[article] 
inLa Revue du Financier > 141 (2003) . - pp. 72-83

Titre :	La pertinence du cash-flow d'exploitation et du bénéfice comptable dans la prévision des cash-flows futurs
Type de document :	texte imprimé
Auteurs :	Hassouna Fedhila, Auteur
Année de publication :	2003
Article en page(s) :	pp. 72-83
Langues :	Français (fre)
Résumé :	Les montants et les prédictions des cash-flows futurs constituent le souci majeur des investisseurs et des bailleurs de fonds (utilisateurs privilégiés de l'information comptable). Cette information permet d'apprécier la capacité de l'entreprise à honorer ses engagements et à payer des dividendes. Cette recherche a pour objectif d'examiner la pertinence des cash-flows d'exploitation par rapport aux bénéfices comptables, à travers leur pouvoir prédictif des cash-flows futurs. Les résultats de cette recherche démontrent que l'information fondée sur les cash-flows constitue la meilleure base pour la prévision des cash-flows futurs.
En ligne :	http://www.revuedufinancier.fr

[article] La pertinence du cash-flow d'exploitation et du bénéfice comptable dans la prévision des cash-flows futurs [texte imprimé] / Hassouna Fedhila, Auteur . - 2003 . - pp. 72-83.
Langues : Français (fre)
inLa Revue du Financier > 141 (2003) . - pp. 72-83

Résumé :

Les montants et les prédictions des cash-flows futurs constituent le souci majeur des investisseurs et des bailleurs de fonds (utilisateurs privilégiés de l'information comptable). Cette information permet d'apprécier la capacité de l'entreprise à honorer ses engagements et à payer des dividendes. Cette recherche a pour objectif d'examiner la pertinence des cash-flows d'exploitation par rapport aux bénéfices comptables, à travers leur pouvoir prédictif des cash-flows futurs. Les résultats de cette recherche démontrent que l'information fondée sur les cash-flows constitue la meilleure base pour la prévision des cash-flows futurs.

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[article] 
inLa Revue du Financier > 141 (2003) . - pp. 59-71

Titre :	Les bulles spéculatives dans les actifs boursiers en France et aux Etats-Unis de 1870 à 2002
Type de document :	texte imprimé
Auteurs :	Thevenin Dominique, Auteur
Année de publication :	2003
Article en page(s) :	pp. 59-71
Langues :	Français (fre)
Résumé :	L'objet de cet article est d'analyser l'existence de bulles rationnelles - c'est-à-dire l'existence d'écarts durables entre des cours boursiers efficients et leurs déterminants fondamentaux- sur les marchés américains et français, sur longue période, en prenant en compte les années 2000. A cet effet, nous recourons à deux méthodologies: la co-intégration, et l'estimation directe d'un modèle dont les propriétés semblent cohérentes avec les comportements des cours boursiers. Malgré les biais économétriques, les résultats ne rejettent jamais l'existence de bulles rationnelles aux USA. En France, au contraire, le marché se comporte de manière très différente, et ne semble pas propice à générer des bulles rationnelles. Néanmoins, des problèmes économétriques, ou des ruptures de processus de dividende peuvent être à l'origine de ces résultats issus de tests à hypothèses jointes multiples.
En ligne :	http://www.revuedufinancier.fr

[article] Les bulles spéculatives dans les actifs boursiers en France et aux Etats-Unis de 1870 à 2002 [texte imprimé] / Thevenin Dominique, Auteur . - 2003 . - pp. 59-71.
Langues : Français (fre)
inLa Revue du Financier > 141 (2003) . - pp. 59-71

Résumé :

L'objet de cet article est d'analyser l'existence de bulles rationnelles - c'est-à-dire l'existence d'écarts durables entre des cours boursiers efficients et leurs déterminants fondamentaux- sur les marchés américains et français, sur longue période, en prenant en compte les années 2000. A cet effet, nous recourons à deux méthodologies: la co-intégration, et l'estimation directe d'un modèle dont les propriétés semblent cohérentes avec les comportements des cours boursiers. Malgré les biais économétriques, les résultats ne rejettent jamais l'existence de bulles rationnelles aux USA. En France, au contraire, le marché se comporte de manière très différente, et ne semble pas propice à générer des bulles rationnelles. Néanmoins, des problèmes économétriques, ou des ruptures de processus de dividende peuvent être à l'origine de ces résultats issus de tests à hypothèses jointes multiples.

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[article] 
inLa Revue du Financier > 141 (2003) . - pp. 47-58

Titre :	Une comparaison européenne des pratiques de gestion Actif/Passif : Le cas particulier des banques luxembourgeoises
Type de document :	texte imprimé
Auteurs :	Damel Pascal, Auteur
Année de publication :	2003
Article en page(s) :	pp. 47-58
Langues :	Français (fre)
Résumé :	Cet article a comme objectif de présenter les spécificités de la gestion actif passif du Luxembourg comparativement à la gestion actif passif classique pratiquée en France ou en Allemagne. La méthodologie de travail est basée sur un questionnaire. Ce questionnaire, réalisé auprès de quinze banques luxembourgeoises, nous permet d'analyser la stratégie A.L.M. au Luxembourg sous l'axe des méthodes utilisées et sous l'axe organisationnel.
En ligne :	http://www.revuedufinancier.fr

[article] Une comparaison européenne des pratiques de gestion Actif/Passif : Le cas particulier des banques luxembourgeoises [texte imprimé] / Damel Pascal, Auteur . - 2003 . - pp. 47-58.
Langues : Français (fre)
inLa Revue du Financier > 141 (2003) . - pp. 47-58

Résumé :

Cet article a comme objectif de présenter les spécificités de la gestion actif passif du Luxembourg comparativement à la gestion actif passif classique pratiquée en France ou en Allemagne. La méthodologie de travail est basée sur un questionnaire. Ce questionnaire, réalisé auprès de quinze banques luxembourgeoises, nous permet d'analyser la stratégie A.L.M. au Luxembourg sous l'axe des méthodes utilisées et sous l'axe organisationnel.

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[article] 
inLa Revue du Financier > 141 (2003) . - pp. 28-46

Titre :	Création de valeur et performance financière dans les télécoms
Type de document :	texte imprimé
Auteurs :	Lantz Jean-Sébastien, Auteur
Année de publication :	2003
Article en page(s) :	pp. 28-46
Langues :	Français (fre)
En ligne :	http://www.revuedufinancier.fr

[article] Création de valeur et performance financière dans les télécoms [texte imprimé] / Lantz Jean-Sébastien, Auteur . - 2003 . - pp. 28-46.
Langues : Français (fre)
inLa Revue du Financier > 141 (2003) . - pp. 28-46

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[article] 
inLa Revue du Financier > 141 (2003) . - pp. 17-27

Titre :	Pouvoir et participation : une vision interentreprises de l'évaluation
Type de document :	texte imprimé
Auteurs :	Delibalta Fabienne, Auteur
Année de publication :	2003
Article en page(s) :	pp. 17-27
Langues :	Français (fre)
Résumé :	Cet article s'intéresse à la détermination du pouvoir réel détenu par les actionnaires de sociétés ou par les sociétés elles-mêmes ainsi qu'à l'évaluation des sociétés détenues. En ce qui concerne le pouvoir nous en distinguerons trois formes : l'influence, les droits de vote, et la domination. Nous proposerons une méthode d'identification des participations réciproques d'un ensemble d'entreprises entre elles. La méthode peut s'apparenter aux méthodes de Markov mais avec des caractéristiques particulières. Nous montrons comment mettre en lumière les influences respectives d'entreprises entre elles et comment mieux identifier les risques en chaîne qui peuvent naître du fait de faillites ou de difficultés de certaines entreprises. Ce problème s'inscrit dans le cadre des recommandations récentes de l'IASB dont l'objectif est de faire connaître aux actionnaires les influences et les risques auxquels ils peuvent être confrontés. Notre exposé résoudra une partie de ce problème.
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[article] Pouvoir et participation : une vision interentreprises de l'évaluation [texte imprimé] / Delibalta Fabienne, Auteur . - 2003 . - pp. 17-27.
Langues : Français (fre)
inLa Revue du Financier > 141 (2003) . - pp. 17-27

Résumé :

Cet article s'intéresse à la détermination du pouvoir réel détenu par les actionnaires de sociétés ou par les sociétés elles-mêmes ainsi qu'à l'évaluation des sociétés détenues. En ce qui concerne le pouvoir nous en distinguerons trois formes : l'influence, les droits de vote, et la domination. Nous proposerons une méthode d'identification des participations réciproques d'un ensemble d'entreprises entre elles. La méthode peut s'apparenter aux méthodes de Markov mais avec des caractéristiques particulières. Nous montrons comment mettre en lumière les influences respectives d'entreprises entre elles et comment mieux identifier les risques en chaîne qui peuvent naître du fait de faillites ou de difficultés de certaines entreprises. Ce problème s'inscrit dans le cadre des recommandations récentes de l'IASB dont l'objectif est de faire connaître aux actionnaires les influences et les risques auxquels ils peuvent être confrontés. Notre exposé résoudra une partie de ce problème.

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[article] 
inLa Revue du Financier > 141 (2003) . - pp. 6-16

Titre :	Quel prix pour les projets de recherche et développement ? Une approche par les options réelles
Type de document :	texte imprimé
Auteurs :	Mondher Bellalah, Auteur
Année de publication :	2003
Article en page(s) :	pp. 6-16
Langues :	Français (fre)
Résumé :	Force est de constater que le thème des options réelles préoccupe les gestionnaires ces dernières années. Toutefois, pour beaucoup d'entre eux, l'analogie entre les options financières et la gestion des projets d'investissement demeure difficile à mettre en œuvre. Notre cadre d'analyse tente de briser cette déficience entre la théorie des options et l'évaluation des projets d'investissement par les entreprises. En effet, l'analyse des options réelles comme un complément de la méthode d'actualisation des flux de trésorerie (Discounted Cash-Flow) et de celle de la valeur actualisée nette (VAN) est proposée dans un contexte où les investisseurs ne s'engagent sur un projet que lorsqu'ils sont informés. Il s'agit de l'aboutissement d'une analyse quantitative qui peut être utilisé pour l'évaluation de beaucoup de projets et qui est compatible avec la méthode DCF utilisée dans la plupart des techniques de choix d'investissement. Au lieu de s'intéresser uniquement aux différences entre l'approche optionnelle et la DCF, nous nous intéresserons également à leurs points communs. Certes, l'analyse des différences entre les deux méthodes apporte des idées nouvelles. Néanmoins, c'est l'exploitation de leurs points communs qui rend le cadre de l'étude compréhensible et compatible avec les techniques traditionnelles. En l'occurrence, les données utilisées proviennent des tableaux utilisés de manière habituelle par les gestionnaires pour évaluer les propositions d'investissement. Quant aux modèles d'évaluation d'option utilisés, il s'agit principalement du modèle de Black et Scholes (1973) et de son extension par Bellalah et Jacquillat (1995) en présence d'incertitude sur l'information. Enfin, une fois le cadre construit, nous l'appliquerons à une décision d'investissement typique.
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[article] Quel prix pour les projets de recherche et développement ? Une approche par les options réelles [texte imprimé] / Mondher Bellalah, Auteur . - 2003 . - pp. 6-16.
Langues : Français (fre)
inLa Revue du Financier > 141 (2003) . - pp. 6-16

Résumé :

Force est de constater que le thème des options réelles préoccupe les gestionnaires ces dernières années. Toutefois, pour beaucoup d'entre eux, l'analogie entre les options financières et la gestion des projets d'investissement demeure difficile à mettre en œuvre. Notre cadre d'analyse tente de briser cette déficience entre la théorie des options et l'évaluation des projets d'investissement par les entreprises. En effet, l'analyse des options réelles comme un complément de la méthode d'actualisation des flux de trésorerie (Discounted Cash-Flow) et de celle de la valeur actualisée nette (VAN) est proposée dans un contexte où les investisseurs ne s'engagent sur un projet que lorsqu'ils sont informés. Il s'agit de l'aboutissement d'une analyse quantitative qui peut être utilisé pour l'évaluation de beaucoup de projets et qui est compatible avec la méthode DCF utilisée dans la plupart des techniques de choix d'investissement. Au lieu de s'intéresser uniquement aux différences entre l'approche optionnelle et la DCF, nous nous intéresserons également à leurs points communs. Certes, l'analyse des différences entre les deux méthodes apporte des idées nouvelles. Néanmoins, c'est l'exploitation de leurs points communs qui rend le cadre de l'étude compréhensible et compatible avec les techniques traditionnelles. En l'occurrence, les données utilisées proviennent des tableaux utilisés de manière habituelle par les gestionnaires pour évaluer les propositions d'investissement. Quant aux modèles d'évaluation d'option utilisés, il s'agit principalement du modèle de Black et Scholes (1973) et de son extension par Bellalah et Jacquillat (1995) en présence d'incertitude sur l'information. Enfin, une fois le cadre construit, nous l'appliquerons à une décision d'investissement typique.

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http://www.revuedufinancier.fr