[article] 
inLa Revue du Financier > 190-191 (juillet-octobre 2011) . - pp. 110-124

Titre :	Clarification sémantique du concept de criminalité en col blanc
Type de document :	texte imprimé
Auteurs :	Manouk Vonny, Auteur
Année de publication :	2011
Article en page(s) :	pp. 110-124
Langues :	Français (fre)
Résumé :	L'absence de consensus permettant de fixer le statut du concept de « criminalité en col blanc », établi en son temps par Sutherland, a accru les confusions sémantiques autour de l'expression livrée désormais au relativisme de chacun. Face à cette rupture de représentativité, l'urgence d'une clarification s'impose. Au-delà de l'avantage immédiat sur les discours normatifs relatifs au rôle équivoque des financiers, le bénéfice en matière de prévention et de lutte n'est pas négligeable. Car pour mesurer un phénomène, il convient de pouvoir le désigner avec précision. Devant l'incapacité actuelle de satisfaire à cette exigence, nous proposons de rétablir le terme dans son espace de définition.
En ligne :	http://www.revuedufinancier.fr

[article] Clarification sémantique du concept de criminalité en col blanc [texte imprimé] / Manouk Vonny, Auteur . - 2011 . - pp. 110-124.
Langues : Français (fre)
inLa Revue du Financier > 190-191 (juillet-octobre 2011) . - pp. 110-124

Résumé :

L'absence de consensus permettant de fixer le statut du concept de « criminalité en col blanc », établi en son temps par Sutherland, a accru les confusions sémantiques autour de l'expression livrée désormais au relativisme de chacun. Face à cette rupture de représentativité, l'urgence d'une clarification s'impose. Au-delà de l'avantage immédiat sur les discours normatifs relatifs au rôle équivoque des financiers, le bénéfice en matière de prévention et de lutte n'est pas négligeable. Car pour mesurer un phénomène, il convient de pouvoir le désigner avec précision. Devant l'incapacité actuelle de satisfaire à cette exigence, nous proposons de rétablir le terme dans son espace de définition.

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[article] 
inLa Revue du Financier > 190-191 (juillet-octobre 2011) . - pp. 89-109

Titre :	Délégation de la décision et connaissance décentralisée - réflexions sur un panel bancaire
Type de document :	texte imprimé
Auteurs :	Sergent Jean-Manuel, Auteur
Année de publication :	2011
Article en page(s) :	pp. 89-109
Langues :	Français (fre)
Résumé :	La théorie positive de l'agence et à sa suite l'approche de l'architecture organisationnelle analysent les décisions d'allocations de ressources déléguées. Supposant un coût élevé de transmission des connaissances nécessaires à ces décisions elles préconisent une large décentralisation des droits à décider. Nous confrontons ces hypothèses aux pratiques bancaires de délégation sur un panel de soixante agents au sein de quatre banques françaises suivie par une étude quantitative sur une base de données de 242 décisions de crédits. Sont successivement abordées, la question du rôle de l'information spécifique non codifiée dans les décisions des agents et celle des rapports entre la préparation de la décision, le choix des décideurs et la performance de l'établissement en matière de pilotage des risques. Nous concluons que les agents accordent une importance significative à la connaissance spécifique non codifiée et que l'ancienneté de la relation client/agent est le meilleur moyen d'acquérir cette connaissance. Enfin, les banques les plus efficaces en matière de sélection du risque semblent être celles qui exercent un contrôle sur l'agent au moment de la décision.
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[article] Délégation de la décision et connaissance décentralisée - réflexions sur un panel bancaire [texte imprimé] / Sergent Jean-Manuel, Auteur . - 2011 . - pp. 89-109.
Langues : Français (fre)
inLa Revue du Financier > 190-191 (juillet-octobre 2011) . - pp. 89-109

Résumé :

La théorie positive de l'agence et à sa suite l'approche de l'architecture organisationnelle analysent les décisions d'allocations de ressources déléguées. Supposant un coût élevé de transmission des connaissances nécessaires à ces décisions elles préconisent une large décentralisation des droits à décider. Nous confrontons ces hypothèses aux pratiques bancaires de délégation sur un panel de soixante agents au sein de quatre banques françaises suivie par une étude quantitative sur une base de données de 242 décisions de crédits. Sont successivement abordées, la question du rôle de l'information spécifique non codifiée dans les décisions des agents et celle des rapports entre la préparation de la décision, le choix des décideurs et la performance de l'établissement en matière de pilotage des risques. Nous concluons que les agents accordent une importance significative à la connaissance spécifique non codifiée et que l'ancienneté de la relation client/agent est le meilleur moyen d'acquérir cette connaissance. Enfin, les banques les plus efficaces en matière de sélection du risque semblent être celles qui exercent un contrôle sur l'agent au moment de la décision.

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[article] 
inLa Revue du Financier > 190-191 (juillet-octobre 2011) . - pp. 80-88

Titre :	IFRS pour les PME et information financière
Type de document :	texte imprimé
Auteurs :	Andernack Isabelle, Auteur
Année de publication :	2011
Article en page(s) :	pp. 80-88
Langues :	Français (fre)
Résumé :	L'International Accounting Standards Board (IASB) a publié, le 9 juillet 2009, la norme internationale d'information financière inspirée des full IFRS et intitulée IFRS for small and medium-sized entities ou IFRS pour les PME. L'avènement de cette norme est le résultat d'un processus d'élaboration qui a débuté en 2003 et a conduit à la consultation de PME du monde entier.1 IFRS pour les PME a été élaborée pour répondre à une forte demande au niveau international, exprimée à la fois par les économies émergeantes et par les pays développés, notamment ceux de l'Union européenne, pour disposer d'un jeu commun et rigoureux de normes comptables pour les petites et moyennes entreprises. L'objectif de l'IASB consistait à offrir aux différentes parties prenantes de l'information comptable et financière, des normes moins lourdes et moins coûteuses à mettre en oeuvre que le référentiel full IFRS imposé par le règlement européen depuis le 1er janvier 2005, aux comptes consolidés des entités faisant appel public à l'épargne sur un marché réglementé. Le règlement européen a toutefois laissé le choix aux Etats membres d'imposer, d'autoriser ou d'interdire l'utilisation du référentiel IFRS/IAS : - pour les comptes consolidés des autres entités ; - pour les comptes individuels.
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[article] IFRS pour les PME et information financière [texte imprimé] / Andernack Isabelle, Auteur . - 2011 . - pp. 80-88.
Langues : Français (fre)
inLa Revue du Financier > 190-191 (juillet-octobre 2011) . - pp. 80-88

Résumé :

L'International Accounting Standards Board (IASB) a publié, le 9 juillet 2009, la norme internationale d'information financière inspirée des full IFRS et intitulée IFRS for small and medium-sized entities ou IFRS pour les PME. L'avènement de cette norme est le résultat d'un processus d'élaboration qui a débuté en 2003 et a conduit à la consultation de PME du monde entier.1 IFRS pour les PME a été élaborée pour répondre à une forte demande au niveau international, exprimée à la fois par les économies émergeantes et par les pays développés, notamment ceux de l'Union européenne, pour disposer d'un jeu commun et rigoureux de normes comptables pour les petites et moyennes entreprises. L'objectif de l'IASB consistait à offrir aux différentes parties prenantes de l'information comptable et financière, des normes moins lourdes et moins coûteuses à mettre en oeuvre que le référentiel full IFRS imposé par le règlement européen depuis le 1er janvier 2005, aux comptes consolidés des entités faisant appel public à l'épargne sur un marché réglementé. Le règlement européen a toutefois laissé le choix aux Etats membres d'imposer, d'autoriser ou d'interdire l'utilisation du référentiel IFRS/IAS : - pour les comptes consolidés des autres entités ; - pour les comptes individuels.

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[article] 
inLa Revue du Financier > 190-191 (juillet-octobre 2011) . - pp. 69-79

Titre :	Les minoritaires face à la gestion des résultats comptables dans les sociétés contrôlées
Type de document :	texte imprimé
Auteurs :	Mard Yves, Auteur
Année de publication :	2011
Article en page(s) :	pp. 69-79
Langues :	Français (fre)
Résumé :	Les actionnaires de contrôle et les actionnaires minoritaires ne poursuivent généralement pas les mêmes objectifs et leurs besoins en information comptable et financière sont différents. La recherche comptable a mis en évidence que, dans certains contextes spécifiques, les actionnaires de contrôle ont tendance à gérer les résultats, ce qui conduit les actionnaires minoritaires à prendre de mauvaises décisions financières.
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[article] Les minoritaires face à la gestion des résultats comptables dans les sociétés contrôlées [texte imprimé] / Mard Yves, Auteur . - 2011 . - pp. 69-79.
Langues : Français (fre)
inLa Revue du Financier > 190-191 (juillet-octobre 2011) . - pp. 69-79

Résumé :

Les actionnaires de contrôle et les actionnaires minoritaires ne poursuivent généralement pas les mêmes objectifs et leurs besoins en information comptable et financière sont différents. La recherche comptable a mis en évidence que, dans certains contextes spécifiques, les actionnaires de contrôle ont tendance à gérer les résultats, ce qui conduit les actionnaires minoritaires à prendre de mauvaises décisions financières.

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[article] 
inLa Revue du Financier > 190-191 (juillet-octobre 2011) . - pp. 57-68

Titre :	Investir dans des sociétés “Offshore”: tout ce qui brille n'est pas or !
Type de document :	texte imprimé
Auteurs :	Magnan Michel, Auteur
Année de publication :	2011
Article en page(s) :	pp. 57-68
Langues :	Français (fre)
Résumé :	Avec la globalisation des marchés financiers, investir dans des sociétés cotées ayant leur siège ou des filiales dans un paradis fiscal (dites sociétés « offshore ») est maintenant relativement facile. Cependant, une fiscalité avantageuse se traduit-elle par une rentabilité plus élevée pour l'investisseur ? Les principaux constats présentés dans cet article sont les suivants. Premièrement, des sociétés en apparence américaines, britanniques ou françaises peuvent en substance devenir offshore en dirigeant leurs opérations financières vers des paradis fiscaux. Deuxièmement, si le recours aux paradis fiscaux réduit la charge fiscale d'une entreprise, il réduit également la transparence de ses opérations ainsi que la qualité de la surveillance pratiquée par le conseil d'administration. Par conséquent, la direction y jouit d'une plus grande latitude en matière de gestion des résultats, ce qui mine leur fiabilité. Troisièmement, les investisseurs ne semblent pas être en mesure de distinguer si les résultats annoncés sont manipulés ou non, surtout dans les cas où la société-mère a son siège dans un pays de l'OCDE mais compte plusieurs filiales offshore. Par conséquent, il est possible que des résultats peu fiables soient valorisés sans tenir compte des risques sous-jacents.
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[article] Investir dans des sociétés “Offshore”: tout ce qui brille n'est pas or ! [texte imprimé] / Magnan Michel, Auteur . - 2011 . - pp. 57-68.
Langues : Français (fre)
inLa Revue du Financier > 190-191 (juillet-octobre 2011) . - pp. 57-68

Résumé :

Avec la globalisation des marchés financiers, investir dans des sociétés cotées ayant leur siège ou des filiales dans un paradis fiscal (dites sociétés « offshore ») est maintenant relativement facile. Cependant, une fiscalité avantageuse se traduit-elle par une rentabilité plus élevée pour l'investisseur ? Les principaux constats présentés dans cet article sont les suivants. Premièrement, des sociétés en apparence américaines, britanniques ou françaises peuvent en substance devenir offshore en dirigeant leurs opérations financières vers des paradis fiscaux. Deuxièmement, si le recours aux paradis fiscaux réduit la charge fiscale d'une entreprise, il réduit également la transparence de ses opérations ainsi que la qualité de la surveillance pratiquée par le conseil d'administration. Par conséquent, la direction y jouit d'une plus grande latitude en matière de gestion des résultats, ce qui mine leur fiabilité. Troisièmement, les investisseurs ne semblent pas être en mesure de distinguer si les résultats annoncés sont manipulés ou non, surtout dans les cas où la société-mère a son siège dans un pays de l'OCDE mais compte plusieurs filiales offshore. Par conséquent, il est possible que des résultats peu fiables soient valorisés sans tenir compte des risques sous-jacents.

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[article] 
inLa Revue du Financier > 190-191 (juillet-octobre 2011) . - pp. 40-56

Titre :	Manipulations comptables et fusions-acquisitions - une étude empirique sur le marché français
Type de document :	texte imprimé
Auteurs :	Albouy, Michel, Auteur
Année de publication :	2011
Article en page(s) :	pp. 40-56
Langues :	Français (fre)
Résumé :	Cet article s'intéresse à la gestion des résultats à l'occasion des opérations de fusions-acquisitions : un contexte particulièrement propice aux manipulations comptables. Une première partie expose le cadre théorique de cette étude et les hypothèses dérivées. La deuxième partie présente l'échantillon et la méthodologie utilisée. Les principaux résultats sont discutés dans une troisième partie. Les résultats empiriques observés sur un échantillon de 50 entreprises pendant la période 2001-2007 confirment la gestion des résultats comptables par les dirigeants de la société initiatrice et ce durant l'année qui précède l'opération de fusion-absorption. On observe également un niveau de manipulation plus élevé pour les offres publiques d'échange (OPE) que pour les OPA.
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[article] Manipulations comptables et fusions-acquisitions - une étude empirique sur le marché français [texte imprimé] / Albouy, Michel, Auteur . - 2011 . - pp. 40-56.
Langues : Français (fre)
inLa Revue du Financier > 190-191 (juillet-octobre 2011) . - pp. 40-56

Résumé :

Cet article s'intéresse à la gestion des résultats à l'occasion des opérations de fusions-acquisitions : un contexte particulièrement propice aux manipulations comptables. Une première partie expose le cadre théorique de cette étude et les hypothèses dérivées. La deuxième partie présente l'échantillon et la méthodologie utilisée. Les principaux résultats sont discutés dans une troisième partie. Les résultats empiriques observés sur un échantillon de 50 entreprises pendant la période 2001-2007 confirment la gestion des résultats comptables par les dirigeants de la société initiatrice et ce durant l'année qui précède l'opération de fusion-absorption. On observe également un niveau de manipulation plus élevé pour les offres publiques d'échange (OPE) que pour les OPA.

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[article] 
inLa Revue du Financier > 190-191 (juillet-octobre 2011) . - pp. 23-39

Titre :	Contrôle familial et qualité de l'information au sujet de la rémunération des dirigeants au Canada
Type de document :	texte imprimé
Auteurs :	Ben-Amar Walid, Auteur
Année de publication :	2011
Article en page(s) :	pp. 23-39
Langues :	Français (fre)
Résumé :	Cette recherche permet d'examiner la relation entre le contrôle familial et la qualité de l'information divulguée au sujet des pratiques de rémunération des dirigeants. En nous basant sur les données de 187 entreprises canadiennes cotées à la Bourse de Toronto, nos résultats montrent une relation négative entre le contrôle familial des droits de vote et la qualité de l'information communiquée au sujet de la rémunération des dirigeants. En revanche, le recours à des mécanismes de séparation entre le contrôle des droits de vote et la participation au capital-actions ne semble pas affecter la qualité de l'information relative à la rémunération. Nous documentons également une relation positive entre la taille de l'entreprise, la cotation à la Bourse de New York et l'étendue de l'information communiquée au sujet des pratiques de rémunération.
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[article] Contrôle familial et qualité de l'information au sujet de la rémunération des dirigeants au Canada [texte imprimé] / Ben-Amar Walid, Auteur . - 2011 . - pp. 23-39.
Langues : Français (fre)
inLa Revue du Financier > 190-191 (juillet-octobre 2011) . - pp. 23-39

Résumé :

Cette recherche permet d'examiner la relation entre le contrôle familial et la qualité de l'information divulguée au sujet des pratiques de rémunération des dirigeants. En nous basant sur les données de 187 entreprises canadiennes cotées à la Bourse de Toronto, nos résultats montrent une relation négative entre le contrôle familial des droits de vote et la qualité de l'information communiquée au sujet de la rémunération des dirigeants. En revanche, le recours à des mécanismes de séparation entre le contrôle des droits de vote et la participation au capital-actions ne semble pas affecter la qualité de l'information relative à la rémunération. Nous documentons également une relation positive entre la taille de l'entreprise, la cotation à la Bourse de New York et l'étendue de l'information communiquée au sujet des pratiques de rémunération.

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[article] 
inLa Revue du Financier > 190-191 (juillet-octobre 2011) . - pp. 6-22

Titre :	Pour une mesure plus précise de la qualité de l'information financière - L'apport de la lisibilité
Type de document :	texte imprimé
Auteurs :	Julien Le Maux, Auteur
Année de publication :	2011
Article en page(s) :	pp. 6-22
Langues :	Français (fre)
Résumé :	L'objectif de cet article est de proposer une revue de la littérature sur la question de la lisibilité des documents comptables et financiers et ses conséquences sur la qualité de la société. En effet, l'élément important d'une information est qu'elle soit lisible et compréhensible par le destinataire. Deux conclusions peuvent être extraites de cette revue de la littérature : Tout d'abord, quel que soit la période et le pays, le rapport annuel est très difficile à lire et peut être qualifié de littérature scientifique. Ensuite, il a été démontré qu'une meilleure lisibilité est liée à une meilleure gouvernance, des prévisions d'analystes plus précis et une plus forte probabilité d'augmentations de capital.
En ligne :	http://www.revuedufinancier.fr

[article] Pour une mesure plus précise de la qualité de l'information financière - L'apport de la lisibilité [texte imprimé] / Julien Le Maux, Auteur . - 2011 . - pp. 6-22.
Langues : Français (fre)
inLa Revue du Financier > 190-191 (juillet-octobre 2011) . - pp. 6-22

Résumé :

L'objectif de cet article est de proposer une revue de la littérature sur la question de la lisibilité des documents comptables et financiers et ses conséquences sur la qualité de la société. En effet, l'élément important d'une information est qu'elle soit lisible et compréhensible par le destinataire. Deux conclusions peuvent être extraites de cette revue de la littérature : Tout d'abord, quel que soit la période et le pays, le rapport annuel est très difficile à lire et peut être qualifié de littérature scientifique. Ensuite, il a été démontré qu'une meilleure lisibilité est liée à une meilleure gouvernance, des prévisions d'analystes plus précis et une plus forte probabilité d'augmentations de capital.

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