[article] 
inLa Revue du Financier > 140 (2003) . - pp. 56-62

Titre :	Quelle est la place de l'entreprise dans l'histoire familiale ? Une nouvelle approche de la dynamique des relations humaines et des enjeux de gestion
Type de document :	texte imprimé
Auteurs :	Levy Philippe, Auteur
Année de publication :	2003
Article en page(s) :	pp. 56-62
Langues :	Français (fre)
Résumé :	L'étude empirique présentée dans cet article démontre clairement l'existence de liens étroits entre les questions de gestion et les enjeux psychologiques au sein de la famille. De nombreux événements sont l'occasion de mettre en évidence ces difficultés et problèmes. Alliances, rachats, successions sont des étapes très importantes de la vie de l'entreprise familiale. La plupart du temps, de tels évènements dans l'évolution de l'entreprise permettent de mettre en évidence les dysfonctionnements dans l'équilibre entre affaires et famille. Ils révèlent des problèmes déjà sous-jacents. La première partie de cet article présente une vue d'ensemble des concepts-clés faisant partie de l'étude d'une "Dynamique des Relations Humaines et Enjeux de Gestion". Cette première partie traite de la mémoire et de l'expérience d'individus, de questions de survie et de comportement. Elle étudie l'organisation de l'entreprise en tant que système affectif. La deuxième partie de cette article démontre que les questions de gestion classiques peuvent être étudiées en utilisant l'approche conjointe des "Dynamique des Relations Humaines et Enjeux de Gestion" (DRHG). Cette deuxième partie aborde la hiérarchie, le pouvoir, le développement, la croissance, l'indépendance, les successions et les transferts. La dernière partie de cet article présente une étude de cas détaillée afin de démontrer à quel point l'histoire de la famille est liée à celle de la gestion de l'entreprise familiale.
En ligne :	http://www.revuedufinancier.fr

[article] Quelle est la place de l'entreprise dans l'histoire familiale ? Une nouvelle approche de la dynamique des relations humaines et des enjeux de gestion [texte imprimé] / Levy Philippe, Auteur . - 2003 . - pp. 56-62.
Langues : Français (fre)
inLa Revue du Financier > 140 (2003) . - pp. 56-62

Résumé :

L'étude empirique présentée dans cet article démontre clairement l'existence de liens étroits entre les questions de gestion et les enjeux psychologiques au sein de la famille. De nombreux événements sont l'occasion de mettre en évidence ces difficultés et problèmes. Alliances, rachats, successions sont des étapes très importantes de la vie de l'entreprise familiale. La plupart du temps, de tels évènements dans l'évolution de l'entreprise permettent de mettre en évidence les dysfonctionnements dans l'équilibre entre affaires et famille. Ils révèlent des problèmes déjà sous-jacents. La première partie de cet article présente une vue d'ensemble des concepts-clés faisant partie de l'étude d'une "Dynamique des Relations Humaines et Enjeux de Gestion". Cette première partie traite de la mémoire et de l'expérience d'individus, de questions de survie et de comportement. Elle étudie l'organisation de l'entreprise en tant que système affectif. La deuxième partie de cette article démontre que les questions de gestion classiques peuvent être étudiées en utilisant l'approche conjointe des "Dynamique des Relations Humaines et Enjeux de Gestion" (DRHG). Cette deuxième partie aborde la hiérarchie, le pouvoir, le développement, la croissance, l'indépendance, les successions et les transferts. La dernière partie de cet article présente une étude de cas détaillée afin de démontrer à quel point l'histoire de la famille est liée à celle de la gestion de l'entreprise familiale.

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[article] 
inLa Revue du Financier > 140 (2003) . - pp. 47-55

Titre :	Le patronyme fait-il patrimoine ?
Type de document :	texte imprimé
Auteurs :	Benoît Heilbrunn, Auteur
Année de publication :	2003
Article en page(s) :	pp. 47-55
Langues :	Français (fre)
Résumé :	L'entreprise familiale existe souvent à travers un nom patronymique ou du moins à travers la résurgence d'éléments liés au nom du ou des fondateurs de l'entreprise. Cet article propose une réflexion sur les marques patronymiques en tâchant de considérer les différentes problématiques (légitimité, perdurance du savoir-faire, auctorialité, etc.) liées à ce type de marque, notamment dans deux situations courantes qui sont l'ombrellisation et la transmission de la marque. Par ailleurs, l'article propose une réflexion sur l'évolution des noms de marques vers des noms a-symboliques en esquissant l'idée que le nom de marque ne renvoie plus tant aujourd'hui à un ancrage familial qu'à un signe de ralliement tribal pour les consommateurs. Enfin, les éléments présentés dans cet article permettent d'argumenter sur la valeur d'une marque ou d'un nom, lesquels donnent souvent lieu à des évaluations financières complexes et difficiles.
En ligne :	http://www.revuedufinancier.fr

[article] Le patronyme fait-il patrimoine ? [texte imprimé] / Benoît Heilbrunn, Auteur . - 2003 . - pp. 47-55.
Langues : Français (fre)
inLa Revue du Financier > 140 (2003) . - pp. 47-55

Résumé :

L'entreprise familiale existe souvent à travers un nom patronymique ou du moins à travers la résurgence d'éléments liés au nom du ou des fondateurs de l'entreprise. Cet article propose une réflexion sur les marques patronymiques en tâchant de considérer les différentes problématiques (légitimité, perdurance du savoir-faire, auctorialité, etc.) liées à ce type de marque, notamment dans deux situations courantes qui sont l'ombrellisation et la transmission de la marque. Par ailleurs, l'article propose une réflexion sur l'évolution des noms de marques vers des noms a-symboliques en esquissant l'idée que le nom de marque ne renvoie plus tant aujourd'hui à un ancrage familial qu'à un signe de ralliement tribal pour les consommateurs. Enfin, les éléments présentés dans cet article permettent d'argumenter sur la valeur d'une marque ou d'un nom, lesquels donnent souvent lieu à des évaluations financières complexes et difficiles.

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[article] 
inLa Revue du Financier > 140 (2003) . - pp. 38-46

Titre :	Le recours au conseil est-il dénaturant pour les PME ?
Type de document :	texte imprimé
Auteurs :	Jean-Michel Plane, Auteur
Année de publication :	2003
Article en page(s) :	pp. 38-46
Langues :	Français (fre)
Résumé :	Dans bien des PME, le recours au conseil implique de nombreuses transformations qui peuvent parfois remettre en cause profondément le fonctionnement classique de la PME : le conseil induit souvent de formaliser ce qui est informel, d'expliciter ce qui est implicite, de "procéduraliser" ce qui est processuel... On dira que le conseil peut être un facteur de dénaturation de la PME. En proposant un cas d'illustration de dénaturation de la PME par le recours au conseil, les auteurs veulent montrer les contradictions et les ambivalences entre les objectifs de compétitivité et la volonté de préserver l'identité de la PME.
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[article] Le recours au conseil est-il dénaturant pour les PME ? [texte imprimé] / Jean-Michel Plane, Auteur . - 2003 . - pp. 38-46.
Langues : Français (fre)
inLa Revue du Financier > 140 (2003) . - pp. 38-46

Résumé :

Dans bien des PME, le recours au conseil implique de nombreuses transformations qui peuvent parfois remettre en cause profondément le fonctionnement classique de la PME : le conseil induit souvent de formaliser ce qui est informel, d'expliciter ce qui est implicite, de "procéduraliser" ce qui est processuel... On dira que le conseil peut être un facteur de dénaturation de la PME. En proposant un cas d'illustration de dénaturation de la PME par le recours au conseil, les auteurs veulent montrer les contradictions et les ambivalences entre les objectifs de compétitivité et la volonté de préserver l'identité de la PME.

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[article] 
inLa Revue du Financier > 140 (2003) . - pp. 29-37

Titre :	Aspects fiscaux de la transmission d'entreprise patrimoniale
Type de document :	texte imprimé
Auteurs :	Chaux Jean-Pierre, Auteur
Année de publication :	2003
Article en page(s) :	pp. 29-37
Langues :	Français (fre)
Résumé :	Chaque année des dizaines de milliers de PME changent de mains. L'absence de préparation successorale peut rendre cette opération ruineuse pour le cédant et désastreuse pour l'entreprise. La loi de finance 2000, instaurant un régime de faveur en cas de transmission d'entreprise par décès, a soulevé de nouvelles difficultés, l'instruction du 18 juillet 2001 a précisé les conditions de sa mise en œuvre, plus que jamais la planification est de rigueur.
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[article] Aspects fiscaux de la transmission d'entreprise patrimoniale [texte imprimé] / Chaux Jean-Pierre, Auteur . - 2003 . - pp. 29-37.
Langues : Français (fre)
inLa Revue du Financier > 140 (2003) . - pp. 29-37

Résumé :

Chaque année des dizaines de milliers de PME changent de mains. L'absence de préparation successorale peut rendre cette opération ruineuse pour le cédant et désastreuse pour l'entreprise. La loi de finance 2000, instaurant un régime de faveur en cas de transmission d'entreprise par décès, a soulevé de nouvelles difficultés, l'instruction du 18 juillet 2001 a précisé les conditions de sa mise en œuvre, plus que jamais la planification est de rigueur.

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[article] 
inLa Revue du Financier > 140 (2003) . - pp. 16-28

Titre :	Les comportements financiers des entreprises moyennes : une étude empirique sur une période de cotation de cinq ans
Type de document :	texte imprimé
Auteurs :	Lyagoubi Myriam, Auteur
Année de publication :	2003
Article en page(s) :	pp. 16-28
Langues :	Français (fre)
Résumé :	Cet article présente une étude des comportements financiers des entreprises cotées sur le Second Marché sur une période de cinq ans suivant leur entrée en bourse. Il montre comment les caractéristiques financières des entreprises concernées ont évolué au fil du temps. L'accès à la cotation est supposé aider les entreprises à diversifier leurs sources de financement en ayant éventuellement recours à des augmentations de capital. Néanmoins, ce travail tend à prouver que les comportements financiers des entreprises familiales, même cotées, sont toujours liés à la théorie du financement hiérarchique. Cela laisse penser que l'endettement reste la ressource financière externe la plus utilisée. Par exemple, le niveau d'effet de levier financier est plus élevé au bout de cinq ans de cotation qu'il ne l'était au début de la période ! Le fait que les entreprises familiales n'aient pas tiré pleinement profit des opportunités qui s'offraient à elles sur le marché financier pose question. Les motivations principales de l'entrée en bourse peuvent être liées à la recherche de notoriété, à la valorisation du patrimoine familiale ou encore à des restructurations d'actionnariat. D'un autre côté, il serait intéressant de savoir si la cotation a un impact sur le coût de l'endettement et les charges financières. Enfin, la cotation élargit le territoire financier des entreprises moyennes, en leur donnant accès à un panel plus large de partenaires financiers potentiels.
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[article] Les comportements financiers des entreprises moyennes : une étude empirique sur une période de cotation de cinq ans [texte imprimé] / Lyagoubi Myriam, Auteur . - 2003 . - pp. 16-28.
Langues : Français (fre)
inLa Revue du Financier > 140 (2003) . - pp. 16-28

Résumé :

Cet article présente une étude des comportements financiers des entreprises cotées sur le Second Marché sur une période de cinq ans suivant leur entrée en bourse. Il montre comment les caractéristiques financières des entreprises concernées ont évolué au fil du temps. L'accès à la cotation est supposé aider les entreprises à diversifier leurs sources de financement en ayant éventuellement recours à des augmentations de capital. Néanmoins, ce travail tend à prouver que les comportements financiers des entreprises familiales, même cotées, sont toujours liés à la théorie du financement hiérarchique. Cela laisse penser que l'endettement reste la ressource financière externe la plus utilisée. Par exemple, le niveau d'effet de levier financier est plus élevé au bout de cinq ans de cotation qu'il ne l'était au début de la période ! Le fait que les entreprises familiales n'aient pas tiré pleinement profit des opportunités qui s'offraient à elles sur le marché financier pose question. Les motivations principales de l'entrée en bourse peuvent être liées à la recherche de notoriété, à la valorisation du patrimoine familiale ou encore à des restructurations d'actionnariat. D'un autre côté, il serait intéressant de savoir si la cotation a un impact sur le coût de l'endettement et les charges financières. Enfin, la cotation élargit le territoire financier des entreprises moyennes, en leur donnant accès à un panel plus large de partenaires financiers potentiels.

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[article] 
inLa Revue du Financier > 140 (2003) . - pp. 6-15

Titre :	Y-a-t-il une stratégie spécifique de gestion des fonds propres des petites et moyennes entreprises familiales ?
Type de document :	texte imprimé
Auteurs :	Mahérault Loïc, Auteur
Année de publication :	2003
Article en page(s) :	pp. 6-15
Langues :	Français (fre)
Résumé :	Cet article présente une typologie détaillée des introductions en bourse sur une période de 2 ans avec pour objectif global de montrer que les petites et moyennes entreprises pourraient avoir un comportement spécifique en matière de dilution de capital. Sans postulat méthodologique de départ quant à la stratégie spécifique de gestion des fonds propres de ces entreprises dans notre méthodologie, les résultats empiriques ont permis de considérer qu'il y a une stratégie particulière aux entreprises familiales d'une part, et aux entreprises jeunes à forte croissance d'autre part. L'échantillon étudié est composé de 131 introductions en bourse sur le Second Marché et le Nouveau Marché (échantillon exhaustif). La période considérée va de janvier 1997 à mai 1999. Cette étude porte donc sur une période de forte activité boursière ayant fait place à une compétition entre les sociétés de capital-risque et la bourse. Plusieurs cas montraient clairement que de nombreuses entreprises préféraient s'introduire en bourse plutôt que d'ouvrir de façon significative leur capital à d'éventuels investisseurs privés. Sur le plan conceptuel, le but premier de cette recherche était d'apporter la preuve que la stratégie de gestion des fonds propres de certaines petites et moyennes entreprises ne suivait pas obligatoirement le processus linéaire de dilution suggéré par la théorie financière classique (Myers, 1984). Le deuxième objectif était de démontrer que les entreprises familiales moyennes étaient plus intéressées par une approche classique en matière de dilution de leur structure de propriété alors que les jeunes entreprises ou les entreprises à forte croissance préféraient souvent s'introduire en bourse le plus rapidement possible. Le niveau de valorisation des entreprises en bourse n'était probablement pas étranger à cette dernière tendance.
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[article] Y-a-t-il une stratégie spécifique de gestion des fonds propres des petites et moyennes entreprises familiales ? [texte imprimé] / Mahérault Loïc, Auteur . - 2003 . - pp. 6-15.
Langues : Français (fre)
inLa Revue du Financier > 140 (2003) . - pp. 6-15

Résumé :

Cet article présente une typologie détaillée des introductions en bourse sur une période de 2 ans avec pour objectif global de montrer que les petites et moyennes entreprises pourraient avoir un comportement spécifique en matière de dilution de capital. Sans postulat méthodologique de départ quant à la stratégie spécifique de gestion des fonds propres de ces entreprises dans notre méthodologie, les résultats empiriques ont permis de considérer qu'il y a une stratégie particulière aux entreprises familiales d'une part, et aux entreprises jeunes à forte croissance d'autre part. L'échantillon étudié est composé de 131 introductions en bourse sur le Second Marché et le Nouveau Marché (échantillon exhaustif). La période considérée va de janvier 1997 à mai 1999. Cette étude porte donc sur une période de forte activité boursière ayant fait place à une compétition entre les sociétés de capital-risque et la bourse. Plusieurs cas montraient clairement que de nombreuses entreprises préféraient s'introduire en bourse plutôt que d'ouvrir de façon significative leur capital à d'éventuels investisseurs privés. Sur le plan conceptuel, le but premier de cette recherche était d'apporter la preuve que la stratégie de gestion des fonds propres de certaines petites et moyennes entreprises ne suivait pas obligatoirement le processus linéaire de dilution suggéré par la théorie financière classique (Myers, 1984). Le deuxième objectif était de démontrer que les entreprises familiales moyennes étaient plus intéressées par une approche classique en matière de dilution de leur structure de propriété alors que les jeunes entreprises ou les entreprises à forte croissance préféraient souvent s'introduire en bourse le plus rapidement possible. Le niveau de valorisation des entreprises en bourse n'était probablement pas étranger à cette dernière tendance.

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