[article] | Titre : | La coopération dans un processus de réferenciation (benchmarking) | | Type de document : | texte imprimé | | Auteurs : | Jean-Luc Maire, Auteur | | Année de publication : | 2012 | | Article en page(s) : | p. 97-107 | | Langues : | Français (fre) |
in La Revue des Sciences de Gestion > 188-189 (mars-juin 2001) . - p. 97-107| Catégories : | MARKETING
| | Résumé : | Parmi les démarches qui peuvent aider une entreprise à améliorer sa performance, le benchmarking est celle qui s'impose actuellement - si l'on se réfère à ce qui se passe dans de nombreuses entreprises américaines et japonaises - comme l'une des plus efficaces. En Europe au contraire, le benchmarking ne connaît qu'un développement très limité. En effet, la plupart des benchmarkings pratiqués se font généralement en direction des concurrents directs ou vers des entreprises reconnues comme leaders dans leur métier, et donc, dans un contexte où les partenaires impliqués sont peu, voire pas, enclins à partager leurs connaissances. L'étude ci-après met en avant l'intérêt d'un processus de benchmarking basée sur une attitude beaucoup plus coopérative des partenaires. Cette attitude ne parvenant que très rarement à s'imposer d'elle-même, nous décrivons ici, sans toutefois prétendre à l'exhaustivité, quelques-unes une des conditions susceptibles de favoriser l'apparition et le maintien d'une coopération dans le cadre d'un benchmarking.
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[article] La coopération dans un processus de réferenciation (benchmarking) [texte imprimé] / Jean-Luc Maire, Auteur . - 2012 . - p. 97-107. Langues : Français ( fre)
in La Revue des Sciences de Gestion > 188-189 (mars-juin 2001) . - p. 97-107| Catégories : | MARKETING
| | Résumé : | Parmi les démarches qui peuvent aider une entreprise à améliorer sa performance, le benchmarking est celle qui s'impose actuellement - si l'on se réfère à ce qui se passe dans de nombreuses entreprises américaines et japonaises - comme l'une des plus efficaces. En Europe au contraire, le benchmarking ne connaît qu'un développement très limité. En effet, la plupart des benchmarkings pratiqués se font généralement en direction des concurrents directs ou vers des entreprises reconnues comme leaders dans leur métier, et donc, dans un contexte où les partenaires impliqués sont peu, voire pas, enclins à partager leurs connaissances. L'étude ci-après met en avant l'intérêt d'un processus de benchmarking basée sur une attitude beaucoup plus coopérative des partenaires. Cette attitude ne parvenant que très rarement à s'imposer d'elle-même, nous décrivons ici, sans toutefois prétendre à l'exhaustivité, quelques-unes une des conditions susceptibles de favoriser l'apparition et le maintien d'une coopération dans le cadre d'un benchmarking.
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