[article] 
inLa Revue du Financier > 129-130 (2001) . - pp. 99-111

Titre :	Favoriser la création d'entreprises de biotechnologie en France : le rôle du capital-risque
Type de document :	texte imprimé
Auteurs :	Remont Sophie, Auteur
Année de publication :	2001
Article en page(s) :	pp. 99-111
Langues :	Français (fre)
Résumé :	Les biotechnologies ont transformé la stratégie de recherche des groupes pharmaceutiques et ouvert une voie de développement de sociétés spécialisées. La nouvelle dynamique observée en France dans la création d'entreprises innovantes touche également le secteur des biotechnologies. Or, le capital-risque est un mode de financement bien adapté aux jeunes entreprises de biotechnologies, et l'offre de capital-risque en France et en Europe s'est considérablement accrue et permet aujourd'hui la réalisation de projets plus ambitieux. Mais les montants investis aujourd'hui par le capital-risque dans les biotechnologies restent aujourd'hui modestes si on les compare à ceux investis dans les technologies de l'information et de la communication. Et le poids de la biotechnologie dans le capital-investissement est plus important en Allemagne et au Royaume-Uni qu'en France. Par ailleurs, l'avance des Etats-Unis en terme de montants investis reste considérable tout particulièrement dans les secteurs à dominante technologique. En France l'ةtat mène une politique active en faveur du capital-risque, et les FCPI ont permis d'orienter efficacement une partie de l'épargne des particuliers vers des investissements à risque. De plus, le fonds public pour le capital-risque a permis d'accompagner le renouveau de l'offre de capital-risque. Les conditions d'un enchaînement vertueux sont donc aujourd'hui réunies, le développement des incubateurs et des fonds d'amorçage permettant l'émergence d'un plus grand nombre de projets. On sait que l'accompagnement des porteurs de projets dans les phases amont est essentiel dans le domaine des biotechnologies, et une mobilisation nouvelle s'est organisée autour du financement des phases amont. Le développement de projets coopératifs est également encouragé. Conclusion : poursuivie avec ténacité, l'orientation prise, en France et plus généralement en Europe, d'une politique active de soutien à l'innovation et à l'initiative privée peut nous permettre de surmonter nos handicaps. Pour préparer et accompagner l'émergence de cette « g-économie », en utilisant les atouts dont nous disposons, un accent tout particulier devra être mis sur les biotechnologies dans les prochaines années.

[article] Favoriser la création d'entreprises de biotechnologie en France : le rôle du capital-risque [texte imprimé] / Remont Sophie, Auteur . - 2001 . - pp. 99-111.
Langues : Français (fre)
inLa Revue du Financier > 129-130 (2001) . - pp. 99-111

Résumé :

Les biotechnologies ont transformé la stratégie de recherche des groupes pharmaceutiques et ouvert une voie de développement de sociétés spécialisées. La nouvelle dynamique observée en France dans la création d'entreprises innovantes touche également le secteur des biotechnologies. Or, le capital-risque est un mode de financement bien adapté aux jeunes entreprises de biotechnologies, et l'offre de capital-risque en France et en Europe s'est considérablement accrue et permet aujourd'hui la réalisation de projets plus ambitieux. Mais les montants investis aujourd'hui par le capital-risque dans les biotechnologies restent aujourd'hui modestes si on les compare à ceux investis dans les technologies de l'information et de la communication. Et le poids de la biotechnologie dans le capital-investissement est plus important en Allemagne et au Royaume-Uni qu'en France. Par ailleurs, l'avance des Etats-Unis en terme de montants investis reste considérable tout particulièrement dans les secteurs à dominante technologique. En France l'ةtat mène une politique active en faveur du capital-risque, et les FCPI ont permis d'orienter efficacement une partie de l'épargne des particuliers vers des investissements à risque. De plus, le fonds public pour le capital-risque a permis d'accompagner le renouveau de l'offre de capital-risque. Les conditions d'un enchaînement vertueux sont donc aujourd'hui réunies, le développement des incubateurs et des fonds d'amorçage permettant l'émergence d'un plus grand nombre de projets. On sait que l'accompagnement des porteurs de projets dans les phases amont est essentiel dans le domaine des biotechnologies, et une mobilisation nouvelle s'est organisée autour du financement des phases amont. Le développement de projets coopératifs est également encouragé. Conclusion : poursuivie avec ténacité, l'orientation prise, en France et plus généralement en Europe, d'une politique active de soutien à l'innovation et à l'initiative privée peut nous permettre de surmonter nos handicaps. Pour préparer et accompagner l'émergence de cette « g-économie », en utilisant les atouts dont nous disposons, un accent tout particulier devra être mis sur les biotechnologies dans les prochaines années.

[article] 
inLa Revue du Financier > 129-130 (2001) . - pp. 135-148

Titre :	Nouvelle économie : Comment expliquer le e-krach ?
Type de document :	texte imprimé
Auteurs :	Cherif Mondher, Auteur
Année de publication :	2001
Article en page(s) :	pp. 135-148
Langues :	Français (fre)
Résumé :	Depuis quelques mois, ce qu'il est désormais convenu d'appeler la nouvelle économie subit de sévères corrections. Les cours des valeurs technologiques chutent sur les différentes places financières, de même que les valorisations excessives attribuées à des start-up qui n'ont encore jamais réalisé de bénéfice. Déconnectés de leurs fondamentaux économiques, les marchés des valeurs de croissance s'effondrent et la volatilité est devenue la règle. L'optimisme généralisé qui était apparent sur les marchés financiers a cédé le pas à une réévaluation des risques et des opportunités. Le e-krach observé ces derniers mois a le mérite de rappeler aux investisseurs que les vieilles règles en vigueur dans l'économie traditionnelle ne sont pas abolies. Loin s'en faut.
En ligne :	http://www.revuedufinancier.fr

[article] Nouvelle économie : Comment expliquer le e-krach ? [texte imprimé] / Cherif Mondher, Auteur . - 2001 . - pp. 135-148.
Langues : Français (fre)
inLa Revue du Financier > 129-130 (2001) . - pp. 135-148

Résumé :

Depuis quelques mois, ce qu'il est désormais convenu d'appeler la nouvelle économie subit de sévères corrections. Les cours des valeurs technologiques chutent sur les différentes places financières, de même que les valorisations excessives attribuées à des start-up qui n'ont encore jamais réalisé de bénéfice. Déconnectés de leurs fondamentaux économiques, les marchés des valeurs de croissance s'effondrent et la volatilité est devenue la règle. L'optimisme généralisé qui était apparent sur les marchés financiers a cédé le pas à une réévaluation des risques et des opportunités. Le e-krach observé ces derniers mois a le mérite de rappeler aux investisseurs que les vieilles règles en vigueur dans l'économie traditionnelle ne sont pas abolies. Loin s'en faut.

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[article] 
inLa Revue du Financier > 129-130 (2001) . - pp. 119-134

Titre :	Les modèles de valorisation des start-up innovantes : Un état des lieux
Type de document :	texte imprimé
Auteurs :	Cherif Mondher, Auteur
Année de publication :	2001
Article en page(s) :	pp. 119-134
Langues :	Français (fre)
Résumé :	L'émergence grandissante des start-up dans le secteur des NTIC a engendré un intérêt grandissant auprès des analystes et du monde académique, sur la façon dont ces firmes qui n'affichent ni cash flows ni bénéfices, sont évaluées. Dans un environnement incertain et aux changements rapides, les méthodes traditionnelles (VAN, DCF, multiple de PER…) ainsi que les outils spécifiques développés par les investisseurs (méthodes des multiples de chiffre d'affaires…) ne capturent pas la valeur économique des investissements dans les entreprises de croissance et aboutissent à des valorisations erronées. L'approche par les options réelles, permet aux décideurs financiers de réduire cette incertitude ainsi que les risques. Elle représente le nouveau « état de l'art » dans le management des investissements stratégiques et la valorisation des valeurs de croissance high-tech. Elle se positionne comme un complément indispensable aux approches classiques de valorisation.
En ligne :	http://www.revuedufinancier.fr

[article] Les modèles de valorisation des start-up innovantes : Un état des lieux [texte imprimé] / Cherif Mondher, Auteur . - 2001 . - pp. 119-134.
Langues : Français (fre)
inLa Revue du Financier > 129-130 (2001) . - pp. 119-134

Résumé :

L'émergence grandissante des start-up dans le secteur des NTIC a engendré un intérêt grandissant auprès des analystes et du monde académique, sur la façon dont ces firmes qui n'affichent ni cash flows ni bénéfices, sont évaluées. Dans un environnement incertain et aux changements rapides, les méthodes traditionnelles (VAN, DCF, multiple de PER…) ainsi que les outils spécifiques développés par les investisseurs (méthodes des multiples de chiffre d'affaires…) ne capturent pas la valeur économique des investissements dans les entreprises de croissance et aboutissent à des valorisations erronées. L'approche par les options réelles, permet aux décideurs financiers de réduire cette incertitude ainsi que les risques. Elle représente le nouveau « état de l'art » dans le management des investissements stratégiques et la valorisation des valeurs de croissance high-tech. Elle se positionne comme un complément indispensable aux approches classiques de valorisation.

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[article] 
inLa Revue du Financier > 129-130 (2001) . - pp. 163-167

Titre :	Le rôle du directeur administratif et financier dans une Start-up Internet : différences et similitudes avec l'économie traditionnelle
Type de document :	texte imprimé
Auteurs :	André Cécile, Auteur
Année de publication :	2001
Article en page(s) :	pp. 163-167
Langues :	Français (fre)
Résumé :	Le rôle du directeur administratif et financier (DAF) d'une Start-up Internet présente des différences et des similitudes avec ce que l'on observe dans l'économie traditionnelle. Il est appelé à évoluer dans un environnement spécifique. La société est jeune, à double titre : l'équipe est souvent composée de jeunes diplômés, et l'entreprise a quelques mois d'existence. C'est une société innovante, ses investissements concernent essentiellement l'informatique et les télécommunications. Son DAF évolue au milieu de chercheurs ou ingénieurs de haut niveau. Elle est très consommatrice de trésorerie, ce qui doit orienter son contrôle de gestion (temps réel, comptabilité analytique par business unit ou par projet). Elle exige un suivi serré de la réalisation d'objectifs dans le temps : gestion à court terme et à moyen terme. Par rapport aux spécificités de la start-up Internet, le DAF constate une absence d'organisation et d'équipes administratives et comptables, et dans le personnel, une importante proportion des jeunes diplômés ou étudiants en contrat de qualification. Il doit mettre en place un stratégie à court et à moyen terme, un plan de recrutement et une politique salariale, et aussi des Comités de Direction et des Conseils Stratégiques. En fait le DAF d'une start-up Internet est un véritable entrepreneur chef d'orchestre.
En ligne :	http://www.revuedufinancier.fr

[article] Le rôle du directeur administratif et financier dans une Start-up Internet : différences et similitudes avec l'économie traditionnelle [texte imprimé] / André Cécile, Auteur . - 2001 . - pp. 163-167.
Langues : Français (fre)
inLa Revue du Financier > 129-130 (2001) . - pp. 163-167

Résumé :

Le rôle du directeur administratif et financier (DAF) d'une Start-up Internet présente des différences et des similitudes avec ce que l'on observe dans l'économie traditionnelle. Il est appelé à évoluer dans un environnement spécifique. La société est jeune, à double titre : l'équipe est souvent composée de jeunes diplômés, et l'entreprise a quelques mois d'existence. C'est une société innovante, ses investissements concernent essentiellement l'informatique et les télécommunications. Son DAF évolue au milieu de chercheurs ou ingénieurs de haut niveau. Elle est très consommatrice de trésorerie, ce qui doit orienter son contrôle de gestion (temps réel, comptabilité analytique par business unit ou par projet). Elle exige un suivi serré de la réalisation d'objectifs dans le temps : gestion à court terme et à moyen terme. Par rapport aux spécificités de la start-up Internet, le DAF constate une absence d'organisation et d'équipes administratives et comptables, et dans le personnel, une importante proportion des jeunes diplômés ou étudiants en contrat de qualification. Il doit mettre en place un stratégie à court et à moyen terme, un plan de recrutement et une politique salariale, et aussi des Comités de Direction et des Conseils Stratégiques. En fait le DAF d'une start-up Internet est un véritable entrepreneur chef d'orchestre.

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[article] 
inLa Revue du Financier > 129-130 (2001) . - pp. 159-162

Titre :	Les start-up représentent-elles ou pas un risque nouveau engageant la responsabilité des administrateurs indépendants ?
Type de document :	texte imprimé
Auteurs :	Jacky Ouziel, Auteur
Année de publication :	2001
Article en page(s) :	pp. 159-162
Langues :	Français (fre)
Résumé :	Pour réussir, une start-up doit avoir des noms prestigieux dans son Conseil d'administration et une bonne visibilité financière. Mais cela ne suffit pas, et la demande d'administrateurs indépendants va croître, étant donné que la future réglementation doit limiter à 5 le cumul des mandats. Or le Conseil d'administration détermine les orientations de l'activité de la Société et veille à leur application, son Président en organise et dirige les travaux dont il rend compte à l'Assemblée générale, et doit également veiller au bon fonctionnement de la Société et de s'assurer que les administrateurs sont en mesure de remplir leurs missions. Le Directeur Général est, quant à lui, investi des pouvoirs les plus étendus pour agir en toute circonstance au nom de la Société dans les limites de son objet social.
En ligne :	http://www.revuedufinancier.fr

[article] Les start-up représentent-elles ou pas un risque nouveau engageant la responsabilité des administrateurs indépendants ? [texte imprimé] / Jacky Ouziel, Auteur . - 2001 . - pp. 159-162.
Langues : Français (fre)
inLa Revue du Financier > 129-130 (2001) . - pp. 159-162

Résumé :

Pour réussir, une start-up doit avoir des noms prestigieux dans son Conseil d'administration et une bonne visibilité financière. Mais cela ne suffit pas, et la demande d'administrateurs indépendants va croître, étant donné que la future réglementation doit limiter à 5 le cumul des mandats. Or le Conseil d'administration détermine les orientations de l'activité de la Société et veille à leur application, son Président en organise et dirige les travaux dont il rend compte à l'Assemblée générale, et doit également veiller au bon fonctionnement de la Société et de s'assurer que les administrateurs sont en mesure de remplir leurs missions. Le Directeur Général est, quant à lui, investi des pouvoirs les plus étendus pour agir en toute circonstance au nom de la Société dans les limites de son objet social.

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[article] 
inLa Revue du Financier > 129-130 (2001) . - pp. 154-158

Titre :	Pour la création d'un réseau de business angels en Afrique de l'Ouest
Type de document :	texte imprimé
Auteurs :	Pedanou Olivier, Auteur
Année de publication :	2001
Article en page(s) :	pp. 154-158
Langues :	Français (fre)
Résumé :	Les PME d'Afrique de l'Ouest souffrent d'un manque de fonds propres et d'une insuffisance dans le management. Problème que pourrait résoudre en partie la promotion de l'activité de business angels et son organisation en un réseau arrimé à un Réseau de l'entreprise en Afrique de l'Ouest (REAO). I – Présentation des business angels. Leur activité génère deux types de rémunération : les dividendes versés par l'entreprise financée, et la plus-value réalisée au moment de la sortie du capital de l'entreprise financée. II – Organisation en réseau. Si c'était le cas, l'activité des business angels serait plus efficace. III – L'arrimage au REAO. Le REAO est une ONG régionale dont le siège est à Accra (Ghana), qui regroupe plus de 300 entrepreneurs issus de 12 pays francophones et anglophones d'Afrique de l'Ouest. IV – Préalables nécessaires : l'adoption de mesures réglementaires et fiscales, et la promotion d'une culture d'entreprise pertinente.
En ligne :	http://www.revuedufinancier.fr

[article] Pour la création d'un réseau de business angels en Afrique de l'Ouest [texte imprimé] / Pedanou Olivier, Auteur . - 2001 . - pp. 154-158.
Langues : Français (fre)
inLa Revue du Financier > 129-130 (2001) . - pp. 154-158

Résumé :

Les PME d'Afrique de l'Ouest souffrent d'un manque de fonds propres et d'une insuffisance dans le management. Problème que pourrait résoudre en partie la promotion de l'activité de business angels et son organisation en un réseau arrimé à un Réseau de l'entreprise en Afrique de l'Ouest (REAO). I – Présentation des business angels. Leur activité génère deux types de rémunération : les dividendes versés par l'entreprise financée, et la plus-value réalisée au moment de la sortie du capital de l'entreprise financée. II – Organisation en réseau. Si c'était le cas, l'activité des business angels serait plus efficace. III – L'arrimage au REAO. Le REAO est une ONG régionale dont le siège est à Accra (Ghana), qui regroupe plus de 300 entrepreneurs issus de 12 pays francophones et anglophones d'Afrique de l'Ouest. IV – Préalables nécessaires : l'adoption de mesures réglementaires et fiscales, et la promotion d'une culture d'entreprise pertinente.

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[article] 
inLa Revue du Financier > 129-130 (2001) . - pp. 149-153

Titre :	Capital-risque, nouvelle économie et pays émergents : un véritable défi
Type de document :	texte imprimé
Auteurs :	Faidi Karim, Auteur
Année de publication :	2001
Article en page(s) :	pp. 149-153
Langues :	Français (fre)
Résumé :	Le développement de la nouvelle économie met les pays émergents au pied du mur. Ou bien ils sauront « prendre le train en marche » grâce notamment au développement du capital-risque, et pourront alors, dans ce nouvel environnement technologique, faire valoir certains de leurs avantages compétitifs. Ou bien ils resteront – désespérément seuls – sur le quai. I – Nouvelle économie et marchés émergents. Deux défis à relever : ne pas perdre pied en matière de technologie, mettre à niveau leur administration et leurs industries traditionnelles. Avec de nombreux atouts : démographie (population jeune et plus facilement adaptable), qualité et coût de la main d'œuvre, des règles de droit, des infrastructures dans les transports et les télécommunications et un système financier. II – Nouvelle économie et capital-risque. Le développement d'une véritable industrie du capital-risque constitue la condition sine qua non de l'émergence d'une nouvelle économie. Mais il existe encore d'autres handicaps : les barrières créées par le système international des brevets, un relatif sous-développement scientifique et technique, et le coût élevé de l'acquisition des technologies qui conduit au surendettement. III – Des réformes urgentes à mettre en œuvre. La modernisation des économies dépend d'abord du capital humain, avec un double danger : que ce capital, administration en particulier, ne soit pas à la hauteur , et que l'on ne puisse pas retenir les élites formées. Problèmes aussi de capital financier, d'infrastructures, et enfin de réforme de la transparence.
En ligne :	http://www.revuedufinancier.fr

[article] Capital-risque, nouvelle économie et pays émergents : un véritable défi [texte imprimé] / Faidi Karim, Auteur . - 2001 . - pp. 149-153.
Langues : Français (fre)
inLa Revue du Financier > 129-130 (2001) . - pp. 149-153

Résumé :

Le développement de la nouvelle économie met les pays émergents au pied du mur. Ou bien ils sauront « prendre le train en marche » grâce notamment au développement du capital-risque, et pourront alors, dans ce nouvel environnement technologique, faire valoir certains de leurs avantages compétitifs. Ou bien ils resteront – désespérément seuls – sur le quai. I – Nouvelle économie et marchés émergents. Deux défis à relever : ne pas perdre pied en matière de technologie, mettre à niveau leur administration et leurs industries traditionnelles. Avec de nombreux atouts : démographie (population jeune et plus facilement adaptable), qualité et coût de la main d'œuvre, des règles de droit, des infrastructures dans les transports et les télécommunications et un système financier. II – Nouvelle économie et capital-risque. Le développement d'une véritable industrie du capital-risque constitue la condition sine qua non de l'émergence d'une nouvelle économie. Mais il existe encore d'autres handicaps : les barrières créées par le système international des brevets, un relatif sous-développement scientifique et technique, et le coût élevé de l'acquisition des technologies qui conduit au surendettement. III – Des réformes urgentes à mettre en œuvre. La modernisation des économies dépend d'abord du capital humain, avec un double danger : que ce capital, administration en particulier, ne soit pas à la hauteur , et que l'on ne puisse pas retenir les élites formées. Problèmes aussi de capital financier, d'infrastructures, et enfin de réforme de la transparence.

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[article] 
inLa Revue du Financier > 129-130 (2001) . - pp. 114-118

Titre :	Les anges de la net-économie
Type de document :	texte imprimé
Auteurs :	Ancel Henri, Auteur
Année de publication :	2001
Article en page(s) :	pp. 114-118
Langues :	Français (fre)
Résumé :	Les « business angles » sont apparus en France vers la fin des années 1990. Ce sont des personnes physiques qui prennent généralement des participations minoritaires dans des entreprises dont ils veulent aider le développement sans chercher à les contrôler. Leurs objectifs sont de réaliser, à échéance de 3 à 7 ans, des plus-values en capital, en choisissant particulièrement des sociétés du secteur NTIC (nouvelles technologies de l'information et de la communication) et/ou qu'ils connaissent de par leurs fonctions antérieures., et de trouver des équipes avec qui ils pourront collaborer. Leur intervention fournit à l'entreprise les capitaux non couverts par les sociétés de capital-risque. Comme les autres investisseurs, ils ont subi l'e-crash de l'an 2000, qui risque d'être fatal pour certains, mais qui doit permettre de clarifier certaines règles déjà connues (une bonne idée ne conduit pas nécessairement à un projet, et encore moins à une entreprise pérenne, entrepreneur est un métier et une vocation, ce n'est pas un moyen de faire de l'argent facile, un bon business angel retrousse ses manches et aide son « capitaine ». Parmi les solutions possibles, même en France ; il y a la concentration géographique de PME implantées « en grappe », le rôle moteur à donner à des incubateurs, au sein de ces zones, pour la création d'entreprises, et aussi le développement et les relations avec les universités. L'article cite enfin le rôle du coaching pour la réussite des grappes, l'intérêt d'un financement adapté, avec mutualisation des risques et celui de la création (en cours).d'une Fédération nationale. Il finit par un vœu, celui d'obtenir une adaptation de la fiscalité pour ce genre d'activité.
En ligne :	http://www.revuedufinancier.fr

[article] Les anges de la net-économie [texte imprimé] / Ancel Henri, Auteur . - 2001 . - pp. 114-118.
Langues : Français (fre)
inLa Revue du Financier > 129-130 (2001) . - pp. 114-118

Résumé :

Les « business angles » sont apparus en France vers la fin des années 1990. Ce sont des personnes physiques qui prennent généralement des participations minoritaires dans des entreprises dont ils veulent aider le développement sans chercher à les contrôler. Leurs objectifs sont de réaliser, à échéance de 3 à 7 ans, des plus-values en capital, en choisissant particulièrement des sociétés du secteur NTIC (nouvelles technologies de l'information et de la communication) et/ou qu'ils connaissent de par leurs fonctions antérieures., et de trouver des équipes avec qui ils pourront collaborer. Leur intervention fournit à l'entreprise les capitaux non couverts par les sociétés de capital-risque. Comme les autres investisseurs, ils ont subi l'e-crash de l'an 2000, qui risque d'être fatal pour certains, mais qui doit permettre de clarifier certaines règles déjà connues (une bonne idée ne conduit pas nécessairement à un projet, et encore moins à une entreprise pérenne, entrepreneur est un métier et une vocation, ce n'est pas un moyen de faire de l'argent facile, un bon business angel retrousse ses manches et aide son « capitaine ». Parmi les solutions possibles, même en France ; il y a la concentration géographique de PME implantées « en grappe », le rôle moteur à donner à des incubateurs, au sein de ces zones, pour la création d'entreprises, et aussi le développement et les relations avec les universités. L'article cite enfin le rôle du coaching pour la réussite des grappes, l'intérêt d'un financement adapté, avec mutualisation des risques et celui de la création (en cours).d'une Fédération nationale. Il finit par un vœu, celui d'obtenir une adaptation de la fiscalité pour ce genre d'activité.

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[article] 
inLa Revue du Financier > 129-130 (2001) . - pp. 112-113

Titre :	Rencontre d'armateurs et de capitaines-entrepreneurs
Type de document :	texte imprimé
Auteurs :	Patouillaud Jean-Marc, Auteur
Année de publication :	2001
Article en page(s) :	pp. 112-113
Langues :	Français (fre)
Résumé :	Pour comprendre le capital-risque, on peut repartir dans le temps avec l'essor du chemin de fer au cours de la révolution industrielle, ainsi qu'avec la naissance de la société de capital dans la république de Venise à l'époque de la Renaissance. I – L'essor du chemin de fer. Après des débuts assez lents, c'est tout d'un coup une explosion brutale. Les banquiers y découvrent une niche de profit et de spéculation, qui encourage le financement du rail. Manne relayée par les marchés financiers. Ensuite, ce sont les industries qui poussent à la création de lignes. Métallurgie, acier en particulier, mines de charbon, bâtiment pour les infrastructures, et aussi le petit commerce qui se développe autour des gares, la poste, le télégraphe, etc. Tout ceci contribue à accroître la spéculation, qui entraîne des crises (1836, 1839, années 1850), d'où une retombée de l'euphorie, avec restructuration du secteur. II – La Commenda de Venise et le chalutier du Guilvinec. La Commenda est historiquement la première forme de société associant les notions de capital (l'armateur), de risque et d'entrepreneur (le capitaine). Organisation analogue au XXe siècle en Bretagne, où le patron-pêcheur possède son bateau, financé par des prêts et des subventions, il est amorti sur quelques années du fruit de la pêche. Dans les deux cas, il y a partage des gains entre les partenaires, armateur et capitaine, capitaine et équipage. On les retrouve maintenant avec l'entrepreneur de start-up et le capital-risqueur.
En ligne :	http://www.revuedufinancier.fr

[article] Rencontre d'armateurs et de capitaines-entrepreneurs [texte imprimé] / Patouillaud Jean-Marc, Auteur . - 2001 . - pp. 112-113.
Langues : Français (fre)
inLa Revue du Financier > 129-130 (2001) . - pp. 112-113

Résumé :

Pour comprendre le capital-risque, on peut repartir dans le temps avec l'essor du chemin de fer au cours de la révolution industrielle, ainsi qu'avec la naissance de la société de capital dans la république de Venise à l'époque de la Renaissance. I – L'essor du chemin de fer. Après des débuts assez lents, c'est tout d'un coup une explosion brutale. Les banquiers y découvrent une niche de profit et de spéculation, qui encourage le financement du rail. Manne relayée par les marchés financiers. Ensuite, ce sont les industries qui poussent à la création de lignes. Métallurgie, acier en particulier, mines de charbon, bâtiment pour les infrastructures, et aussi le petit commerce qui se développe autour des gares, la poste, le télégraphe, etc. Tout ceci contribue à accroître la spéculation, qui entraîne des crises (1836, 1839, années 1850), d'où une retombée de l'euphorie, avec restructuration du secteur. II – La Commenda de Venise et le chalutier du Guilvinec. La Commenda est historiquement la première forme de société associant les notions de capital (l'armateur), de risque et d'entrepreneur (le capitaine). Organisation analogue au XXe siècle en Bretagne, où le patron-pêcheur possède son bateau, financé par des prêts et des subventions, il est amorti sur quelques années du fruit de la pêche. Dans les deux cas, il y a partage des gains entre les partenaires, armateur et capitaine, capitaine et équipage. On les retrouve maintenant avec l'entrepreneur de start-up et le capital-risqueur.

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[article] 
inLa Revue du Financier > 129-130 (2001) . - pp. 83-98

Titre :	L'évaluation des projets TMT par les Options Réelles : Emergence d'une nouvelle approche ?
Type de document :	texte imprimé
Auteurs :	Barneto Pascal, Auteur
Année de publication :	2001
Article en page(s) :	pp. 83-98
Langues :	Français (fre)
Résumé :	Les méthodes traditionnelles sont inexploitables pour la valorisation des start-ups Internet : l'utilisation qu'elles font des documents comptables relève d'une conception archaïque du management, elles conduisent à une insuffisance du business plan, à cause du caractère subjectif des taux d'actualisation et l'adoption d'intervalles de temps trop grands, et les business models manquent de flexibilité. Cet article a pour objet d'expliquer pourquoi et comment utiliser les options réelles dans la problématique de l'évaluation et de montrer que la complexité de la méthode interdit pour l'instant toute généralisation dans la mesure où s'impose une simplification des hypothèses. Il présente en annexe les deux principaux modèles d'options, celui de Black & Scholes (1973) et celui de Cox, Ross & Rubinstein (1979).
En ligne :	http://www.revuedufinancier.fr

[article] L'évaluation des projets TMT par les Options Réelles : Emergence d'une nouvelle approche ? [texte imprimé] / Barneto Pascal, Auteur . - 2001 . - pp. 83-98.
Langues : Français (fre)
inLa Revue du Financier > 129-130 (2001) . - pp. 83-98

Résumé :

Les méthodes traditionnelles sont inexploitables pour la valorisation des start-ups Internet : l'utilisation qu'elles font des documents comptables relève d'une conception archaïque du management, elles conduisent à une insuffisance du business plan, à cause du caractère subjectif des taux d'actualisation et l'adoption d'intervalles de temps trop grands, et les business models manquent de flexibilité. Cet article a pour objet d'expliquer pourquoi et comment utiliser les options réelles dans la problématique de l'évaluation et de montrer que la complexité de la méthode interdit pour l'instant toute généralisation dans la mesure où s'impose une simplification des hypothèses. Il présente en annexe les deux principaux modèles d'options, celui de Black & Scholes (1973) et celui de Cox, Ross & Rubinstein (1979).

En ligne :

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[article] 
inLa Revue du Financier > 129-130 (2001) . - pp. 71-82

Titre :	L'évaluation des sociétés et les coûts d'information
Type de document :	texte imprimé
Auteurs :	Mondher Bellalah, Auteur
Année de publication :	2001
Article en page(s) :	pp. 71-82
Langues :	Français (fre)
Résumé :	Cet article s'inscrit dans le prolongement des travaux concernant l'évaluation des sociétés et de la dette par la théorie des options. L'analyse s'applique également à l'évaluation des sociétés de la nouvelle économie en raison de l'utilisation de l'approche optionnelle. Dans un premier temps, nous rappellons les principaux résultats concernant la lecture optionnelle du bilan. Dans un deuxième temps, nous introduisons les coûts d'information dans l'évaluation des sociétés et de leur titres. Nous comparons enfin les résultats de notre modèle par rapport à ceux des modèles standards qui ignorent les implications des coûts d'information sur la valorisation des sociétés.
En ligne :	http://www.revuedufinancier.fr

[article] L'évaluation des sociétés et les coûts d'information [texte imprimé] / Mondher Bellalah, Auteur . - 2001 . - pp. 71-82.
Langues : Français (fre)
inLa Revue du Financier > 129-130 (2001) . - pp. 71-82

Résumé :

Cet article s'inscrit dans le prolongement des travaux concernant l'évaluation des sociétés et de la dette par la théorie des options. L'analyse s'applique également à l'évaluation des sociétés de la nouvelle économie en raison de l'utilisation de l'approche optionnelle. Dans un premier temps, nous rappellons les principaux résultats concernant la lecture optionnelle du bilan. Dans un deuxième temps, nous introduisons les coûts d'information dans l'évaluation des sociétés et de leur titres. Nous comparons enfin les résultats de notre modèle par rapport à ceux des modèles standards qui ignorent les implications des coûts d'information sur la valorisation des sociétés.

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[article] 
inLa Revue du Financier > 129-130 (2001) . - pp. 66-70

Titre :	Nouvelle économie : les recettes d'un capital-risqueur
Type de document :	texte imprimé
Auteurs :	Maître Bernard, Auteur
Année de publication :	2001
Article en page(s) :	pp. 66-70
Langues :	Français (fre)
Résumé :	Nous n'affrontons pas une simple révolution industrielle, mais une véritable révolution économique qui repose sur trois facteurs profondément subversifs (l'information, les semi-conducteurs et les réseaux de télécommunications) et trois axiomes fondamentaux : les lois de Moore (la puissance de traitement des microprocesseurs double, à prix constant, tous les 18 mois), de Metcalfe (la valeur d'un réseau croît comme une fonction géométrique du nombre de ses membres) et de Gilder (la bande passante des réseaux de télécommunications, c'est-à-dire leur capacité, triple tous les ans).Les start-ups, pierre angulaire de la nouvelle économie. Guerre et paix entre groupes établis et start-ups. B-to-B, B-to-C, B-to-D. Les start-ups réellement subversives. Les sites qui ne marchent pas. La recette du bon capital-risqueur.
En ligne :	http://www.revuedufinancier.fr

[article] Nouvelle économie : les recettes d'un capital-risqueur [texte imprimé] / Maître Bernard, Auteur . - 2001 . - pp. 66-70.
Langues : Français (fre)
inLa Revue du Financier > 129-130 (2001) . - pp. 66-70

Résumé :

Nous n'affrontons pas une simple révolution industrielle, mais une véritable révolution économique qui repose sur trois facteurs profondément subversifs (l'information, les semi-conducteurs et les réseaux de télécommunications) et trois axiomes fondamentaux : les lois de Moore (la puissance de traitement des microprocesseurs double, à prix constant, tous les 18 mois), de Metcalfe (la valeur d'un réseau croît comme une fonction géométrique du nombre de ses membres) et de Gilder (la bande passante des réseaux de télécommunications, c'est-à-dire leur capacité, triple tous les ans).Les start-ups, pierre angulaire de la nouvelle économie. Guerre et paix entre groupes établis et start-ups. B-to-B, B-to-C, B-to-D. Les start-ups réellement subversives. Les sites qui ne marchent pas. La recette du bon capital-risqueur.

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[article] 
inLa Revue du Financier > 129-130 (2001) . - pp. 53-65

Titre :	Le capital-risque en Afrique subsaharienne : caractéristiques, problèmes et perspectives
Type de document :	texte imprimé
Auteurs :	Dieng Seydi Abacar, Auteur
Année de publication :	2001
Article en page(s) :	pp. 53-65
Langues :	Français (fre)
Résumé :	Le système de capital-risque africain, phénomène marginal : prédominance des sociétés de capital-risque étrangères, éviction des PME, portée limitée du capital-risque…Prisonnier d'un environnement général défavorable : obstacles socioculturels à l'entrepreneuriat, instabilité politique permanente, insuffisance d'infrastructures adéquates. Un bel espoir pour le développement économique dans un contexte d'incertitudes. Conclusion.
En ligne :	http://www.revuedufinancier.fr

[article] Le capital-risque en Afrique subsaharienne : caractéristiques, problèmes et perspectives [texte imprimé] / Dieng Seydi Abacar, Auteur . - 2001 . - pp. 53-65.
Langues : Français (fre)
inLa Revue du Financier > 129-130 (2001) . - pp. 53-65

Résumé :

Le système de capital-risque africain, phénomène marginal : prédominance des sociétés de capital-risque étrangères, éviction des PME, portée limitée du capital-risque…Prisonnier d'un environnement général défavorable : obstacles socioculturels à l'entrepreneuriat, instabilité politique permanente, insuffisance d'infrastructures adéquates. Un bel espoir pour le développement économique dans un contexte d'incertitudes. Conclusion.

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[article] 
inLa Revue du Financier > 129-130 (2001) . - pp. 47-52

Titre :	Les valorisations des entreprises de la nouvelle économie
Type de document :	texte imprimé
Auteurs :	Jean Lachmann, Auteur
Année de publication :	2001
Article en page(s) :	pp. 47-52
Langues :	Français (fre)
Résumé :	Inadaptation des méthodes traditionnelles, qui préconisaient de n'investir que là où on pouvait trouver des entreprises maîtrisant parfaitement leur métier de base et sous-évaluées par le marché. Règle de bon sens, mais qui semble ici inefficace et inadaptée. Les méthodes utilisées par les professionnels : méthode des multiples (on multiplie un grand indicateur de performance de l'entreprise par un multiple du secteur d'activité), benchmarking (on repère des entreprises analogues et déjà cotées en Bourse), méthode des cash-flows (on calcule une somme de cash-flows actualisés, ce qui suppose la connaissance de prévisions budgétaires fiables). La méthodologie préconisée dans les sociétés non cotées, où l'on prend en considération beaucoup d'éléments de nature plus qualitative, sans se cacher la difficulté de l'évaluation.
En ligne :	http://www.revuedufinancier.fr

[article] Les valorisations des entreprises de la nouvelle économie [texte imprimé] / Jean Lachmann, Auteur . - 2001 . - pp. 47-52.
Langues : Français (fre)
inLa Revue du Financier > 129-130 (2001) . - pp. 47-52

Résumé :

Inadaptation des méthodes traditionnelles, qui préconisaient de n'investir que là où on pouvait trouver des entreprises maîtrisant parfaitement leur métier de base et sous-évaluées par le marché. Règle de bon sens, mais qui semble ici inefficace et inadaptée. Les méthodes utilisées par les professionnels : méthode des multiples (on multiplie un grand indicateur de performance de l'entreprise par un multiple du secteur d'activité), benchmarking (on repère des entreprises analogues et déjà cotées en Bourse), méthode des cash-flows (on calcule une somme de cash-flows actualisés, ce qui suppose la connaissance de prévisions budgétaires fiables). La méthodologie préconisée dans les sociétés non cotées, où l'on prend en considération beaucoup d'éléments de nature plus qualitative, sans se cacher la difficulté de l'évaluation.

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[article] 
inLa Revue du Financier > 129-130 (2001) . - pp. 34-46

Titre :	Le financement des Net-entrepreneurs
Type de document :	texte imprimé
Auteurs :	Jean Lachmann, Auteur
Année de publication :	2001
Article en page(s) :	pp. 34-46
Langues :	Français (fre)
Résumé :	L'autofinancement. Les concours bancaires. Les apporteurs en fonds propres : le marché informel, les capital-risqueurs. les apports des grands groupes industriels. Les apports du marché boursier. Les appuis publics. Conclusion.
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[article] Le financement des Net-entrepreneurs [texte imprimé] / Jean Lachmann, Auteur . - 2001 . - pp. 34-46.
Langues : Français (fre)
inLa Revue du Financier > 129-130 (2001) . - pp. 34-46

Résumé :	L'autofinancement. Les concours bancaires. Les apporteurs en fonds propres : le marché informel, les capital-risqueurs. les apports des grands groupes industriels. Les apports du marché boursier. Les appuis publics. Conclusion.
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[article] 
inLa Revue du Financier > 129-130 (2001) . - pp. 8-33

Titre :	Structure de financement et arbitrage financier : Cas de l'entreprise tunisienne
Type de document :	texte imprimé
Auteurs :	Belhareth Mustapha, Auteur
Année de publication :	2001
Article en page(s) :	pp. 8-33
Langues :	Français (fre)
Résumé :	De l'intangibilité du principe de l'arbitrage : contraintes-données ayant trait à la vie de l'entreprise, contraintes-données ayant trait à son environnement. La restructuration – dynamisation de l'espace de financement de l'entreprise tunisienne, renforcement des perspectives d'arbitrage entre les sources de financement disponibles. diversification des formes du financement intermédié : intensification du rôle des banques, multiplication des institutions de financement, structuration – restructuration continue des formes de financement désintermédié. L'aptitude de l'entreprise tunisienne à faire de l'arbitrage entre les sources de financement un mécanisme central d'amélioration de ses performances ; pour une mise à niveau financière de l'entreprise tunisienne, difficultés et perspectives : les pesanteurs caractérisant l'entreprise tunisienne, sous-capitalisation de l'entreprise, petite taille de l'entreprise tunisienne et caractère fermé de son capital, absence de toute dimension stratégique dans la gestion de l'entreprise. Mise à niveau financière de l'entreprise tunisienne, difficultés et perspectives : restructuration financière envisagée.
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[article] Structure de financement et arbitrage financier : Cas de l'entreprise tunisienne [texte imprimé] / Belhareth Mustapha, Auteur . - 2001 . - pp. 8-33.
Langues : Français (fre)
inLa Revue du Financier > 129-130 (2001) . - pp. 8-33

Résumé :

De l'intangibilité du principe de l'arbitrage : contraintes-données ayant trait à la vie de l'entreprise, contraintes-données ayant trait à son environnement. La restructuration – dynamisation de l'espace de financement de l'entreprise tunisienne, renforcement des perspectives d'arbitrage entre les sources de financement disponibles. diversification des formes du financement intermédié : intensification du rôle des banques, multiplication des institutions de financement, structuration – restructuration continue des formes de financement désintermédié. L'aptitude de l'entreprise tunisienne à faire de l'arbitrage entre les sources de financement un mécanisme central d'amélioration de ses performances ; pour une mise à niveau financière de l'entreprise tunisienne, difficultés et perspectives : les pesanteurs caractérisant l'entreprise tunisienne, sous-capitalisation de l'entreprise, petite taille de l'entreprise tunisienne et caractère fermé de son capital, absence de toute dimension stratégique dans la gestion de l'entreprise. Mise à niveau financière de l'entreprise tunisienne, difficultés et perspectives : restructuration financière envisagée.

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