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Faire une suggestion Affiner la recherche Interroger des sources externesFavoriser la création d'entreprises de biotechnologie en France : le rôle du capital-risque / Remont Sophie in La Revue du Financier, 129-130 (2001)
[article]
Titre : Favoriser la création d'entreprises de biotechnologie en France : le rôle du capital-risque Type de document : texte imprimé Auteurs : Remont Sophie, Auteur Année de publication : 2001 Article en page(s) : pp. 99-111 Langues : Français (fre)
in La Revue du Financier > 129-130 (2001) . - pp. 99-111Résumé : Les biotechnologies ont transformé la stratégie de recherche des groupes pharmaceutiques et ouvert une voie de développement de sociétés spécialisées. La nouvelle dynamique observée en France dans la création d'entreprises innovantes touche également le secteur des biotechnologies. Or, le capital-risque est un mode de financement bien adapté aux jeunes entreprises de biotechnologies, et l'offre de capital-risque en France et en Europe s'est considérablement accrue et permet aujourd'hui la réalisation de projets plus ambitieux. Mais les montants investis aujourd'hui par le capital-risque dans les biotechnologies restent aujourd'hui modestes si on les compare à ceux investis dans les technologies de l'information et de la communication. Et le poids de la biotechnologie dans le capital-investissement est plus important en Allemagne et au Royaume-Uni qu'en France. Par ailleurs, l'avance des Etats-Unis en terme de montants investis reste considérable tout particulièrement dans les secteurs à dominante technologique. En France l'ةtat mène une politique active en faveur du capital-risque, et les FCPI ont permis d'orienter efficacement une partie de l'épargne des particuliers vers des investissements à risque. De plus, le fonds public pour le capital-risque a permis d'accompagner le renouveau de l'offre de capital-risque. Les conditions d'un enchaînement vertueux sont donc aujourd'hui réunies, le développement des incubateurs et des fonds d'amorçage permettant l'émergence d'un plus grand nombre de projets. On sait que l'accompagnement des porteurs de projets dans les phases amont est essentiel dans le domaine des biotechnologies, et une mobilisation nouvelle s'est organisée autour du financement des phases amont. Le développement de projets coopératifs est également encouragé. Conclusion : poursuivie avec ténacité, l'orientation prise, en France et plus généralement en Europe, d'une politique active de soutien à l'innovation et à l'initiative privée peut nous permettre de surmonter nos handicaps. Pour préparer et accompagner l'émergence de cette « g-économie », en utilisant les atouts dont nous disposons, un accent tout particulier devra être mis sur les biotechnologies dans les prochaines années. [article] Favoriser la création d'entreprises de biotechnologie en France : le rôle du capital-risque [texte imprimé] / Remont Sophie, Auteur . - 2001 . - pp. 99-111.
Langues : Français (fre)
in La Revue du Financier > 129-130 (2001) . - pp. 99-111Résumé : Les biotechnologies ont transformé la stratégie de recherche des groupes pharmaceutiques et ouvert une voie de développement de sociétés spécialisées. La nouvelle dynamique observée en France dans la création d'entreprises innovantes touche également le secteur des biotechnologies. Or, le capital-risque est un mode de financement bien adapté aux jeunes entreprises de biotechnologies, et l'offre de capital-risque en France et en Europe s'est considérablement accrue et permet aujourd'hui la réalisation de projets plus ambitieux. Mais les montants investis aujourd'hui par le capital-risque dans les biotechnologies restent aujourd'hui modestes si on les compare à ceux investis dans les technologies de l'information et de la communication. Et le poids de la biotechnologie dans le capital-investissement est plus important en Allemagne et au Royaume-Uni qu'en France. Par ailleurs, l'avance des Etats-Unis en terme de montants investis reste considérable tout particulièrement dans les secteurs à dominante technologique. En France l'ةtat mène une politique active en faveur du capital-risque, et les FCPI ont permis d'orienter efficacement une partie de l'épargne des particuliers vers des investissements à risque. De plus, le fonds public pour le capital-risque a permis d'accompagner le renouveau de l'offre de capital-risque. Les conditions d'un enchaînement vertueux sont donc aujourd'hui réunies, le développement des incubateurs et des fonds d'amorçage permettant l'émergence d'un plus grand nombre de projets. On sait que l'accompagnement des porteurs de projets dans les phases amont est essentiel dans le domaine des biotechnologies, et une mobilisation nouvelle s'est organisée autour du financement des phases amont. Le développement de projets coopératifs est également encouragé. Conclusion : poursuivie avec ténacité, l'orientation prise, en France et plus généralement en Europe, d'une politique active de soutien à l'innovation et à l'initiative privée peut nous permettre de surmonter nos handicaps. Pour préparer et accompagner l'émergence de cette « g-économie », en utilisant les atouts dont nous disposons, un accent tout particulier devra être mis sur les biotechnologies dans les prochaines années. Réservation
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