[article] 
inLa Revue du Financier > 187 (janvier-février 2011) . - pp. 60-72

Titre :	Allocation sous-optimale des ressources et performance des entreprises
Type de document :	texte imprimé
Auteurs :	Kammoun Manel, Auteur
Année de publication :	2011
Article en page(s) :	pp. 60-72
Langues :	Français (fre)
Résumé :	Une des questions centrales dans les travaux de recherche en gestion porte sur l'analyse des déterminants de la performance d'une firme et ce dans l'objectif d'évaluer sa rentabilité et sa capacité à générer des flux de trésorerie à partir des ressources qu'elle contrôle. Pour cette raison, une panoplie des recherches en finance s'est intéressée à analyser des déterminants de la performance des firmes. En tant que processus d'allocation des ressources, la politique d'investissement représente l'un des mécanismes qui conditionne la performance des entreprises. Charreaux (2001) soutient en introduction de l'ouvrage collectif consacré aux différentes "images de l'investissement", que le thème de la création de valeur est du développement durable prend un essor très important alors que celui de l'investissement, malgré que la décision d'investissement soit un mécanisme fondamental de la création de valeur, semble délaissé. L'objectif de ce papier est d'analyser les conséquences des investissements sur la création de valeur pour les entreprises dans un contexte français. Ceci est particulièrement utile, dans la mesure où il est important de connaître non seulement combien il a été dépensé mais si ces dépenses ont été déployées d'une façon efficace. Les analyses montrent que la performance des entreprises est sensible aux décisions d'investissement. Les résultats empiriques font ressortir une association positive entre les dépenses d'investissement et la performance des entreprises ayant un risque élevé de sousinvestissement. Une association négative a été trouvée entre les dépenses d'investissement et la performance des entreprises ayant un risque élevé de surinvestissement.
En ligne :	http://www.revuedufinancier.fr

[article] Allocation sous-optimale des ressources et performance des entreprises [texte imprimé] / Kammoun Manel, Auteur . - 2011 . - pp. 60-72.
Langues : Français (fre)
inLa Revue du Financier > 187 (janvier-février 2011) . - pp. 60-72

Résumé :

Une des questions centrales dans les travaux de recherche en gestion porte sur l'analyse des déterminants de la performance d'une firme et ce dans l'objectif d'évaluer sa rentabilité et sa capacité à générer des flux de trésorerie à partir des ressources qu'elle contrôle. Pour cette raison, une panoplie des recherches en finance s'est intéressée à analyser des déterminants de la performance des firmes. En tant que processus d'allocation des ressources, la politique d'investissement représente l'un des mécanismes qui conditionne la performance des entreprises. Charreaux (2001) soutient en introduction de l'ouvrage collectif consacré aux différentes "images de l'investissement", que le thème de la création de valeur est du développement durable prend un essor très important alors que celui de l'investissement, malgré que la décision d'investissement soit un mécanisme fondamental de la création de valeur, semble délaissé. L'objectif de ce papier est d'analyser les conséquences des investissements sur la création de valeur pour les entreprises dans un contexte français. Ceci est particulièrement utile, dans la mesure où il est important de connaître non seulement combien il a été dépensé mais si ces dépenses ont été déployées d'une façon efficace. Les analyses montrent que la performance des entreprises est sensible aux décisions d'investissement. Les résultats empiriques font ressortir une association positive entre les dépenses d'investissement et la performance des entreprises ayant un risque élevé de sousinvestissement. Une association négative a été trouvée entre les dépenses d'investissement et la performance des entreprises ayant un risque élevé de surinvestissement.

En ligne :

http://www.revuedufinancier.fr

[article] 
inLa Revue du Financier > 187 (janvier-février 2011) . - pp. 45-59

Titre :	Les émissions d'Actions à Bons de Souscription d'Actions (ABSA) - Une synthèse de la littérature
Type de document :	texte imprimé
Auteurs :	Brinette Souad, Auteur
Année de publication :	2011
Article en page(s) :	pp. 45-59
Langues :	Français (fre)
Résumé :	Cet article synthétise l'état de la recherche sur les justifications de l'émission des actions à bons de souscription d'actions (ABSA). Les principales raisons théoriques évoquées pour expliquer l'intérêt de ces titres complexes renvoient à l'existence des conflits d'intérêt et d'asymétrie d'information entre les différents partenaires de l'entreprise. Des études empiriques justifient les émissions d'ABSA par plusieurs variables liées aux caractéristiques des émetteurs et de l'émission. Cet article présente une revue des principaux travaux théoriques et empiriques.
En ligne :	http://www.revuedufinancier.fr

[article] Les émissions d'Actions à Bons de Souscription d'Actions (ABSA) - Une synthèse de la littérature [texte imprimé] / Brinette Souad, Auteur . - 2011 . - pp. 45-59.
Langues : Français (fre)
inLa Revue du Financier > 187 (janvier-février 2011) . - pp. 45-59

Résumé :

Cet article synthétise l'état de la recherche sur les justifications de l'émission des actions à bons de souscription d'actions (ABSA). Les principales raisons théoriques évoquées pour expliquer l'intérêt de ces titres complexes renvoient à l'existence des conflits d'intérêt et d'asymétrie d'information entre les différents partenaires de l'entreprise. Des études empiriques justifient les émissions d'ABSA par plusieurs variables liées aux caractéristiques des émetteurs et de l'émission. Cet article présente une revue des principaux travaux théoriques et empiriques.

En ligne :

http://www.revuedufinancier.fr

[article] 
inLa Revue du Financier > 187 (janvier-février 2011) . - pp. 24-44

Titre :	Partage de la valeur et flux de trésorerie disponibles
Type de document :	texte imprimé
Auteurs :	Juhel Jean-Claude, Auteur
Année de publication :	2011
Article en page(s) :	pp. 24-44
Langues :	Français (fre)
Résumé :	L'importance du concept de « flux de trésorerie disponible » a été mise en évidence tant sur le plan théorique que sur le plan pratique. La méthode des comptes de surplus présente un intérêt évident pour analyser la formation du flux de trésorerie disponible. Cet article se limite à l'étude de l'incidence de la structure de la variation du besoin en fonds de roulement sur la trésorerie disponible. On peut décrire les origines internes et externes du flux de trésorerie disponible, source de création de la valeur, et, préciser à qui profite le surplus de trésorerie d'exploitation, de l'entreprise ou de ses partenaires. En étudiant les variations des décalages temporels entre flux d'exploitation et flux de trésorerie on appréhende les transferts de trésorerie entre les parties prenantes à la production. Cette approche permet d'évaluer la structure du cycle d'exploitation et de tester dans un modèle opérationnel de simulation toute politique de restructuration de l'exploitation. Elle repose sur la négociation entre agents et l'acceptation par l'entreprise d'un certain niveau de transfert de risque.
En ligne :	http://www.revuedufinancier.fr

[article] Partage de la valeur et flux de trésorerie disponibles [texte imprimé] / Juhel Jean-Claude, Auteur . - 2011 . - pp. 24-44.
Langues : Français (fre)
inLa Revue du Financier > 187 (janvier-février 2011) . - pp. 24-44

Résumé :

L'importance du concept de « flux de trésorerie disponible » a été mise en évidence tant sur le plan théorique que sur le plan pratique. La méthode des comptes de surplus présente un intérêt évident pour analyser la formation du flux de trésorerie disponible. Cet article se limite à l'étude de l'incidence de la structure de la variation du besoin en fonds de roulement sur la trésorerie disponible. On peut décrire les origines internes et externes du flux de trésorerie disponible, source de création de la valeur, et, préciser à qui profite le surplus de trésorerie d'exploitation, de l'entreprise ou de ses partenaires. En étudiant les variations des décalages temporels entre flux d'exploitation et flux de trésorerie on appréhende les transferts de trésorerie entre les parties prenantes à la production. Cette approche permet d'évaluer la structure du cycle d'exploitation et de tester dans un modèle opérationnel de simulation toute politique de restructuration de l'exploitation. Elle repose sur la négociation entre agents et l'acceptation par l'entreprise d'un certain niveau de transfert de risque.

En ligne :

http://www.revuedufinancier.fr

[article] 
inLa Revue du Financier > 187 (janvier-février 2011) . - pp. 15-23

Titre :	Les enjeux économiques de la structure de gouvernance : une revue de la littérature
Type de document :	texte imprimé
Auteurs :	Labégorre Françoise, Auteur
Année de publication :	2011
Article en page(s) :	pp. 15-23
Langues :	Français (fre)
Résumé :	La plupart des sociétés par actions cotées en Occident ou en Asie sont loin d'être des démocraties actionnariales. Leur capital n'est pas atomistique ; la règle d' « une action, un droit de vote » connaît des entorses ; les pouvoirs exécutif et actionnarial sont rarement séparés. Ce type de gouvernance est-il économiquement satisfaisant ? Pour le savoir, un état de l'art est dressé. Il fait ressortir les effets sous-optimaux de la confusion des pouvoirs et des leviers de contrôle.
En ligne :	http://www.revuedufinancier.fr

[article] Les enjeux économiques de la structure de gouvernance : une revue de la littérature [texte imprimé] / Labégorre Françoise, Auteur . - 2011 . - pp. 15-23.
Langues : Français (fre)
inLa Revue du Financier > 187 (janvier-février 2011) . - pp. 15-23

Résumé :

La plupart des sociétés par actions cotées en Occident ou en Asie sont loin d'être des démocraties actionnariales. Leur capital n'est pas atomistique ; la règle d' « une action, un droit de vote » connaît des entorses ; les pouvoirs exécutif et actionnarial sont rarement séparés. Ce type de gouvernance est-il économiquement satisfaisant ? Pour le savoir, un état de l'art est dressé. Il fait ressortir les effets sous-optimaux de la confusion des pouvoirs et des leviers de contrôle.

En ligne :

http://www.revuedufinancier.fr

[article] 
inLa Revue du Financier > 187 (janvier-février 2011) . - pp. 4-14

Titre :	L'optimisation fusion - confusion : une synthèse privilégiée du droit et du chiffre
Type de document :	texte imprimé
Auteurs :	Martial Chadefaux (1949-....), Auteur
Année de publication :	2011
Article en page(s) :	pp. 4-14
Langues :	Français (fre)
Résumé :	Il n'est pas toujours facile de dissocier, dans les problèmes juridiques, fiscaux et comptables, le principal de l'accessoire. Les fusions en général sont dans ce cas, les fusions simplifiées et les transmissions universelles en particulier, aussi. Lorsqu'un professionnel veut, dans ce domaine, optimiser des choix intégrés, juridiques - fiscaux - comptables, il est souvent obligé de traiter lui-même le problème, sans assistance. Cette autonomie montre que ce sujet est au carrefour de plusieurs disciplines avec lesquelles il faut composer, sans vraiment les opposer. Le domaine des opérations de fusion - confusion est une bonne synthèse de la relation droit - gestion. La société qui souhaite absorber sa filiale à 100 % peut choisir entre fusion simplifiée et dissolution confusion. Ce choix de nature juridique n'entame que potentiellement la marge de manoeuvre fiscale pour les entités en présence. Mais l'évolution de la règlementation comptable est venue réduire la portée des choix fiscaux. En matière de fusion - confusion, la relation droit – fiscalité - gestion doit ainsi et surtout se penser désormais dans un cadre élargi « droit - fiscalité- comptabilité – gestion ».
En ligne :	http://www.revuedufinancier.fr

[article] L'optimisation fusion - confusion : une synthèse privilégiée du droit et du chiffre [texte imprimé] / Martial Chadefaux (1949-....), Auteur . - 2011 . - pp. 4-14.
Langues : Français (fre)
inLa Revue du Financier > 187 (janvier-février 2011) . - pp. 4-14

Résumé :

Il n'est pas toujours facile de dissocier, dans les problèmes juridiques, fiscaux et comptables, le principal de l'accessoire. Les fusions en général sont dans ce cas, les fusions simplifiées et les transmissions universelles en particulier, aussi. Lorsqu'un professionnel veut, dans ce domaine, optimiser des choix intégrés, juridiques - fiscaux - comptables, il est souvent obligé de traiter lui-même le problème, sans assistance. Cette autonomie montre que ce sujet est au carrefour de plusieurs disciplines avec lesquelles il faut composer, sans vraiment les opposer. Le domaine des opérations de fusion - confusion est une bonne synthèse de la relation droit - gestion. La société qui souhaite absorber sa filiale à 100 % peut choisir entre fusion simplifiée et dissolution confusion. Ce choix de nature juridique n'entame que potentiellement la marge de manoeuvre fiscale pour les entités en présence. Mais l'évolution de la règlementation comptable est venue réduire la portée des choix fiscaux. En matière de fusion - confusion, la relation droit – fiscalité - gestion doit ainsi et surtout se penser désormais dans un cadre élargi « droit - fiscalité- comptabilité – gestion ».

En ligne :

http://www.revuedufinancier.fr