restant de ses membres, la confrérie a toujours lutté, et ce parfois douloureusement, pour garder une mesure d’importance dans le jeu politique syrien. La crise actuelle lui offre une opportunité unique de revenir sur le devant de la scène. Mais les Frères syriens devront aussi compter sur un lourd passé qu’il leur faudra bien un jour expliquer ainsi que sur de puissants clivages internes résultant d’une histoire parfois turbulente. En s’appuyant sur les témoignages exclusifs des dirigeants de la confrérie ainsi que sur des archives et les mémoires d’anciens djihadistes, l’auteur entreprend de faire la lumière sur la trajectoire suivie depuis les années 1980 par une organisation souvent citée comme représentant l’alternative la plus crédible au régime de Bashar al-Assad mais dont l’histoire récente demeure cependant fort peu étudiée dans le champ de la recherche universitaire en France comme à l’étranger.

Note de contenu :

La radicalisation islamiste des années 1970 L’échec du djihad contre Hafez al-Assad Une longue traversée du désert Le retour des Frères en Syrie ?

[article] 
inMaghreb-Machrek > 213 (automne 2012) . - pp. 51-63

Titre :	Le Conseil national syrien : genèse, développement et défis
Type de document :	texte imprimé
Auteurs :	Ignacio Álvarez-Ossorio, Auteur
Année de publication :	2012
Article en page(s) :	pp. 51-63
Langues :	Français (fre)
Résumé :	Cet article analyse les dynamiques d’action du Conseil national syrien, la principale plateforme d’opposition au régime de Bachar al-Assad depuis le début de la révolte populaire du 15 mars 2011. Il s’arrête, aussi, sur la relation qu’il entretient avec les Comités de coordination locale, l’Armée syrienne libre et les personnalités indépendantes de l’intérieur. En dernier ressort, l’article prétend répondre à la question de savoir si ce Conseil a été capable de regrouper tous les secteurs de l’hétérogène opposition autour d’un programme d’action commune et s’il sera capable d’établir les bases d’un État civil, pluriel et démocratique au cas où le régime serait démis. Bien que la création de la coalition nationale des forces de la révolution et de l’opposition syrienne, le programme politique du CNS reste valable et peut servir de feuille de route pour la Syrie de l’après-Assad.
Note de contenu :	Introduction Genèse et composition du Conseil national syrien Le CNS : révolte civile ou militaire ? Le CNS face aux initiatives de la Ligue arabe et des Nations unies La domination islamiste du CNS Vers un nouveau CNS ? Le CNS et le facteur kurde Conclusion

[article] Le Conseil national syrien : genèse, développement et défis [texte imprimé] / Ignacio Álvarez-Ossorio, Auteur . - 2012 . - pp. 51-63.
Langues : Français (fre)
inMaghreb-Machrek > 213 (automne 2012) . - pp. 51-63

Résumé :

Cet article analyse les dynamiques d’action du Conseil national syrien, la principale plateforme d’opposition au régime de Bachar al-Assad depuis le début de la révolte populaire du 15 mars 2011. Il s’arrête, aussi, sur la relation qu’il entretient avec les Comités de coordination locale, l’Armée syrienne libre et les personnalités indépendantes de l’intérieur. En dernier ressort, l’article prétend répondre à la question de savoir si ce Conseil a été capable de regrouper tous les secteurs de l’hétérogène opposition autour d’un programme d’action commune et s’il sera capable d’établir les bases d’un État civil, pluriel et démocratique au cas où le régime serait démis. Bien que la création de la coalition nationale des forces de la révolution et de l’opposition syrienne, le programme politique du CNS reste valable et peut servir de feuille de route pour la Syrie de l’après-Assad.

Note de contenu :

Introduction Genèse et composition du Conseil national syrien Le CNS : révolte civile ou militaire ? Le CNS face aux initiatives de la Ligue arabe et des Nations unies La domination islamiste du CNS Vers un nouveau CNS ? Le CNS et le facteur kurde Conclusion

[article] 
inMaghreb-Machrek > 213 (automne 2012) . - pp. 37-49

Titre :	Pour une nouvelle conception de la Syrie : le renversement de l’image de l’État et du régime
Type de document :	texte imprimé
Auteurs :	Adam Almqvist, Auteur
Année de publication :	2012
Article en page(s) :	pp. 37-49
Langues :	Français (fre)
Résumé :	En développant son analyse à partir d’une recherche sur le terrain qui étudie la situation des réfugiés syriens au Caire, cet article examine les nouvelles approches des notions d’État et de régime chez les acteurs du mouvement de protestation syrien. L’analyse de sa rhétorique et de ses tactiques permet de repérer les différents efforts du mouvement de protestation pour déconstruire le “langage étatique” du régime. Les mécanismes institutionnels de formation étatique en Syrie ont été associés à l’adoption de nouveaux signifiants aptes à lier irrévocablement la position du régime à celle de l’État. Dans cet effort, la capacité du régime à contrôler la production, la circulation et la consommation de signes, symboles et discours a permis la création de technologies au service du pouvoir. Le point fort de la stratégie de ce mouvement consiste à dissocier le régime de l’État au sens le plus large tirant parti des failles entre les techniques d’autoreprésentation du régime et ses manifestations quotidiennes. Cette stratégie inclue la subversion des cultes de la personnalité du président, l’appropriation et la réorganisation de la rhétorique du régime, l’exploitation du discours blasphématoire et la réévaluation des fondements de son autorité.
Note de contenu :	Introduction Construction et subversion de l’image de l’État L’acquisition de méthodes évolutives de résistance La politique de la désignation et de l’individualisation de l’État L’exploitation d’un pouvoir étatique profane Le bouleversement du culte de la personnalité présidentiel : ridicule, imprécation, éreintement L’appropriation et la réorganisation de la rhétorique du régime Délégitimation du slogan du « bastion de la résistance » : pas une seule balle sur le Golan Régime = voleur ; classe, traité de dépossession, Rami Makhlouf Conclusion

[article] Pour une nouvelle conception de la Syrie : le renversement de l’image de l’État et du régime [texte imprimé] / Adam Almqvist, Auteur . - 2012 . - pp. 37-49.
Langues : Français (fre)
inMaghreb-Machrek > 213 (automne 2012) . - pp. 37-49

Résumé :

En développant son analyse à partir d’une recherche sur le terrain qui étudie la situation des réfugiés syriens au Caire, cet article examine les nouvelles approches des notions d’État et de régime chez les acteurs du mouvement de protestation syrien. L’analyse de sa rhétorique et de ses tactiques permet de repérer les différents efforts du mouvement de protestation pour déconstruire le “langage étatique” du régime. Les mécanismes institutionnels de formation étatique en Syrie ont été associés à l’adoption de nouveaux signifiants aptes à lier irrévocablement la position du régime à celle de l’État. Dans cet effort, la capacité du régime à contrôler la production, la circulation et la consommation de signes, symboles et discours a permis la création de technologies au service du pouvoir. Le point fort de la stratégie de ce mouvement consiste à dissocier le régime de l’État au sens le plus large tirant parti des failles entre les techniques d’autoreprésentation du régime et ses manifestations quotidiennes. Cette stratégie inclue la subversion des cultes de la personnalité du président, l’appropriation et la réorganisation de la rhétorique du régime, l’exploitation du discours blasphématoire et la réévaluation des fondements de son autorité.

Note de contenu :

Introduction Construction et subversion de l’image de l’État L’acquisition de méthodes évolutives de résistance La politique de la désignation et de l’individualisation de l’État L’exploitation d’un pouvoir étatique profane Le bouleversement du culte de la personnalité présidentiel : ridicule, imprécation, éreintement L’appropriation et la réorganisation de la rhétorique du régime Délégitimation du slogan du « bastion de la résistance » : pas une seule balle sur le Golan Régime = voleur ; classe, traité de dépossession, Rami Makhlouf Conclusion

[article] 
inMaghreb-Machrek > 213 (automne 2012) . - pp. 25-36

Titre :	L’avenir des relations syro-libanaises
Type de document :	texte imprimé
Auteurs :	Pierre Berthelot, Auteur
Année de publication :	2012
Article en page(s) :	pp. 25-36
Langues :	Français (fre)
Résumé :	L’insurrection violente que connaît la Syrie depuis mars 2011 a très rapidement trouvé un prolongement au Liban. Après avoir rappelé ses conséquences, les différentes hypothèses susceptibles de s’imposer en Syrie seront étudiées (effondrement suivi d’une alternance islamiste, anarchie sans vainqueur ni vaincu, maintien a minima du régime) et surtout la façon dont elles pourront ou non impacter l’importance des relations avec le pays du Cèdre.
Note de contenu :	Introduction Un passé tourmenté et un présent tragique Un passé tourmenté Un présent tragique Les hypothèses futures Chute du régime et alternative islamiste Ni vainqueur ni vaincu ou maintien a minima du régime ? Conclusion

[article] L’avenir des relations syro-libanaises [texte imprimé] / Pierre Berthelot, Auteur . - 2012 . - pp. 25-36.
Langues : Français (fre)
inMaghreb-Machrek > 213 (automne 2012) . - pp. 25-36

Résumé :

L’insurrection violente que connaît la Syrie depuis mars 2011 a très rapidement trouvé un prolongement au Liban. Après avoir rappelé ses conséquences, les différentes hypothèses susceptibles de s’imposer en Syrie seront étudiées (effondrement suivi d’une alternance islamiste, anarchie sans vainqueur ni vaincu, maintien a minima du régime) et surtout la façon dont elles pourront ou non impacter l’importance des relations avec le pays du Cèdre.

Note de contenu :

Introduction Un passé tourmenté et un présent tragique Un passé tourmenté Un présent tragique Les hypothèses futures Chute du régime et alternative islamiste Ni vainqueur ni vaincu ou maintien a minima du régime ? Conclusion

[article] 
inMaghreb-Machrek > 213 (automne 2012) . - pp. 9-24

Titre :	Le soulèvement syrien et son impact sur les relations turco-syriennes
Type de document :	texte imprimé
Auteurs :	Meliha Altunisik, Auteur
Année de publication :	2012
Article en page(s) :	pp. 9-24
Langues :	Français (fre)
Résumé :	Cet article analyse les relations de la Turquie avec la Syrie depuis mars 2011, date du début du soulèvement syrien. Après avoir rappelé les années 2000 durant lesquelles les relations turco-syriennes se renforcèrent, ce papier se concentre sur la position de la Turquie face aux développements de la crise syrienne. Il montre que ce soulèvement a eu un rôle important menant au dévoilement des limites de l’étroite relation entre les deux pays dans la décennie 2000, soulignant ainsi la faiblesse de la politique moyen-orientale de la Turquie, comme créant de grands défis pour la politique turque tant étrangère qu’intérieure.
Note de contenu :	Introduction Le contexte historique La Turquie et le soulèvement syrien Les défis à la politique turque et à sa politique étrangère En conclusion

[article] Le soulèvement syrien et son impact sur les relations turco-syriennes [texte imprimé] / Meliha Altunisik, Auteur . - 2012 . - pp. 9-24.
Langues : Français (fre)
inMaghreb-Machrek > 213 (automne 2012) . - pp. 9-24

Résumé :

Cet article analyse les relations de la Turquie avec la Syrie depuis mars 2011, date du début du soulèvement syrien. Après avoir rappelé les années 2000 durant lesquelles les relations turco-syriennes se renforcèrent, ce papier se concentre sur la position de la Turquie face aux développements de la crise syrienne. Il montre que ce soulèvement a eu un rôle important menant au dévoilement des limites de l’étroite relation entre les deux pays dans la décennie 2000, soulignant ainsi la faiblesse de la politique moyen-orientale de la Turquie, comme créant de grands défis pour la politique turque tant étrangère qu’intérieure.

Note de contenu :

Introduction Le contexte historique La Turquie et le soulèvement syrien Les défis à la politique turque et à sa politique étrangère En conclusion