[article] 
inLa Revue du Financier > 162 (novembre-décembre 2006) . - pp. 57-70

Titre :	Les déterminants de la performance financière des entreprises conjointes franco-camerounaises
Type de document :	texte imprimé
Auteurs :	Kombou Lucien, Auteur
Année de publication :	2006
Article en page(s) :	pp. 57-70
Langues :	Français (fre)
Résumé :	"L'objet de cette étude est d'identifier les facteurs explicatifs de la performance financière des entreprises conjointes franco-camerounaises. L'étude porte sur un échantillon de 42 entreprises conjointes franco-camerounaises observées sur une période allant de 1995 à 2000. La démarche est hypothético-déductive. Il ressort des différentes analyses que la performance financière de ces entreprises est significativement influencée par quatre facteurs principaux à savoir: 1- la maîtrise de l'activité principale de l'entreprise par la société-mère française 2- l'importance des ressources (financières ou non) pportées par chacune des sociétés-mères 3- la forte disproportion entre la taille de la société-mère française et la taille de la société-mère camerounaise 4- l'implantation géographique d'un démembrement (succursale, agence ou siège) de cette entreprise dans la ville côtière et capitale économique de Douala."
En ligne :	http://www.revuedufinancier.fr

[article] Les déterminants de la performance financière des entreprises conjointes franco-camerounaises [texte imprimé] / Kombou Lucien, Auteur . - 2006 . - pp. 57-70.
Langues : Français (fre)
inLa Revue du Financier > 162 (novembre-décembre 2006) . - pp. 57-70

Résumé :

"L'objet de cette étude est d'identifier les facteurs explicatifs de la performance financière des entreprises conjointes franco-camerounaises. L'étude porte sur un échantillon de 42 entreprises conjointes franco-camerounaises observées sur une période allant de 1995 à 2000. La démarche est hypothético-déductive. Il ressort des différentes analyses que la performance financière de ces entreprises est significativement influencée par quatre facteurs principaux à savoir: 1- la maîtrise de l'activité principale de l'entreprise par la société-mère française 2- l'importance des ressources (financières ou non) pportées par chacune des sociétés-mères 3- la forte disproportion entre la taille de la société-mère française et la taille de la société-mère camerounaise 4- l'implantation géographique d'un démembrement (succursale, agence ou siège) de cette entreprise dans la ville côtière et capitale économique de Douala."

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[article] 
inLa Revue du Financier > 162 (novembre-décembre 2006) . - pp. 45-56

Titre :	Le Comité d'audit et la présence de faiblesses importantes dans le contrôle interne
Type de document :	texte imprimé
Auteurs :	Bedard Jean, Auteur
Année de publication :	2006
Article en page(s) :	pp. 45-56
Langues :	Français (fre)
Résumé :	Cet article étudie l'association entre la qualité du comité d'audit et la qualité du contrôle interne des sociétés ouvertes pour un échantillon de 177 sociétés cotées aux bourses états-uniennes ayant communiqué des faiblesses en vertu de l'article 302 du Sarbanes-Oxley Act. Nos résultats indiquent que les sociétés se sont en grande majorité conformées aux dispositions de la loi relatives à la composition et aux responsabilités des comités d'audit et qu'en conséquence ces caractéristiques ne sont plus discriminantes. Deux indicateurs de la qualité de la gouvernance qui ne font pas l'objet de règlementation sont associés à la qualité du contrôle interne soit la fréquence des rencontres du comité d'audit et la proportion d'actions de la société détenue par les administrateurs externes.
En ligne :	http://www.revuedufinancier.fr

[article] Le Comité d'audit et la présence de faiblesses importantes dans le contrôle interne [texte imprimé] / Bedard Jean, Auteur . - 2006 . - pp. 45-56.
Langues : Français (fre)
inLa Revue du Financier > 162 (novembre-décembre 2006) . - pp. 45-56

Résumé :

Cet article étudie l'association entre la qualité du comité d'audit et la qualité du contrôle interne des sociétés ouvertes pour un échantillon de 177 sociétés cotées aux bourses états-uniennes ayant communiqué des faiblesses en vertu de l'article 302 du Sarbanes-Oxley Act. Nos résultats indiquent que les sociétés se sont en grande majorité conformées aux dispositions de la loi relatives à la composition et aux responsabilités des comités d'audit et qu'en conséquence ces caractéristiques ne sont plus discriminantes. Deux indicateurs de la qualité de la gouvernance qui ne font pas l'objet de règlementation sont associés à la qualité du contrôle interne soit la fréquence des rencontres du comité d'audit et la proportion d'actions de la société détenue par les administrateurs externes.

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[article] 
inLa Revue du Financier > 162 (novembre-décembre 2006) . - pp. 27-44

Titre :	Les regroupements de cabinets et le co-commissariat aux comptes ? Une approche interrelationnelle sur le marché français 1997-2003
Type de document :	texte imprimé
Auteurs :	Piot Charles, Auteur
Année de publication :	2006
Article en page(s) :	pp. 27-44
Langues :	Français (fre)
Résumé :	La France se distingue par une obligation de co-commissariat aux comptes pour la certification d'états financiers consolidés. Sur le marché des sociétés cotées, en forte concentration ces dernières années, les vertus de l'audit conjoint risquent d'être remises en cause par des ententes informelles et des collaborations excessives entraînant une routinisation de l'autocontrôle entre les grands cabinets d'audit. Pour apprécier cette menace, nous examinons la structure desmandats de co-commissariat pour l'ensemble des sociétés cotées fin 1997 et fin 2003. Nos constatations empiriques montrent, au contraire, que la réduction conséquente du nombre d'acteurs –avec notamment le passage des Big 6 aux Big 4– induit davantage de distance entre les grands réseaux d'audit (internationaux et nationaux), telle qu'observée par le nombre de missions en commun. Cela suggère que le marché demeure ompétitif et que le système de co-commissariat ne perd pas de son effectivité dans la mouvance actuelle de concentration des auditeurs.
En ligne :	http://www.revuedufinancier.fr

[article] Les regroupements de cabinets et le co-commissariat aux comptes ? Une approche interrelationnelle sur le marché français 1997-2003 [texte imprimé] / Piot Charles, Auteur . - 2006 . - pp. 27-44.
Langues : Français (fre)
inLa Revue du Financier > 162 (novembre-décembre 2006) . - pp. 27-44

Résumé :

La France se distingue par une obligation de co-commissariat aux comptes pour la certification d'états financiers consolidés. Sur le marché des sociétés cotées, en forte concentration ces dernières années, les vertus de l'audit conjoint risquent d'être remises en cause par des ententes informelles et des collaborations excessives entraînant une routinisation de l'autocontrôle entre les grands cabinets d'audit. Pour apprécier cette menace, nous examinons la structure desmandats de co-commissariat pour l'ensemble des sociétés cotées fin 1997 et fin 2003. Nos constatations empiriques montrent, au contraire, que la réduction conséquente du nombre d'acteurs –avec notamment le passage des Big 6 aux Big 4– induit davantage de distance entre les grands réseaux d'audit (internationaux et nationaux), telle qu'observée par le nombre de missions en commun. Cela suggère que le marché demeure ompétitif et que le système de co-commissariat ne perd pas de son effectivité dans la mouvance actuelle de concentration des auditeurs.

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[article] 
inLa Revue du Financier > 162 (novembre-décembre 2006) . - pp. 24-26

Titre :	Choix et rémunération des auditeurs : quelques éléments de réflexion
Type de document :	texte imprimé
Auteurs :	Schatt Alain, Auteur
Année de publication :	2006
Article en page(s) :	pp. 24-26
Langues :	Français (fre)
Résumé :	Les auditeurs ont pour objet de garantir aux investisseurs que l'information comptable, communiquée par les dirigeants, est établie dans le respect des règles et principes comptables. La présence d'auditeurs a donc pour conséquence une réduction de la latitude dont disposent les dirigeants pour gérer les chiffres comptables. La « qualité » des relations qu'entretiennent les auditeurs et les dirigeants préoccupe donc le marché financier. Pourtant, les nombreux travaux empiriques consacrés à l'audit mettent en évidence des résultats contrastés sur l'importance des auditeurs pour le marché financier. Dans cet article, nous nous focalisons sur le choix des caractéristiques du cabinet, sur le choix de la durée de la relation et sur la rémunération des auditeurs - pour mettre en évidence les difficultés que peuvent éprouver les investisseurs pour analyser certaines situations.
En ligne :	http://www.revuedufinancier.fr

[article] Choix et rémunération des auditeurs : quelques éléments de réflexion [texte imprimé] / Schatt Alain, Auteur . - 2006 . - pp. 24-26.
Langues : Français (fre)
inLa Revue du Financier > 162 (novembre-décembre 2006) . - pp. 24-26

Résumé :

Les auditeurs ont pour objet de garantir aux investisseurs que l'information comptable, communiquée par les dirigeants, est établie dans le respect des règles et principes comptables. La présence d'auditeurs a donc pour conséquence une réduction de la latitude dont disposent les dirigeants pour gérer les chiffres comptables. La « qualité » des relations qu'entretiennent les auditeurs et les dirigeants préoccupe donc le marché financier. Pourtant, les nombreux travaux empiriques consacrés à l'audit mettent en évidence des résultats contrastés sur l'importance des auditeurs pour le marché financier. Dans cet article, nous nous focalisons sur le choix des caractéristiques du cabinet, sur le choix de la durée de la relation et sur la rémunération des auditeurs - pour mettre en évidence les difficultés que peuvent éprouver les investisseurs pour analyser certaines situations.

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[article] 
inLa Revue du Financier > 162 (novembre-décembre 2006) . - pp. 6-23

Titre :	Le rapport d'opinion des auditeurs : une revue de la littérature
Type de document :	texte imprimé
Auteurs :	Nathalie Gonthier-Besacier, Auteur
Année de publication :	2006
Article en page(s) :	pp. 6-23
Langues :	Français (fre)
Résumé :	Dans un contexte marqué par la sensibilisation grandissante des différents acteurs à l'utilité de l'audit et compte tenu de l'augmentation des diligences attendues des commissaires aux comptes, cet article présente comment la littérature académique traite du rapport d'audit. Les travaux semblent indiquer que les lecteurs d'états financiers n'accordent qu'une faible attention à l'opinion publiée par les auditeurs. Pourtant, la recherche ne remet pas en cause la pertinence de cette opinion, les conclusions des auditeurs semblant généralement en lien avec les données financières publiées. La faible utilisation faite de leur rapport parait donc davantage imputable au manque d'efficacité du support de communication mis à leur disposition pour formuler leur opinion. Ceci explique sans doute que les utilisateurs d'information financière développent une lecture labellisée du rapport, qui intègre d'autres éléments que l'opinion émise sur les comptes, comme la signature du cabinet ou la date de publication du rapport
En ligne :	http://www.revuedufinancier.fr

[article] Le rapport d'opinion des auditeurs : une revue de la littérature [texte imprimé] / Nathalie Gonthier-Besacier, Auteur . - 2006 . - pp. 6-23.
Langues : Français (fre)
inLa Revue du Financier > 162 (novembre-décembre 2006) . - pp. 6-23

Résumé :

Dans un contexte marqué par la sensibilisation grandissante des différents acteurs à l'utilité de l'audit et compte tenu de l'augmentation des diligences attendues des commissaires aux comptes, cet article présente comment la littérature académique traite du rapport d'audit. Les travaux semblent indiquer que les lecteurs d'états financiers n'accordent qu'une faible attention à l'opinion publiée par les auditeurs. Pourtant, la recherche ne remet pas en cause la pertinence de cette opinion, les conclusions des auditeurs semblant généralement en lien avec les données financières publiées. La faible utilisation faite de leur rapport parait donc davantage imputable au manque d'efficacité du support de communication mis à leur disposition pour formuler leur opinion. Ceci explique sans doute que les utilisateurs d'information financière développent une lecture labellisée du rapport, qui intègre d'autres éléments que l'opinion émise sur les comptes, comme la signature du cabinet ou la date de publication du rapport

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