[article] 
inLa Revue du Financier > 158 (mars-avril 2006) . - pp. 59-73

Titre :	Analyse du comportement des investisseurs boursiers en cas de dépassement du consensus des analystes financiers : le cas du marché américain
Type de document :	texte imprimé
Auteurs :	Pehau Francis, Auteur
Année de publication :	2006
Article en page(s) :	pp. 59-73
Langues :	Français (fre)
Résumé :	En utilisant des données américaines (troisième trimestre 2003 et premier trimestre 2004, 1225 observations), cet article a pour objectif d'analyser dans quelle mesure le dépassement des résultats prévus (approchés par l'EPS) pr les analystes a une incidence sur le comportement des investisseurs boursiers (étude d'événement). Par la suite, nous avons essayé d'expliquer cette attitude (étude d'association) en incorporant des variables liées tant à la surprise en tant que telle (ampleur de la surprise, évolution des niveaux de performance situés plus haut dans le compte de résultats) que des éléments de contrôle (taille, investisseurs institutionnels, marché d'appartenance). Les résultats auxquels nous sommes parvenus montrent un mouvement de création de valeur boursière à l'annonce de la surprise (même si, en terme brut, il est relativement faible). Nous avons également constaté que l'ampleur de la surprise ainsi que la taille et la présence d'investisseurs institutionnels tendaient à influencer le comportement des investisseurs boursiers. Par contre, nous n'avons obtenu que peu de résultat statistiquement significatif en considérant d'autres indicateurs de performance.
En ligne :	http://www.revuedufinancier.fr

[article] Analyse du comportement des investisseurs boursiers en cas de dépassement du consensus des analystes financiers : le cas du marché américain [texte imprimé] / Pehau Francis, Auteur . - 2006 . - pp. 59-73.
Langues : Français (fre)
inLa Revue du Financier > 158 (mars-avril 2006) . - pp. 59-73

Résumé :

En utilisant des données américaines (troisième trimestre 2003 et premier trimestre 2004, 1225 observations), cet article a pour objectif d'analyser dans quelle mesure le dépassement des résultats prévus (approchés par l'EPS) pr les analystes a une incidence sur le comportement des investisseurs boursiers (étude d'événement). Par la suite, nous avons essayé d'expliquer cette attitude (étude d'association) en incorporant des variables liées tant à la surprise en tant que telle (ampleur de la surprise, évolution des niveaux de performance situés plus haut dans le compte de résultats) que des éléments de contrôle (taille, investisseurs institutionnels, marché d'appartenance). Les résultats auxquels nous sommes parvenus montrent un mouvement de création de valeur boursière à l'annonce de la surprise (même si, en terme brut, il est relativement faible). Nous avons également constaté que l'ampleur de la surprise ainsi que la taille et la présence d'investisseurs institutionnels tendaient à influencer le comportement des investisseurs boursiers. Par contre, nous n'avons obtenu que peu de résultat statistiquement significatif en considérant d'autres indicateurs de performance.

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[article] 
inLa Revue du Financier > 158 (mars-avril 2006) . - pp. 44-58

Titre :	Probabilité de rachat d'un contrat d'assurance vie en fonction du différentiel du taux d'intérêt
Type de document :	texte imprimé
Auteurs :	Pehau Francis, Auteur
Année de publication :	2006
Article en page(s) :	pp. 44-58
Langues :	Français (fre)
Résumé :	L'objet du présent article, est de déterminer, de l'angle de l'assureur vie, à partir de quel taux de rendement servi par un contrat en euro (que l'on qualifiera de taux d'intérêt critique) un assuré parfaitement ‘rationnel' aurait avantage à arbitrer son compte d'épargne assurance, au profit d'un nouveau contrat dont les promesses de revalorisation seraient directement attachées à un nouvel état des taux d'intérêt sur les marchés financiers. L'estimation du taux d'intérêt critique permet de probabiliser l'occurrence de vagues de rachats. Celles-ci seront estimées à partir du différentiel de taux d'intérêt entre le taux servi par le contrat et le taux de marché. L'ancienneté des contrats, leurs taux de fiscalité, de prélèvements sociaux, et la période de replacement du contrat initial, seront autant de variables de différentiation de ces probabilités de rachat. L'estimation des lois de chute du passif d'une compagnie d'assurance permet de mesurer l'impact d'une hausse immédiate et pérenne des taux d'intérêt sur le comportement d'arbitrage des assurés et de tester, par conséquent, la capacité de l'actif à satisfaire à ses engagements. De plus, la connaissance de la probabilité de rachat permet de calculer, en moyenne, le montant probable des retraits, donc d'estimer le capital à couvrir contre les fluctuations des taux.
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[article] Probabilité de rachat d'un contrat d'assurance vie en fonction du différentiel du taux d'intérêt [texte imprimé] / Pehau Francis, Auteur . - 2006 . - pp. 44-58.
Langues : Français (fre)
inLa Revue du Financier > 158 (mars-avril 2006) . - pp. 44-58

Résumé :

L'objet du présent article, est de déterminer, de l'angle de l'assureur vie, à partir de quel taux de rendement servi par un contrat en euro (que l'on qualifiera de taux d'intérêt critique) un assuré parfaitement ‘rationnel' aurait avantage à arbitrer son compte d'épargne assurance, au profit d'un nouveau contrat dont les promesses de revalorisation seraient directement attachées à un nouvel état des taux d'intérêt sur les marchés financiers. L'estimation du taux d'intérêt critique permet de probabiliser l'occurrence de vagues de rachats. Celles-ci seront estimées à partir du différentiel de taux d'intérêt entre le taux servi par le contrat et le taux de marché. L'ancienneté des contrats, leurs taux de fiscalité, de prélèvements sociaux, et la période de replacement du contrat initial, seront autant de variables de différentiation de ces probabilités de rachat. L'estimation des lois de chute du passif d'une compagnie d'assurance permet de mesurer l'impact d'une hausse immédiate et pérenne des taux d'intérêt sur le comportement d'arbitrage des assurés et de tester, par conséquent, la capacité de l'actif à satisfaire à ses engagements. De plus, la connaissance de la probabilité de rachat permet de calculer, en moyenne, le montant probable des retraits, donc d'estimer le capital à couvrir contre les fluctuations des taux.

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[article] 
inLa Revue du Financier > 158 (mars-avril 2006) . - pp. 23-43

Titre :	Le divorce entre la valeur comptable et la valeur boursière : une identification des facteurs majeurs de différenciation à l'aide de l'économétrie des données de panel
Type de document :	texte imprimé
Auteurs :	Badreddine Hamdi, Auteur
Année de publication :	2006
Article en page(s) :	pp. 23-43
Langues :	Français (fre)
Résumé :	Ce papier a pour objet d'apporter une explication à l'écart constaté entre la valeur comptable et la valeur boursière des sociétés. Nous avons supposé qu'il peut être expliqué par l'irrationalité et « l'auto-référentialité » du marché, ainsi que par l'incapacité du modèle comptable traditionnel à traduire la valeur de la firme. Nos résultats corroborent la majorité de nos hypothèses et montrent que la distorsion entre la valeur comptable et la valeur boursière est une conséquence directe de la comptabilité au coût historique, de la prudence comptable, de la non-activation des certains éléments immatériels, ainsi que de la mauvaise évaluation (mispricing) des titres par les investisseurs sur le marché.
En ligne :	http://www.revuedufinancier.fr

[article] Le divorce entre la valeur comptable et la valeur boursière : une identification des facteurs majeurs de différenciation à l'aide de l'économétrie des données de panel [texte imprimé] / Badreddine Hamdi, Auteur . - 2006 . - pp. 23-43.
Langues : Français (fre)
inLa Revue du Financier > 158 (mars-avril 2006) . - pp. 23-43

Résumé :

Ce papier a pour objet d'apporter une explication à l'écart constaté entre la valeur comptable et la valeur boursière des sociétés. Nous avons supposé qu'il peut être expliqué par l'irrationalité et « l'auto-référentialité » du marché, ainsi que par l'incapacité du modèle comptable traditionnel à traduire la valeur de la firme. Nos résultats corroborent la majorité de nos hypothèses et montrent que la distorsion entre la valeur comptable et la valeur boursière est une conséquence directe de la comptabilité au coût historique, de la prudence comptable, de la non-activation des certains éléments immatériels, ainsi que de la mauvaise évaluation (mispricing) des titres par les investisseurs sur le marché.

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[article] 
inLa Revue du Financier > 158 (mars-avril 2006) . - pp. 4-22

Titre :	L'aversion au risque : quels liens avec l'effet de dotation et le degré d'internalité des investisseurs ?
Type de document :	texte imprimé
Auteurs :	Nivoix Sophie, Auteur
Année de publication :	2006
Article en page(s) :	pp. 4-22
Langues :	Français (fre)
Résumé :	L'évolution sensible de la composition du patrimoine financier des ménages depuis le début des années 90 soulève de nombreuses questions relatives à l'équilibre risque-rentabilité pour les investisseurs. Nous avons donc analysé les décisions financières suivant plusieurs éclairages théoriques. Les uns, tels que la théorie de l'utilité, l'aversion au risque et l'effet de dotation, appartiennent au champ de l'économie. L'autre, la théorie de l'attribution causale, provient de recherches en psychologie sociale, et nous a permis d'esquisser un lien entre l'aversion au risque et la causalité attribuée aux événements. Parmi les résultats que nous avons obtenus, il est possible d'en souligner plusieurs. Tout d'abord les sujets déclarant une aversion pour le risque effectuent des choix financiers conformes à cette position. Cependant ceux qui se déclarent neutres vis-à-vis du risque affichent des comportements visant à éviter le risque financier, tout comme ceux qui disent avoir peu d'aversion pour le risque. Ensuite, il faut noter que l'effet de dotation modifie l'aversion au risque, dans la mesure où les sujets effectuent des choix financiers impliquant plus (ou moins) de risque selon que leur situation initiale comprend déjà un risque (ou pas de risque). Quant au degré d'internalité du sujet, bien qu'il ne s'avère pas directement lié au degré d'aversion au risque, il semble intervenir dans l'attrait pour une prise de risque supplémentaire par rapport à une situation initiale.
En ligne :	http://www.revuedufinancier.fr

[article] L'aversion au risque : quels liens avec l'effet de dotation et le degré d'internalité des investisseurs ? [texte imprimé] / Nivoix Sophie, Auteur . - 2006 . - pp. 4-22.
Langues : Français (fre)
inLa Revue du Financier > 158 (mars-avril 2006) . - pp. 4-22

Résumé :

L'évolution sensible de la composition du patrimoine financier des ménages depuis le début des années 90 soulève de nombreuses questions relatives à l'équilibre risque-rentabilité pour les investisseurs. Nous avons donc analysé les décisions financières suivant plusieurs éclairages théoriques. Les uns, tels que la théorie de l'utilité, l'aversion au risque et l'effet de dotation, appartiennent au champ de l'économie. L'autre, la théorie de l'attribution causale, provient de recherches en psychologie sociale, et nous a permis d'esquisser un lien entre l'aversion au risque et la causalité attribuée aux événements. Parmi les résultats que nous avons obtenus, il est possible d'en souligner plusieurs. Tout d'abord les sujets déclarant une aversion pour le risque effectuent des choix financiers conformes à cette position. Cependant ceux qui se déclarent neutres vis-à-vis du risque affichent des comportements visant à éviter le risque financier, tout comme ceux qui disent avoir peu d'aversion pour le risque. Ensuite, il faut noter que l'effet de dotation modifie l'aversion au risque, dans la mesure où les sujets effectuent des choix financiers impliquant plus (ou moins) de risque selon que leur situation initiale comprend déjà un risque (ou pas de risque). Quant au degré d'internalité du sujet, bien qu'il ne s'avère pas directement lié au degré d'aversion au risque, il semble intervenir dans l'attrait pour une prise de risque supplémentaire par rapport à une situation initiale.

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