[article] | Titre : | Risque et création de valeur : faut-il revoir l'hypothèse d'une relation positive ? | | Type de document : | texte imprimé | | Auteurs : | Grégory Denglo, Auteur | | Année de publication : | 2007 | | Article en page(s) : | p. 89 | | Langues : | Français (fre) |
in La Revue des Sciences de Gestion > 226-227 (juillet-octobre 2007) . - p. 89| Catégories : | FINANCE D'ENTREPRISE
| | Tags : | management, risque, création de valeur, rentabilité, paradoxe, secteurs. | | Résumé : | Il va de soi, pour un grand nombre d'économistes, de psychologues ou de gestionnaires que l'individu, supposé prudent, table sur un profit croissant pour des progressions de risque égales. Aujourd'hui pourtant la relation économique entre risque et profit est profondément discutée, depuis que Bowman (1980) a démontré une corrélation négative sur large échantillon d'entreprises américaines. Dans une deuxième étude empirique, Bowman (1982) montre que les directeurs généraux à la tête des groupes les moins brillants, aux profits en-dessous de la médiane sectorielle, s'engagent par la suite dans des stratégies plus risquées que celles de leurs pairs. De telles découvertes ont incité d'autres chercheurs a testé la validité du paradoxe sur les marchés financiers. Néanmoins, ils ont jusqu'à présent confirmé l'existence d'une prime de risque, conformément à l'hypothèse d'aversion au risque chez l'investisseur. L'objectif de cet article est de revenir sur les fondements de la découverte de Bowman, puis d'en tester la portée sur des groupes français des services et de l'industrie. Les résultats de deux études qui concernent les groupes français et qui découlent de mesures comptables et boursières sont synthétisés. Dans un dernier temps, les implications, les limites et les perspectives de recherche sont discutées. Mots-clés : management, risque, création de valeur, rentabilité, paradoxe, secteurs. |
[article] Risque et création de valeur : faut-il revoir l'hypothèse d'une relation positive ? [texte imprimé] / Grégory Denglo, Auteur . - 2007 . - p. 89. Langues : Français ( fre)
in La Revue des Sciences de Gestion > 226-227 (juillet-octobre 2007) . - p. 89| Catégories : | FINANCE D'ENTREPRISE
| | Tags : | management, risque, création de valeur, rentabilité, paradoxe, secteurs. | | Résumé : | Il va de soi, pour un grand nombre d'économistes, de psychologues ou de gestionnaires que l'individu, supposé prudent, table sur un profit croissant pour des progressions de risque égales. Aujourd'hui pourtant la relation économique entre risque et profit est profondément discutée, depuis que Bowman (1980) a démontré une corrélation négative sur large échantillon d'entreprises américaines. Dans une deuxième étude empirique, Bowman (1982) montre que les directeurs généraux à la tête des groupes les moins brillants, aux profits en-dessous de la médiane sectorielle, s'engagent par la suite dans des stratégies plus risquées que celles de leurs pairs. De telles découvertes ont incité d'autres chercheurs a testé la validité du paradoxe sur les marchés financiers. Néanmoins, ils ont jusqu'à présent confirmé l'existence d'une prime de risque, conformément à l'hypothèse d'aversion au risque chez l'investisseur. L'objectif de cet article est de revenir sur les fondements de la découverte de Bowman, puis d'en tester la portée sur des groupes français des services et de l'industrie. Les résultats de deux études qui concernent les groupes français et qui découlent de mesures comptables et boursières sont synthétisés. Dans un dernier temps, les implications, les limites et les perspectives de recherche sont discutées. Mots-clés : management, risque, création de valeur, rentabilité, paradoxe, secteurs. |
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